- FaceclaimCrédits
- Pseudo IRL : prima luce, élodie.Pronom(s) IRL : elle.Faceclaim : ちちCrédits : vocivus.Messages : 82Points RP : 0Dama : 3 377Couleur de dialogues : #968C82CW & TW :
- Spoiler:
- leon est un personnage au passé traumatique ; plusieurs thèmes peuvent être abordés : prothèses (amputation, membres fantômes), drogue et dépendance, corruption, violence (verbale, physique), comportement borderline (non lié au trouble éponyme), misère.
— les mentions de son passé peuvent évoquer les thèmes de traite humaine (enfant), de maltraitance infantile, d'endoctrinement, d'enfant-soldat.
Multicomptes :
❪ shadow ❫ kurri anla
· '01, student, cosmoball player.
❪ anger ❫ ryuzashi remi
· '98, yakuza, fighter.
❪ supernova ❫ murakami leon
· '96, rapper, street racer.
Aesthetic IRP :
aren't humans machines too?
mechanisms of flesh and blood
── ⋅ ⋅ ─── ✧ ─── ⋅ ⋅ ──
Aesthetic IRL :
all ended with her eyes,
hell, purgatory,paradise
くろのせかいはこわくない。
☉ GEMINI ∙ ☾ SCORPIO ∙ ↑ SAGITTARIUS
chaotic neutral ∙ estp-a ∙ 7w8
moodboard ∙ playlist
── ⋅ ⋅ ─── ✧ ─── ⋅ ⋅ ──
› gameplay · écriture au tu, dialogues en fr/eng, toute longueur. je m'adapte à tout !
› contact · par mp ou par discord, pas super vive, n'hésite pas à me relancer !
› 0/3 rps · notion
Naissance & Âge : 06 06 96, 27 ans.Pronom(s) : elle.Statut Civil :
「 CÉLIBATAIRE 」
LESBIENNE
solitude en horreur, pourtant toujours seule. incapable de tenir une relation, a pourtant besoin de se rassurer d'être toujours humaine. toujours dans l’urgence de ressentir quelque chose en perdant les limites usuelles des échanges
Occupation :
「 DOOMSDAY 」
MUSICIENNE UNDERGROUND
( j-rap, hip-hop, trap ) artiste de la scène alternative et marginalisée de kagemura. pose sur des prod. mêlant musique traditionnelle et sonorités électroniques. références liées au folklore japonais, textes dénonciateurs. · identité visuelle très travaillée, tout un univers entretenu par son collectif d'artistes. · impopulaire et décrié pour ses incitations à la dissidence. · s'auto-produit, ses mixtapes ne circulent pas en vente traditionnelle.❪ playlist ❫
「 RACER 」
THE CHROMATIC DRIFT LEAGUE
participe à des courses clandestines d'hoverboard depuis son enfance. · imprévisible, vicieuse et sans limite. utilise des pièges de sa confection. trafique sa planche. · également dans l'équipe orga. (machiniste, mécanicienne, polyvalente).
「 CRAPULE 」
ALL-ROUNDER
vermine qui subsiste de larcins et de recels, et de jobs non déclarés. racaille banale, magouilleuse multi-casquette. · atout considérable pour ses connaissances de l'underground et ses compétences polyvalentes.
「 ALUMNI 」
ANCIENS CURSUS
ancienne étudiante en technomagie (2019-22), cursus intégré grâce à une bourse d'études, obtenue en se positionnant lauréate d'un concours technomagique ouvert à la jeunesse de l'archipel. très mauvaise (si ce n'est dans les disciplines purement techniques), au plus bas des classements. · ancienne étudiante en APSC (2014-16) ayant participé à des compétitions sportives de haut niveau de hoverboard.
Particularité(s) :
「 RŌNIN 」
MANIPULATION DES OS
capable de déformer, produire et détruire la masse osseuse à partir de corps morts et du sien. très bonne maîtrise, mais drainante. seule trace de réelle magie.
· utilisation modérée.
· anémie constante, craquements réguliers du corps.
· os plus solides que la moyenne.
· production de calcium en excès (auto-régulation).
capacité de régénération ("transfusion par absorption") qui lui permet d'absorber le fer, les vitamines ou les globules rouges présents dans le sang des autres pour combler ses carences.
· contact physique nécessaire.
· (partiellement) incontrôlable et imprévisible.
Affinités Magiques :
「 MAGIE USUELLE 」
AUCUNE
sa mutation interfère avec sa pratique de la magie qui est catastrophique. très grosses lacunes dans tous les domaines.
Catalyseur :
「 SQUISHY BALL 」
INUTILE
énième catalyseur échangé sur le marché noir, ne l'utilise pas. artefact capricieux qui exacerbe ses défaillances magiques. (tendance disproportionnée à briser ses catalyseurs)
Logement :
「 KAGEMURA ∙ STUDIO 」
SUTENEKO NO IE (COLOC)
colocation avec ses amis (et street artistes de son collectif) dans un petit immeuble vétuste de kagemura. logement insalubre, appartements non-conformes qu'ils ont structuré eux-mêmes. · le rdc est occupé d'un bar toujours très animé.
Signes Distinctifs :
「 PROTHÈSES 」
MI-MÉCA MI-HUMAINE
prothèses bioniques à la place des bras et jambe droits, un entremêlement d’éclats métalliques entre les deux, et des veines injectées de poussières diluées. résultats d'un accident, et d'expériences glauques.
· métal ressemblant à de la porcelaine.
· estampillées kaisai pharmaceuticals.
· douée d'une super-force, mais mal entretenues.
· ensorcelées d'une magie modéliste, les faisant apparaître comme de véritables membres humains.
Points RP
Murakami Leon
影が揺らめいて 消える 間が切り裂かれ | setlist ✧ ─── ⋅ ⋅ playlist de référence |
hip-hop ⋅ trap Artiste de la scène alternative et marginalisée de |
⋅ ⋅ ─── ✧ scène et ambiance
La scène est encombrée d'une fumée opaque, qui s'estompe autour des silhouettes de Leon ou d'autres intervenants pour mieux les mettre en avant. Cette fumée est parsemée d'
Il n'existe pas de lightstick officiel pour
L’un des assistants passe une tête dans la loge pour mieux se faire entendre : Doomsday dans 15 minutes ! , disparait… avant de réapparaître aussitôt, perplexe, pour bloquer trois secondes devant l’illustre scène que tu dépeins. Toutes vos têtes se relèvent vers lui, suspendues à d’éventuelles nouvelles directives. Pince courbée dans la main et tournevis coincé derrière l’oreille, t’es perchée à l’envers sur une chaise, coupée dans le rafistolage de ton bras étendu sur la surface du comptoir à l’image d’une table d’opération. Dans le même temps, rimi est penchée par-dessus ton visage, à remettre en place tes cheveux et s’affairer à terminer ton maquillage. Son regard témoigne de son agacement dans cette interruption, pressée par le temps. La gueule de nobu est un point d’interrogation à elle seule, les doigts glissant encore sur la surface de son smartphone sans même qu’il n’en regarde l’écran. Peu accoutumés aux règles d’un festival de cette importance, et ça se ressent dans votre comportement complètement décalé par rapport aux attentes. C'est une toute autre agitation qui accompagne ordinairement les prestations de doomsday ; à l’abris des néons insalubres de Kagemura. Pas la même effervescence et surtout, personne d’autres que vous-mêmes pour tout prendre en charge.
Le claquement accompagné du bruit lourd d’une chute se suffit à rompre le silence, mais personne ne s’intéresse à la gêne desena qui s’empresse de ramasser son drone trafiqué. Le technicien soupire et repart vers ses occupations, dans une moue dubitative. T’échanges une œillade avec nobu et vos épaules se haussent de manière synchronisée, avant que chacun ne reprenne ses activités. Les minutes dégringolent rapidement ; t’as besoin des compétences modulaires de miyu pour redonner à ton bras droit, ses blasons de chair d’un membre humain. L’espace clos se pare du scintillement de sa magie appliquée et lorsque la tâche est terminée, tu te redresses en faisant craquer ton dos. Tes bras s’étirent vers le plafond, enclenchant un ensemble de râles métalliques. Les apparences ne trompent jamais longtemps les mécanismes dissimulés. Un mouvement circulaire du bras t’assure que ta prothèse est de nouveau pleinement opérationnelle. Ne reste plus que la touche finale pour assurer la meilleure performance de l’année – ce festival est une opportunité qu’il ne faut pas sous-estimer. La triche, comme la surnomme nobu (sans aucun sens péjoratif). Ta came de survie, tout simplement. Mage ratée qui a besoin de ses opiacés pour mieux fonctionner. Pas certaine de tenir tout le concert sans ce coup de pouce, surtout en connaissance de la scénographie mise en place. tw/ drogue C’est avec une seringue prête à l’usage que tu perfores la peau sous tes côtes, à la commissure entre tes pièces biomécaniques et tes véritables tissus. Kipun plus que nécessaire pour que le corps mi-humain mi-méca continue de fonctionner sans que la partie méca n’abrège définitivement l’existence de la partie humaine. Tes muscles et tes veines s’embrasent d’une lumière mordorée l’espace de quelques secondes, et puis tout s’estompe. Les désagréments des morceaux étrangers, et ceux des membres absents. Etrange sourire accroché aux lèvres que celui d’une défoncée-sans-l’être-vraiment qui respire enfin normalement.
En deux minutes, tout le groupe n’est plus qu’un amas de concentration brûlante. Chacun à son poste ; t’es plantée en bas des marches les yeux clos. Et t’attends. Tu respires l’adrénaline qui grimpe crescendo sans attendre quelconque signal. La poitrine qui se soulève doucement comme pour s’imprégner de toute bouffée d’air disponible avant l’impact. Une musique instrumentale se lance grâce àriku déjà installé derrière ses platines. Grondement qui prend de l’ampleur à mesure que sur scène, s’installe une fumée dans une lenteur calculée pour faire monter la pression. Tes doigts se resserrent autour du micro pendant que tu rouvres les yeux, une détermination fiévreuse placardée entre tes obsidiennes. Et doucement, ton souffle percute la fraîcheur de la membrane : mic check d’un murmure graineux. Les effets ne tardent pas quand dans la foulée, des éclats s’élèvent d’un public qui ne t’aperçoit pas encore. La plupart ne te connaisse pas mais les quelques habitués suffisent à faire naître une clameur prenante. Et c’est dans cette huée que tu montes les marches avant d’apparaître d’un bond sur scène, les premières paroles déjà au bord des lèvres. L’intro s’étend quelques minutes pour prendre la température, plus de réverbérations musicales que de réelles syllabes pour le moment. Les hologrammes s’étendent au-dessus des têtes en même temps que la musique marque son drop. Yo Woodsitck ! Tu te rapproches du bord de scène, gestes tranquilles mais non pas moins déjà empreints d’un certain empressement. Des acclamations te répondent, mais rien de suffisant. Le public s’échauffe. J’t’entends pas. J’ai dit : yo, Woodstick ! Tu reprends en gueulant plus fort dans le micro avant de le tendre vers l’audience. Des cris percutent l’espace et marquent le lancement véritable du concert. Tu reprends d’une voix basse mais amplifiée : avec masque, sans masque…* Tes mains miment la mise et l’enlèvement d’un masque sur ton visage – et au deuxième mouvement, c’est un véritable masque d’oni qui apparait entre tes doigts pour accompagner le geste. Tu répètes ces mots d’une voix grave, plus forte. Avec masque, sans masque* et tu accroches la figure hideuse sur le sommet de ton crâne tout en bondissant vers l’avant. Que le spectacle commence !
Les minutes s’enchaînent dans une brûlure caractéristique de ces performances aux limites absoutes. Les basses dégueulent les productions authentiques entre notes aériennes d’un biwa et crachat graveleux d’un piano électronique. Tu ne manques pas de souffle, encore moins quand tu t’élances vers les silhouettes amassées contre les barrières en suscitant la surprise parmi les vigiles. Deux d’entre eux te poursuivent au milieu d’une foule toujours plus pressante et tout en continuant de gueuler tes paroles d’une puissance vocale qui n’appartient qu’à toi, tu participes au pogo naissant. Des mains se pressent contre ton corps, tes vêtements, essaient d’attraper un bout de toi, un bout deDoomsday . Mais tu te faufiles entre les corps sans perdre la suite de la performance. La lancée d’une interlude te permet de profiter de l’ambiance brûlante au milieu de la masse avant de retrouver l’un des vigiles qui te positionne sur ses épaules. Et tu reprends le concert comme ça, perchée sur un gars baraque désespéré de devoir ramener une artiste impulsive sur scène au milieu d’une audience déchaînée. Un bras en l’air, l’autre bien vissé devant tes lèvres, toujours dans les airs, tu entretiens le spectacle : pour notre liberté c’est mon royaume !* Les mouvements de tête qui s’accordent au rythme et une fois la terre faussement sainte de nouveau foulée, tu reprends comme si rien n’était arrivé.
L’heure accordée s’achève dans un dépassement de soi quasi-total. Tout le monde est au-delà de ses limites mais la satisfaction personnelle est aussi grande que le contre-coup qui ne manquera pas de vous fracasser une fois l’obscurité revenue. Des gouttes sueur perlent contre tes tempes pour s’échouer au creux de tes lèvres étirées dans une certaine euphorie. Tu lèves à nouveau les bras, craches le refrain du encore une dernière fois.Yo Woodstick, c’était Doomsday. À la prochaine ! drop mic et courbette insolente, puis tu disparais dans la fumée orageuse.
Le claquement accompagné du bruit lourd d’une chute se suffit à rompre le silence, mais personne ne s’intéresse à la gêne de
En deux minutes, tout le groupe n’est plus qu’un amas de concentration brûlante. Chacun à son poste ; t’es plantée en bas des marches les yeux clos. Et t’attends. Tu respires l’adrénaline qui grimpe crescendo sans attendre quelconque signal. La poitrine qui se soulève doucement comme pour s’imprégner de toute bouffée d’air disponible avant l’impact. Une musique instrumentale se lance grâce à
Les minutes s’enchaînent dans une brûlure caractéristique de ces performances aux limites absoutes. Les basses dégueulent les productions authentiques entre notes aériennes d’un biwa et crachat graveleux d’un piano électronique. Tu ne manques pas de souffle, encore moins quand tu t’élances vers les silhouettes amassées contre les barrières en suscitant la surprise parmi les vigiles. Deux d’entre eux te poursuivent au milieu d’une foule toujours plus pressante et tout en continuant de gueuler tes paroles d’une puissance vocale qui n’appartient qu’à toi, tu participes au pogo naissant. Des mains se pressent contre ton corps, tes vêtements, essaient d’attraper un bout de toi, un bout de
L’heure accordée s’achève dans un dépassement de soi quasi-total. Tout le monde est au-delà de ses limites mais la satisfaction personnelle est aussi grande que le contre-coup qui ne manquera pas de vous fracasser une fois l’obscurité revenue. Des gouttes sueur perlent contre tes tempes pour s’échouer au creux de tes lèvres étirées dans une certaine euphorie. Tu lèves à nouveau les bras, craches le refrain du encore une dernière fois.
── un rp au concert de doomsday peut vous permettre de réaliser plusieurs
- traductions:
aesthetic 間が切り裂かれ
消える
影が揺らめいてflickering shadows disappear
darkness is tornplaylist
黄泉 yomi, conception shintoïste du monde de la mort.
百々目鬼 dodomeki, yōkai à l'apparence est celle d'une femme dont les bras sont couverts de centaines yeux d'oiseaux.
失楽園の向こう側 the other side of paradisedescription scène
恐山 osorezan (mont osore), qui marque l'entrée des enfers selon la mythologie japonaise.rp
des phrases signatures dedoomsday :
* «mask on mask off »
* «for our freedom this is my queendom »
—— ⋅✧wars bloom in their ✧⋅ ———
heads like flowers
Sawano Akira, Ji Mini, Andrea Davis et Lim Saeri aiment ce message
- FaceclaimCrédits
- Pseudo IRL : charme.differentPronom(s) IRL : herFaceclaim : tcCrédits : vyseniaMessages : 2306Points RP : 43Dama : 72 980Couleur de dialogues : var(--co3)CW & TW : /Multicomptes : /Aesthetic IRP :
la cité des mâles
veille sur le quartier
des lunes
enfp • the campaigner
☉ CAPRICORN ∙ ☾ CAPRICORN ∙ ↑ VIRGO
Aesthetic IRL :
i get lost in pretending to be human
Naissance & Âge : 29 décembre 1997 & 24Pronom(s) : he/himStatut Civil : en couple avec ses balaisOccupation : <hii>étudiant en médicomagie</hii> - spécialité recherche et développement
<hii>joueur professionnel de cosmoball</hii> stargazer
- The Sylver Hydra (niveau universitaire)
- Les Archers de Meiwa (niveau professionnel)
Particularité(s) : loup-garou (mangetsuki - shinro)
Affinités Magiques : -Catalyseur : [ bague astronomique ]
logée à ses doigts, la bague argentée prend une teinte dorée lorsqu'elle se décharge.
Sur ses multiples anneaux on peut y découvrir des inscriptions astrologiques et autres indications en runes.Logement : colocation - SHINMEIDAI
en couple avec 4 autres babouins (lorenz, akira, saem, yuan)Signes Distinctifs : - fashion terrorist : chaussettes par dessus le jogging since 2008
- piercings : un piercing à la langue abandonné au détriment de deux piercings à l'helix gauche. Mauvais élève, il oublie parfois de les mettre.
- cicatrices : voyantes ou parfois discrètes, vieilles comme récentes, certaines ne partent jamais. Cicatrices qui naissent d'accidents liées aux transformations mensuelles du lycanthrope ou à divers accidents durant des match de cosmoball. Sa morsure se trouve quant à elle sur sa cheville droite.Inventaire : - voiture
- cape ryu [loto]
- masque satori [loto]
[a rajouter : ce qui a été gagné à la st val]
- balais
Royal Duster IV [boutique]
Points RP
Andrea Davis
The Hellfire Club termine sa prestation, et le temps que la nouvelle scène se mette en place, ça devient rapidement le bordel. Trop le bordel. Ça pousse à gauche, ça pousse à droite, ça en profite pour doubler alors que ça a pas son ticket VIP. Bref. Andrea s’en tape. Parce qu’Andrea est de toute manière à la bonne place et qu’il est trop occupé à s’allumer une cigarette. Celle qui remplacera probablement son repas parce que vu l’heure, la plupart des stands doivent être pris d’assaut. Et à tous les coups, son sandwich triple ham-cheese doit être en rupture de stock. Tant pis. Les minutes passent et finalement Doomsday apparaît. L’ambiance est différente mais tout aussi électrisante et prenante. "Yo Woodstick !!" Lorsqu'on lui demande de crier, Andrea crie. “YEAAAAAAAAAH ! HERE WE ARE MOTHERFUCKER !!!!!! ” Et il accompagne même le tout d'un long sifflement effectué avec ses doigts. Lorsqu’on demande de chanter, Andrea … ne chante pas. Il se contente de tirer sur sa clope pour mieux recracher la fumée dans la tête du voisin, le tout en secouant la tête sur le rythme de la musique. Portable en main, il filme la scène puis tourne la caméra pour se filmer à son tour. Il envoie ensuite un message à Somi et Lorenz lorsque des fumigènes semblent se meler au spectacle. Besoin de savoir où ils se trouvent au cas où il venait à mourir dans tout ce bazar. -c’est faux, il cherche juste à rejoindre ses potes- Les musiques s’enchaînent et l’artiste se plonge alors au milieu de la foule ce qui forme un chaos général. Andrea se fait bousculer alors il bouscule lui aussi, et par erreur il marche sur le pied de son voisin. Il s’excuse rapidement mais c’est un coup de coude dans le ventre qu’il reçoit. “Ouch ! ” L'honorable crevette Davis se plie en deux en se tenant le ventre puis se tant bien que mal pour pouvoir rendre le coup à celui qui a commencé. Mais il est déjà hors de vue, et la nuit qui a ensorcelé le ciel n’aide pas le garçon à y voir plus clair. Il décide finalement d’aller se poser dans un coin plus calme pour mieux apprécier le spectacle. Vérifiant où il met toutefois ses pieds, il s'arrête à un endroit plus calme et décide d’y refaire les lacets de sa chaussure droite pour éviter de tomber au prochain mouvement brusque. La suite de la performance est agréable à regarder de là où il se situe et il en profite pour faire tout un tas de vidéos qu’il postera plus tard dans la journée. Doomsday. Un nom qui lui disait vaguement quelque chose. Si les sons n’étaient pas son genre préféré, ça restait un style qu’il appréciait tout de même, et ce concert était là pour le lui prouver.
RESUME : dd s'amuse, il marche sur le pied de quelqu'un et en plus il refait son lacet youhou
Murakami Leon a feelsé sur ce message