INTRIGUE ⟡ dans le néant

cws & tws:

Dans le néant

intrigue n°1 ∙ la saison des vagues

Introduction

Ligne Kaminaga, tunnel entre Ryūsei-hama et Mirai-chō (K16 à K17), 1er octobre 2023, 8h03.

Au centre de la station un bain de foule, semblable à une ruche bourdonnante, dont le vrombissement fusionne avec celui de la surface. Comme chaque jour, les mages s'amassent dans les sous-terrains de l'archipel, silhouettes disparates en quête d'un train pour rejoindre leur destination du moment le plus rapidement possible. Celui-ci part toujours aussi vite qu'il arrive, fusée terrestre accumulant des passagers jusqu'à tenter l'implosion, élargissant en quelques éclats poussiéreux ses murs et ses sols intérieurs sans bousculer son aspect extérieur. Svelte, courbes gracieuses faites de matériaux catalysant pour favoriser un flottement doux, il possède toutes les caractéristiques d'une navette futuriste - se noie à la perfection dans l'atmosphère si distinctement épurée de Chuo-Kōei.

Cloisonné dans la navette, le problème des vagues semble être bien lointain, même lorsque le verre d'acier surgit de la terre pour parcourir la distance entre Seikikō et Ryūsei-hama, grattant un bout de plage pour se fondre un moment dans le cataclysme marin. Rien du fracassement de l'océan contre les protections magiques ne se fait entendre, rien du déferlement des mers ne se fait remarquer - les yeux sont rivés sur les écrans virtuels, les attentions dispersées entre discussions animées et musiques isolantes.

Cela ne dure que quelques instants, avant que le jour ne redonne place à la nuit scintillante des tunnels du métro makosien. Ils sont tous éclairés de néons, qui guident le transport à travers ses nombreux sillons, dans un presque silence trop habituel. Rien du train ne touche les rails azurés, il flotte à quelques centimètres d'eux à l'aide d'une technomagie avancée et survole son chemin sans laisser de trace, filant à toute vitesse.

Mais soudain, un tremblement. Aussitôt tout ralentit, et tout s'éteint ; ne subsistent que les lumières des appareils des mages, éclairant les traits crispés par la surprise de leurs propriétaires. Les navettes ne connaissent que peu de problèmes, si ce n'est pas du tout. Il n'y a pas de soucis de voie, pas d'erreurs de départs, pas d'arrêts inopinés entre deux stations - tout a été soigneusement construit, pensé, et c'est ce qui fait sa prestigieuse réputation depuis tant d'années.

Comme privée de son champs magnétique, il ne faut que quelques secondes avant que la navette ne se dérègle à son tour et s'écrase brutalement contre le sol. Certains mages debout peinent à conserver leur équilibre et tombent, créant un mouvement de panique bref. Les murmures s'élancent dans les différents wagons, évoquent des causes probables dans l'attente d'un redémarrage et débattent du prix exorbitant de leurs abonnements pour un service aussi minable…

Mais rien ne vient. Le néant perdure, seulement brisé par des loupiotes rougeâtres déclenchées par un générateur d'urgence, et aucun message d'alerte ne résonne dans les enceintes du train pour prévenir d'un quelconque incident.

Au bout de plusieurs minutes qui paraissent être des heures, force est de constater que la réalité est la suivante : les passagers sont livrés à eux-mêmes, isolés et sans réponse face à cette situation qui leur échappe. Pour autant, personne ne semble s'activer à trouver une solution, consciences persuadées que des secours finiront bien par arriver, que quelqu'un leur viendra en aide. Dans le troisième wagon, une dame se lève en sursaut, horrifiée, pointant le sol de l'index quelque chose au sol. Est-ce- est-ce que c'est de l'eau? Il n'y a aucun doute sur la nature du liquide transparent qui prend peu à peu place entre les sièges, et au fur et à mesure que la nouvelle se répand, les cris et la panique s'élèvent comme une traînée de poudre au travers du serpent de métal.

Un peu plus loin dans la galerie, une fissure de quelques mètres menace de céder sous la pression de l'océan qui, après des semaines d'assaut, a fini par trouver une faille dans le dome de protection.

Précisions

Ce topic commun est lié aux évènements de l'intrigue en cours, veuillez la prendre en considération dans vos RP. Votre personnage est coincé dans un wagon d'une rame de métro, et l'eau semble monter à une vitesse inquiétante dans le tunnel.

objectif(s)
• Déterminer un moyen de sortir de la rame, dont les ouvertures sont coincées par la pression de l'eau et le manque de Poussière dans l'alimentation.
• Contacter la police et/ou les secours.
• Trouver une issue de secours.
• Ne pas mourir noyé.e... :eheh:

Les éléments dont vous disposez pour le moment :
• La rame est magiquement propulsée et est constituée de 5 wagons reliés les uns aux autres. Votre personnage se trouve dans le troisième ou le deuxième wagon (avant). Plusieurs portes coulissantes automatiques (bloquées puisque fonctionnant grâce à la Poussière) et fenêtres parsèment les parois du transport.
• Une fissure dans le tunnel est apparue et de l'eau s'y infiltre, coupant l'alimentation de la rame en Poussière et l'empêchant de poursuivre son avancée. Les communications n'y sont plus fonctionnelles.
• Il n'y a pas de conducteur, mais il existe un panneau de commande dans le premier wagon.
• Pour le moment, l'eau n'est pas un à niveau alarmant (moitié de chaussures), mais elle monte rapidement.

Informations HRP

ー Privilégiez les posts courts, de 400 mots maximum, avec un résumé et les tags des personnages mentionnés dans vos RP.
ー Veuillez écrire vos RP en français (dialogues inclus) pour une meilleure compréhension générale :keur:

ー Rappel Le powergaming est interdit, nos personnages sont tous humains, même derrière leur magie.
ー Le MJ interviendra environ tous les 10 jours et proposera des actions à choix multiples.

participant.e.s (10)

ー @Aïcha Howard
ー @Kell Brekker
ー @Evangeline Spencer
ー @Fuyutsuki Satoru
ー @Louise Greenwood
ー @Sugimoto Ruri
ー @Kugisaki Yumi
ー @Andrea Davis
ー @Hanaoka Somi

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merci de ne pas mp ce compte !
on te répondra plus vite sur nos comptes personnels ♡

✧ DANS LE NÉANT ✧
01.10 tc

Debout, à l’intérieur d’un des wagons de la ligne de métro, la jeune dojin ne s’intéressait pas à grand-chose d’autre que ce qu’il se passait sur le téléphone qu’elle tenait entre ses mains. La musique est mise à fond dans ses oreilles de façon à n’entendre rien d’autre que les paroles criées au sein même de ses tympans. Silencieuse, les pupilles venaient se redresser de temps à autre pour observer l’intérieur du troisième wagon, celui où elle avait pris l’habitude de s’installer continuellement depuis des années maintenant. Se tenant sans vraiment y mettre de force à l’une des barres du wagon, elle s’y accrocha avec peur lorsqu’elle sentit que tout s’arrêtait brusquement. L’un de ses écouteurs retiré, de façon à pouvoir écouter ce qu’il se passait, elle prêta attention au moindre détail avant de laisser un cri quitter ses lèvres lorsqu’elle rencontra brutalement le sol en même temps que le véhicule. Assise à même le sol, elle ne prit pas réellement le temps de réagir, puisqu’une femme se leva et cria que de l’eau s’infiltrait. Posant alors l’une de ses mains au sol, elle constata elle aussi que l’eau venait d’entrer dans le véhicule et qu’elle montait progressivement. Se relevant, elle regarda autour d’elle avant de se diriger vers l’un de ses clients, Satoru. Faisant en sorte de marcher correctement et droit, elle s’arrêta devant lui ainsi qu’une jeune femme, la mine inquiète. ”Satoru, c’est ça, non ? Je vous ai déjà vu au munchie’s et vous êtes un peu la seule personne que je connais ici…” La moue encore plus inquiète, elle regarde tout autour d’elle, essayant encore de comprendre ce qu’il se passe. ”C’est la première fois que je vois un truc de ce genre arriver, c’est… étrange.” Encore plus quand on est à l’intérieur.

résumé : aïcha écoute tranquillou sa musique quand d'un coup il y a la catastrophe, elle cherche alors si elle connaît des gens et remarque que @Fuyutsuki Satoru le sauveur est là (ainsi que @Sugimoto Ruri) et va les voir en mode "help il se passe quoi ???

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12.11.97; 25 ans

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01.10 tc outfit

le trajet paraissait long et interminable, l’alcool encore trop présent dans le sang alors qu’il maintenait une conversation sans queue ni tête avec sa meilleure amie. un trajet inhabituel, satoru plutôt du genre à se rendre au tokidai à une heure pareille, avec les idées claires et la tête sur les épaules. il était rare de le voir dans un tel état, peu conscient de son environnement, ce qui était sûrement la cause de sa lente réaction à l'arrêt soudain du train. il lui fallut plusieurs secondes pour se relever et aider les personnes à ses côtés à se remettre sur pieds. il ne prenait pas souvent le train, priorisant les trajets en hoverblades mais il savait qu’il n’y avait que rarement des problèmes, voire jamais. il n’avait pas besoin d’être complètement sobre pour se rendre compte de la gravité de la situation. il eut à peine le temps de vérifier que ses amis allaient bien qu’il se faisait déjà interpellé par une demoiselle, certes jolie mais dont le visage ne lui disait rien. le munchie’s bien sûr. pas besoin d'épiloguer, il fallait garder son calme et agir rapidement au vu de la situation. en plus d’être enfermé dans un train complètement bloqué, l’eau commençait à pénétrer l'habitacle et s’ils ne réfléchissaient pas à un moyen de se sortir, ils finiraient comme son frère, et l’idée ne le tentait pas plus que cela. oui, je ne pense pas que ce soit déjà arrivé. il en aurait eu vent en lisant les journaux ou en parlant à ses collègues. il va falloir qu’on reste calme et qu’on bouge de wagon. il n’y avait rien dans celui-ci, de ce qu’il pouvait voir, sa main tenant sans qu’il ne s’en rende compte celle de ruri pour la garder près de lui en cas de danger alors que son cerveau tentait de trouver une idée pour les sortir de cette situation farfelue.

résumé : satoru parle à aicha après avoir vérifie que ses potos adrea, somi et ruri vont bien, il tente de réfléchir a une solution, peut-etre bouger de wagon ?

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29.03.1997 (26)

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01.10 tc outfit

le bras mollement tendu pour se tenir à la barre horizontale et son corps se mouvant au gré des embardées discrètes du train, ruri ne faisait pas attention à grand-chose d'autre que la discussion d'ivrogne qu'elle tenait avec satoru. seuls ses bâillements la coupaient de temps en temps, pour le reste, elle ne pensait qu'à une seule chose : rentrer chez eux pour dormir et finir d'évacuer l'alcool ingurgité pendant la soirée. son corps se crispa d'un coup lorsque la rame fut plongée dans le noir, ce qui l'empêcha de tomber à la renverse quand le train s'ecrasa au sol. sa main serra avec force la barre alors que ses jambes menaçaient de lui faire subir le même sort que son ami. la chute eut un effet assez immédiat sur sa gueule de bois et ce fut comme si elle avait bu à peine quelques bières au lieu des shorts enchaînés toute la nuit. soudainement beaucoup plus stable sur ses appuis, son premier réflexe fut d'aider satoru à se relever et de s'inquiéter de son état. son sang se glaça quand les passagers se mirent à glapir à cause d'une possible infiltration et se fut pire lorsqu'elle baissa les yeux pour voir de l'eau lécher la semelle de ses bottes. son cerveau se mit à tourner à mille à l'heure - autant que la tequila et la décuve expresse le lui permettait, alors qu'elle réalisait la gravité de la situation. l'expression "tombeau sous-marin" lui traversa l'esprit et la fit blêmir. comme s'il l'avait senti venir, satoru lui serra la main à ce moment-là et ruri la compressa. "l'important n'est pas de savoir si c'est la première fois que ça arrive mais pourquoi et surtout ce qu'on peut faire." leurs réflexions lui paraissaient vides de sens. "andrea et somi sont de l'autre côté." sans lâcher la main de satoru, elle se dirigea vers la porte vitrée en forçant le passage pour voir ce qu'il en était dans l'autre wagon. "il doit bien y avoir un moyen d'ouvrir les portes." elle se tourna vers son meilleur ami, après tout c'était lui l'ingénieur. "andrea, ça va ?" essaya-t-elle d'appeler dans l'espoir que le son s'infiltre aussi facilement que l'eau par les jointures.

ruri à la gueule de bois mais désaoule vite quand y a l'accident (plus efficace que le café tavu), elle a des préoccupations bien à elle cad savoir si @Fuyutsuki Satoru va bien, c'est tout. Puis elle est un peu saoulée que lui et @Aïcha Howard préfèrent débattre de si c'est le premier accident ou pas, parce que c'est vrai que c'est la question importante à se poser là maintenant. Pour finir elle bouscule du monde pcq y a quand même @Andrea Davis et @Hanaoka Somi dans l'autre wagon et essaie de communiquer avec eux.

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8 Septembre 2000 (22yo)

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01.10 tc outfit

tu cours dans la station esquivant les personnes autour de toi. tu ne voulais pas louper le métro. hors de question d'attendre le prochain. tu aperçois les portes encore ouvertes au loin. proche du but. tu accélères encore un peu le pas. du mieux que tu le pouvais. tu te rapproches, rapidement. tu sautes dans le wagon numéro deux. le souffle court. quelques regards se posent sur toi mais tu t'en fou. le plus important c'est que tu avais réussi à le prendre. peine perdue de trouver une place assise à cette heure-ci. tu te trouves un endroit pour te poser par terre. te laissant guider par le mouvement du véhicule.
et d'un coup tu te retrouves écrasée entre le dossier des sièges et des inconnus qui tombent sur toi. mais bordel vous pouvez pas faire attention? que tu râles. sans vraiment te rendre compte que tous le wagon avait perdu l'équilibre à cause du tremblement. tu tente de te relever mais tu n'arrives pas à finir ta manœuvre que tu te retrouves à nouveau au sol. la gravité avait repris le dessus. le métro était à terre. de mieux en mieux. tu pouvais sentir la tension monter dans le wagon pendant que tu te relèves encore une fois. en espérant que cette fois tu allais enfin pouvoir rester debout. un long soupir s'échappe de tes lèvres. mais la lueur rouge des lumières d'urgence te laissait entendre que ce n'était pas qu'un petit problème qui allait vite être résolu. ton regard balaie le wagon avant de tomber sur la tignasse bouclée d'andrea accompagné de somi. tu avances et tu sens un liquide sur tes chaussures. ton regard se pose sur le sol pour voir que l'eau était en train de s'infiltrer dans le wagon... intérieurement tu te dis que tu n'aurais pas du courir pour prendre le métro et attendre le prochain. magnifique dimanche matin n'est-ce pas? ouai tu prends jamais rien au sérieux louise. et tu vois une personne dans le wagon en face de vous en train de parler. mais le son n'est pas aussi qualitatif que l'image. tu sors ton téléphone de ta poche pour écrire en gros sur l'écran on ne t'entends pas. vous avez aussi de l'eau dans votre wagon?

louise court pour prendre le métro. mais chill elle pourrait mourir noyer pourtant elle voit pas le problème de rester bloquée ici.elle rejoint @Andrea Davis et @Hanaoka Somi. elle communique avec @Sugimoto Ruri via son écran de portable.

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01.10 tc outfit

"Mais stp viens me chercher, je suis pas bien j'ai juste envie de dormir….Mmmh…" La suite de la conversation avec Somi ne lui convient pas vraiment alors il reste là, dehors, alors que le soleil est déjà levé depuis une bonne heure. "Oui mais on aurait pu mater le levé du soleil si tu m'avais pas bloqué…mmh…oui… Mmh…mais tu peux venir au moins stp ? Stp fait pas la meuf j'ai vraiment besoin de toi… mais c'est comme ça je sais pas j'aime pas quand t'es pas là c'est tout" Et l'histoire ne nous dit pas comment Somi a cédé aux caprices de son ami si tôt un dimanche mais c'est de cette manière qu'ils se sont retrouvés sur le même quai de métro. Petit moment qu'ils passent ensemble et durant lequel la belle regarde son clochard dans le blanc des yeux. Il lui offre une caresse sur la joue qu'elle décline en repoussant sa main. Une fois dans leur wagon, Andrea est pris d’une nausée, et descend, suivi par l’idole, courant jusqu’à la première poubelle pour s’alléger l’estomac. La sonnerie retentit et le couple d’ami saute alors dans le wagon en face d’eux, différent du premier. Merde Satoru et Ruri.

Il s’assoit près de Somi et se contente de s’enfiler tout son paquet de chewing-gum , sa bouche ressemblant désormais plus à un désodorisant Forêt de Sapin qu’à autre chose. Puis soudainement, le chaos. Les suspenseurs du métro s’arrêtent et la gravité fait effet. Ils tombent, l’Anglais se cogne à Somi avant de s’agripper là où il peut. Certains se mettent déjà à paniquer. Lui, souffle. “Ca va?” Les minutes passent. Il n'a pas envie de réfléchir, mais s’en voit bien obligé à cause de l’eau qui défonce ses nouvelles baskets. Flash de portable allumés, Andrea et Somi éclairent l'extérieur du wagon à travers la vitre comme pour se repérer et remarquent que l’eau est aussi présente à l’intérieur même du tunnel. Andrea tente d’envoyer un texto à Ruri pour prendre des nouvelles mais le signal semble faible. Après s’être trompé de côté, il s’oriente vers la porte du troisième wagon où il trouve ses amis de l’autre côté, ainsi que Louise de son propre côté . ”Louise ? Mais ?T’étais à la soirée toi aussi ?” demande-t-il, en donnant un coup de pied dans la porte coulissante, au niveau de la poignée. "Ouch, merde ils ont de l'eau eux aussi"

DD entre dans le wagon 2 avec @hanaoka somi après avoir déposé un cadeau dans la poubelle du quai et avoir abandonné @Sugimoto Ruri et @Fuyutsuki Satoru dans le wagon 3. Il est soulé car l'eau a sifflé ses baskets, il check avec Somi l'exterieur du wagon avec leurs portables à travers la vitre genre au niveau des """"rails""" pas rails la. Ensuite Il va vers le wagon 3 et tente de donner un coup dans la porte pour l'ouvrir mais obviously il s'est rien passé MDR et au passage il croise @Louise Greenwood donc il lui demande si elle etait a la soirée car il a zero souvenir qu'elle etait la

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31.10.99 // 23 ans

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01.10 tc outfit

Une vingtaine de minutes à faire la potiche devant la station de métro avaient fini par convaincre Evie de partir sans Somi. Ses messages étaient restés sans réponses et la blonde oscillait entre inquiétude et agacement. Ecouteurs sur les oreilles, elle ruminait tout ça tout en étant bien décidée à profiter malgré tout de sa sortie. Les moments ou elle pouvait profiter de la vie étaient devenus rares ces derniers mois. Elle travaillait énormément et avait peu de temps libre. Elle n’en était donc que plus déçue encore. Perdue dans le tumulte de ses pensées, elle n’avait pas vraiment prêté attention à ceux qui l’entouraient. Jusqu’au tremblement qui la fit tomber à genoux, écorchant son épiderme. Son équilibre terrestre ne valait définitivement pas celui sur balais volant. Tout alla ensuite très vite. Elle arracha les écouteurs de ses oreilles. Juste à temps pour que son sang bouillisse en entendant les mots Andrea et Somi sont de l’autre côté. Formidable. “Vous vous foutez de moi…” marmonna-t-elle pour elle-même. C’était tant une réaction à ce qu’elle venait d’apprendre qu’à l’eau qui léchait ses sneakers. Evie avait toujours été une amie très conciliante mais, cette fois, elle était aussi vexée que déçue. Elle rejetta pourtant ces émotions derrière elle, il y a avait plus urgent pour le moment. L’anglaise détestait les espaces clos. Encore plus quand ceux-ci fuyaient. Personne ne semblait décidé à faire quoi que ce soit. Il y a quelques mois, sans doute aurait-elle finit paralysée par la peur. Elle avait grandit depuis. La technomagie était toute sa vie, elle ne pourrait lui coûter la sienne. L’ingénieure s’approcha donc des portes coulissantes, inspectant ce qu’elle pouvait. Après tout, les métros n’étaient pas son domaine de prédilection. Il était clair que les portes (autant celles donnant sur le dôme que les portes de communication) n’étaient plus alimentées en poussière. “Je vais avoir besoin de catalyseurs… Il n’y a plus de poussière dans le métro. Si on veut ouvrir la porte, il va falloir stimuler suffisamment la porte entre les deux wagons pour forcer l’ouverture automatique.” Et… avec un peu de chance, si ça marchait, essayer de reprendre le contrôle du train. Mais, ça, ce serait une autre paire de manches. Surtout si, une fois la porte ouverte, tout le monde décidait de se ruer vers le deuxième wagon. Elle restait optimiste, on allait les sauver.

Evie s'est fait poser un lapin par @hanaoka somi ~~tout ça pour aller s'occuper de red flag dd le likeur de boules mais elle le sait pas encore~~. Ecouteurs dans les oreilles et tronche des mauvais jours, elle tombe et s'écorche les genoux lors de la chute du wagon. Elle apprend de @Sugimoto Ruri que Somi ET @Andrea Davis sont dans le wagon d'à côté du coup elle a le seum. Comme il y a quand même plus urgent, elle demande aux gens autour d'elle de lui filer leurs catalyseur pour qu'elle essaie d'overdrive en poussière la porte communicante pour forcer l'ouverture.
~~p.s : elle a pas reconnu dd de l'autre côté de la porte avec sa tenue de clochard~~

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(24 ans) 19.02.99

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01.10 tc outfit

wagon 2

Elle a dit oui - par pitié, par compassion ou pour avoir la paix, mais certainement pas par amour dirait Somi. " T'es venue. " constate quand même Andrea en ne cachant pas son air satisfait. A contrecœur, pense fort la chanteuse en le laissant s'appuyer contre elle. C'est tout ce qu'elle concède, en tant que meilleure amie, un soutien pour le Hiisa qui sent le sol tanguer sous ses pieds. Ce n'est donc qu'à Satoru et Ruri qu'elle accepte de décrocher quelques mots. Coup du sort ou préméditation, Somi se retrouve rapidement séparée du duo pour suivre Andrea sur le quai, vers la première poubelle à porter. Elle détourne les yeux, juste à temps pour le presser de retourner dans la rame.

C'est donc en tête-à-tête, dans un silence imposé par la sorcière, qu'ils se retrouvent assis face à face. Bien sûr, le garçon la fixe, mais Somi s'entête à éviter son regard. " Je t'accompagne jusque chez toi et ensuite je pars. " explique la sorcière en regardant l'heure pour se rappeler d'un événement jusque-là oublié. " Mince… " Il ne lui faut qu'un instant de lucidité pour attraper son téléphone et vérifier les messages laissés par son amie, Evie. Qu'elle est sotte, Somi, d'avoir oublié de prévenir de son retard. " Désolée, Andrea se sentai… " commence-t-elle rapidement à taper sur l'appareil. Hélas, le Gallois n'est pas la seule perturbation de la journée car le métro tremble soudainement, ralenti et s'affaisse en faisant perdre l'équilibre à quelques passagers.

Un silence de mort suit le vacarme tandis que tout le monde se prépare à une potentielle autre catastrophe. La pénombre dans laquelle ils sont soudainement plongés ne l'empêche pas de discerner l'inquiétude sur les visages autour d'elle, dont celui d'Andrea. " Ça va j'ai rien, et toi ? " s'empresse-t-elle de le rassurer. Elle lève l'écran lumineux de son téléphone pour mieux voir le garçon puis autour d'elle. Certains cherchent déjà à voir à travers les fenêtres ce qu'il se passe à l'extérieur. L'anglais s'éloigne vers la porte de leur rame pendant que Somi prend exemple sur une autre passagère : bien sûr ! Il faut s'assurer que les secours sont au courant de l'incident. Contrairement à la jeune femme, Somi ne prend pas son téléphone mais cherche plutôt un gros bouton d'appel qu'elle trouve près d'une sortie bloquée. Elle enclenche le bouton rouge puis des inconnus se ressemblent autour d'elle, en espérant sans doute entendre les paroles d'un employé dans les hauts-parleurs. Pas de réponse. Quelqu'un rouspète tout de même un enfant qui pleure tandis que les autres adultes tendent encore l'oreille, mais rien ne semble se passer et l'eau monte encore et encore.

somi est venu chercher @andrea davis après une bonne soirée arrosée, elle fait donc la route de retour avec @sugimoto ruri et @fuyutsuki satoru mais se retrouve séparée d'eux avant que le métro ne déraille. de base, elle devait retrouver @evangeline spencer qu'elle tente de prévenir un peu trop tard. c'est un peu le chaos mais somi arrive à prendre exemple sur quelqu'un qui tente d'appeler les secours avec son téléphone, en trouvant plutôt le bouton d'urgence dans la rame et attend que quelqu'un réponde à son appel.

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11.05.99

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wagon 2

Un SMS laconique de son père et Kell avait accouru, alors que le soleil se levait à peine, pour observer la mer et ses remous, tenter de discerner les changements dans la poussière. Et voilà qu'il piquait à présent du nez sur le chemin du retour. Il n'avait rien vu, évidemment. Et il commençait à penser que son paternel se moquait de lui (avait-il jamais arrêté ?) et que tout ça n'était qu'une vaste blague. Perdu dans ses pensées, comme à son habitude, il n'avait pas pris la peine de remarquer le petit peuple qui l'accompagnait dans cette rame. Il roula des yeux d'un air blasé -cette journée ne pouvait vraiment pas mieux démarrer- alors que le métro s'arrêta net et que Kell en perdit l'équilibre. Ses griffes étaient sorties par automatisme, sentant le danger affluer. L'Henshisha se rétablit tant bien que mal sur ses pieds avant que son genoux droit ne se dérobe sous son poids, son corps n'étant pas le seul à tomber... Le métro en faisait de même. Il jura dans sa barbe, pourrait-il avoir ne serait-ce qu'une journée tranquille ? En grognant, il se remit sur ses pieds et capta l'énergie ambiante : paniquée, inquiète et... mouillée. Il fit deux pas dans la marre qui se formait déjà à ses pieds et fronça les sourcils en n'entendant aucun retour dans l'interphone que Somi venait d'activer. Bordel.. Et comme s'il avait été appelé de l'autre côté du wagon, comme si un fil invisible le reliait toujours à Evie, il esquissa un regard vers la vitre qui les séparait et les griffes ressortirent aussitôt. Elle était là, bloquée de l'autre côté, le visage furibond mais déterminé. Qu'importe ce qu'elle avait en tête, il ne put s'empêcher de laisser un doigt glisser contre la vitre, comme si une griffe pouvait entamer le matériau indestructible dont l'appareil était apparemment paré. Qu'est-ce que tu fais ici demanda t-il dans un murmure, sachant pertinemment qu'elle ne l'entendrait pas.

Kell est encore sorti trop tôt pour observer des trucs qu'il voit pas. Il voudrait juste dormir et le train qui s'arrête faisait pas partie de ses plans. Il est un poil inquiet quand personne répond à l'appel de @Hanaoka Somi et encore plus quand il voit qu'@Evangeline Spencer est dans l'autre rame. Attention, chevalier servant (ou pas) in coming.

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06/01/1997 & 26 ans

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Wagon 3

Elle avait ressenti le besoin d'aller se dépenser seule en ce dimanche matin et c'est ce qu'elle a fait au stade de cosmoball. Il n'y avait personne sur le terrain et elle avait en effet sué pendant une bonne heure avant de décider de rentrer chez elle. Sur le coup, plongée dans son univers grâce à ses écouteurs, elle n'a pas fait attention à ses camarades de rames sinon elle aurait repéré les visages familiers de son équipe de cosmo. Mais rien à faire, assise sur son siège, elle somnole manquant de basculer par terre à l'arrêt du métro. Elle se rattrape comme elle peut à une barre de maintien et s'empresse de retirer ses écouteurs pour reprendre pied dans la réalité difficilement. Elle repère alors Evangeline et dans l'autre wagon Louise, Andrea et Somi. Les autres, elle ne les connaît pas. Et elle ne peut que retenir un grognement d'agacement alors qu'elle constate que l'eau s'est invitée à la fête et qu'elle est en train de mouiller ses baskets. Affolée, elle grimpe sur le siège. Si les soins palliatifs font effet, elle ne voit pas pourquoi elle provoquerait le diable. Décrochant ses boucles d'oreilles, elle fait confiance aux talents d'attrapeuse de sa capitaine alors qu'elle lui lance son catalyseur.

- Evie, sors nous de là s'il te plaît !

Yumi est allée s'entraîner au stade de cosmo en ce dimanche matin et là elle repartait tranquillement chez elle. Écouteurs dans les oreilles, elle fait absolument pas gaffe aux gens autour d'elle et somnole durant le trajet jusqu'à l'arrêt du métro où elle manque de tomber par terre. Elle s'affole en voyant l'eau monter dans le wagon à cause de sa nature de Ryūketsuki. Elle lance son catalyseur à Evie dans l'espoir que cette dernière les sorte de là.

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12.11.97; 25 ans

✧ DANS LE NÉANT ✧
01.10 tc outfit

wagon 3
dans l’obscurité, oppressé par son ignorance, satoru avait tout de même trouvé le moyen d’agir comme un abruti. il mit un temps astronomique à dégriser, et malgré l’effort fourni, comprendre ce qu’il se passait et les phrases lancées de toute part relevait de l'exploit. il tentait de garder une apparence composée mais au fond de lui, il avait affaire à un tumulte de pensées et peurs qui ne demandaient qu’à faire surface. il préférait ainsi ne pas répondre et seulement hocher de la tête lorsque la situation le nécessitait, gardant la main de ruri dans la sienne pour un réconfort qu’il ne trouverait pas ailleurs.

le temps presse et défilait plus rapidement que ce que l’on voulait bien admettre. dans la panique générale, une seule voix s’était attachée à ses oreilles, ayant demandé quelque chose qui lui semblait plus qu’intelligent. il aurait même voulu se vanter des mérites de l’idée s’il n’était pas encore sous les effets de l’alcool et n’avait donc pas eu plus d’idée que de bavasser comme si la situation n’était pas aussi grave qu’urgente. satoru ne perdit pas une seconde pour sortir son catalyseur, une montre à gousset, et la donner à la demoiselle pour qu’elle tente quelque chose. il souhaitait que cela fonctionne pour donner une lueur d’espoir à toutes les personnes du wagon, et du reste du train. il aurait voulu ajouter quelque chose, acquiescer, dire que son idée était très bonne et qu’il fallait impérativement changer de wagon pour avancer et trouver de quoi s’extraire du train et du tunnel, les mots mourraient dans sa gorge à peine les avait-il pensé. il se tint ainsi muet à seulement agir lorsqu’il en voyait la nécessité, ne souhaitant pas déranger non plus alors qu’ils devaient œuvrer pour ouvrir la porte sans blesser personne.

résumé : satoru sert à rien, il donne juste son catalyseur à evie pour tenter d’ouvrir la porte

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	magical dream