- FaceclaimCrédits
- Pseudo IRL : jabberwocky, margotPronom(s) IRL : elleFaceclaim : nakamoto yutaCrédits : helMessages : 798Points RP : 216Dama : 2 464Couleur de dialogues : #B2B2B2CW & TW :
- Spoiler:
- deuil, abandon.
Aesthetic IRP :
rev·e·nant
/ˈre-və-ˌnäⁿ, -nənt/
a person who has returned, especially supposedly from the dead.
'cause I'm just one of those ghosts
traveling endlessly
don't need no roads
in fact, they follow me
and we just go in circles
☼ SAGITTARIUS ☾ SCORPIO ↑ CAPRICORN
ESTJ-ANaissance & Âge : 22.12.1995 (28)Pronom(s) : ilStatut Civil : en couple, avec saeri.Occupation :brigadier (brigades spéciales)
dans les pas de sa mère, formé à l'étranger, intégré en décembre 2022. il a trouvé dans ce métier le cadre qui l’a toujours rassuré, la rigueur et le détachement qui lui sont toujours venus naturellement, en symbiose avec la poussière.
sportif (volleydust, boxing, bmx/skate)
un exutoire, une manière pour lui d’exprimer ses sentiments sans avoir besoin de les verbaliser inutilement. il les a multipliés, assidu et motivé sans être intéressé par les compétitions.Particularité(s) :sōgaka (particularité cassée)
entre amour et désamour, comme toujours. il rejetait sa spécialité de nécromancie, lui préférait les visions, mais la mort de sa mère a tout fait valser, le troisième œil s'est scellé : il ne voit plus rien, sauf les morts. a vu sa mère une nuit et nourrit l'espoir de la revoir, sans succès jusque-là.
· branche 1, instinct :seuil 2à l'arrêt
· branche 2, vision :seuil 2à l'arrêt
· branche 3, nécromancie : seuil 3.Catalyseur :boucle d'oreille honeko (visuel)
la boucle d'oreille est un souvenir aussi précieux que douloureux sur lequel il garde le silence. il oscille entre amour et haine envers ce catalyseur qui le lie à sa sœur une énième fois, qui crie en silence tout l’amour qu’il lui porte, malgré le reste.Logement :seikikō, dans un appartement peu décoré - pas encore le courage de rentrer à la maison, où débordent les fantômes.Signes Distinctifs :bracelet technomagique des brigades spéciales au poignet.Relations :mio (pnj), mère · i'll make you proud.
shiro (pnj), sœur · clair-obscur.
nyl, love, nyl · bestfriend - or?
saeri, girlfriend · conquête spatiale.
saem, bff · uc.
anla, amie · uc.
Points RP
Kaneko Kuro
Dans le silence des allées fantômes, Kuro la regarde, toujours de la même manière ; comme s’il s’attendait à la voir apparaître. Il a troqué ses yeux d’adulte pour ceux d’il y a longtemps, l’espoir enfantin nourri par ce jour particulier, plein d’entrain, à imaginer l’impensable - il continue son éternelle quête de l’amour maternel, même après sa mort. Il a pris un petit gâteau sur le chemin (celui qu’elle aimait), quelques fleurs (ses préférées), et il lui parle, par le cœur. Incapable de se résoudre à passer son anniversaire sans elle, il lui raconte le message paternel laconique, auquel il lui assure avoir répondu dans la foulée, le travail, dans sa banalité réconfortante (évite à dessein le sujet de ses séquelles, les douleurs lancinantes à certains gestes, les bandages qu'il ne parvient pas encore à enlever et les sorts anti-douleurs que saeri force sur sa peau), les recherches de sa sœur, qu’il continue coûte que coûte (qu’il ne peut se résoudre à arrêter, ne serait-ce que pour elle), la soirée que Saeri lui a organisée et à quel point elle y tenait (ça le fait rire, et dans ce rire résonne toute son affection, tout son attachement).
Et comme tous les ans, cette fois pourtant devant sa vraie tombe, pas un lieu de recueillement improvisé à l’autre bout du monde, elle ne viendra pas. Kuro laisse le gâteau et les fleurs, envoie un rapide i’m leaving, be right there à Saeri et se penche vers l’autel.See you, mama.
Les traits enfantins se dispersent seulement à la frontière du cimetière, une fois les portes passées ; l’espoir le quitte à nouveau, en même temps qu’il réalise qu’elle ne viendra pas. Les mains dans les poches, Kuro prend le chemin de chez lui marqué par l’habitude, qui, elle, ne parvient pas à masquer la déception. Elle ne se voit plus quand il arrive finalement dans l’appartement décoré et retrouve les vivants, tous ses amis venus pour l'occasion, le sourire et les épaules qui se bousculent remplaçant tout le reste. Se faufilant entre les gens qu’il prend le temps de saluer, il finit par parvenir jusqu’à Saeri, les bras qui se saisissent de sa taille, les mains qui retrouvent instinctivement les siennes et les lèvres qui se posent sur sa tempe.Hey princess, chuchote-t-il à son oreille, love what you’ve done with the place, ajoute-t-il, les yeux qui font le tour de la pièce pour dénicher les décorations discrètes mais touchantes. Thank you. Ça n’a pas l’air de grand-chose, mais ça n’a que les atours d’un merci poli, en réalité gorgé de sincérité et de reconnaissance. I’ll get a drink, you got one? Saeri quittée d’un rapide baiser, Kuro salue d’autres amis de sa bande habituelle, prend des nouvelles comme s’ils ne s’étaient pas vus la veille, finissant par se retrouver devant Nyl, le sourire qui s’agrandit et le regard qui se baisse vers les deux boissons qu’elle tient à la main, dont il reconnaît aussitôt la couleur. Please tell me one of these is for me. Il n’a pas vraiment besoin de le demander, puisque Nyl tient deux verres de sa boisson préférée, le jour de son anniversaire, mais qui sait, elle a peut-être prévu de démarrer la soirée en fanfare ou le réservait pour Anla.
Et comme tous les ans, cette fois pourtant devant sa vraie tombe, pas un lieu de recueillement improvisé à l’autre bout du monde, elle ne viendra pas. Kuro laisse le gâteau et les fleurs, envoie un rapide i’m leaving, be right there à Saeri et se penche vers l’autel.
Les traits enfantins se dispersent seulement à la frontière du cimetière, une fois les portes passées ; l’espoir le quitte à nouveau, en même temps qu’il réalise qu’elle ne viendra pas. Les mains dans les poches, Kuro prend le chemin de chez lui marqué par l’habitude, qui, elle, ne parvient pas à masquer la déception. Elle ne se voit plus quand il arrive finalement dans l’appartement décoré et retrouve les vivants, tous ses amis venus pour l'occasion, le sourire et les épaules qui se bousculent remplaçant tout le reste. Se faufilant entre les gens qu’il prend le temps de saluer, il finit par parvenir jusqu’à Saeri, les bras qui se saisissent de sa taille, les mains qui retrouvent instinctivement les siennes et les lèvres qui se posent sur sa tempe.
Kurri Anla et Amokna Nyl ont feelsé sur ce message
- FaceclaimCrédits
- Pseudo IRL : mayoliPronom(s) IRL : she, herFaceclaim : park jihyoCrédits : lullaby(e)Messages : 1558Points RP : 143Dama : 10 327Couleur de dialogues : var(--co4)CW & TW : TW ϟ harcèlement ϟ une très grande partie de l'adolescence de saeri s'est construite autour du harcèlement moral dans le cadre scolaire. des habitudes qu'elle a abandonné en grandissant mais qui laissent derrière des réflexes toxiques dans des relations où elle se sent en difficulté.Aesthetic IRP :'98 liner
火勇Aesthetic IRL :
Pronom(s) : she/herStatut Civil :supposely in love ♡ (kuro)Occupation :cursus maintien de la paix — sentinelle (8)Particularité(s) :sogaka — 想画家
vision (seuil 3)
instinct (seuil 1)Catalyseur :pièce d'échec — le pionle catalyseur se charge en fumée violette lorsqu'il se remplit de poussière, pour ne redevenir qu'un écrin de cristal quand il est vide.Logement :chuo-kōei — kabi doriSignes Distinctifs : hiisa — marbrure enroulée autour de sa cheville gauche
sogaka — oeil de vision gravé derrière son oreille droite
ex cheerleadeuse — cicatrice à la cheville droite
Points RP
Lim Saeri
La perfection en obsession dans chacun de ses regards ; ceux qu’elle veut discrets, inoffensifs, mais qui débordent d’efforts insensés. Les doigts qui s’agitent, obligés, à replacer le moindre détail de décoration pourtant sommaire, jusqu’à cette mèche brune qu’elle arrange, indécise, derrière son oreille pour la sixième fois. Y’a la peur de trop faire qui se mêle à celle du pas assez, la raison chahutée par ce souffle intérieur qui lui intime que, quoi qu’il arrive, Kuro saura la convaincre que c’est parfait. Même si elle grimace, qu’elle voudra s’étendre en un millier d’explications qui ne serviront qu’à défaire les efforts de guerre – il la fera taire. Et tout ira bien. It’s only a birthday ; le murmure d’une raison salvatrice qui se glisse dans un début de sourire alors qu’elle vérifie encore une fois que son rouge à lèvre ne coule pas. Et finalement la joie qui succède à l’appréhension, fleurit, gourmande, dans le cœur qui se précipite vers la porte d’un appartement qui n’est pas le sien. Sans jamais se demander depuis combien de temps elle occupe l’espace comme dans sa propre maison ; à accueillir des invités qui sont ceux d’un autre, à jouer à l’hôte dévouée (l’est réellement) sans réaliser que ce masque là fait niais. Mais la culpabilité se fera oublier, juste pour aujourd’hui. Elle redeviendra la reine de sa propre réalité bien assez vite – belle actrice qui s’accroche aux doigts de ceux qu’elle connaît, montre plus de réserve aux traits moins familiers, sans jamais briser ce sourire sur ses lèvres. Belle actrice, si belle qu’elle oublie ; le deuil qui se porte plus bas, qui encombre l’esprit, alourdit le cœur. Ses préoccupations sont ailleurs, dans l’après – dans tous ses efforts pour faire bien, mais pas l’étouffer. Lui. Roi d’une journée. Celui que tout le monde attendait, dont on se réjouit de laisser éclater le nom dans un brouhaha palpable quoique plaisant. Et Saeri s’efface un court instant, laisse le moment aux autres – elle qui l’a pour elle tout le temps. Spectatrice de ce spectacle chaleureux, les bras pourtant croisés, presque impatients, sur sa poitrine. Jusqu’à ce qu’il la retrouve, quelque part au milieu de l’effervescence ; ses bras sur sa taille, ses doigts entremêlés aux siens, son affection sur sa tempe. Hey birthday boy – it’s really not a big deal. You deserve it. Et peut-être la connaît il assez pour déceler le mensonge qui cherche à se mêler à la réalité. It’s not a big deal – quand chaque détail a été réfléchi, ajusté, changé, abandonné, repris. Un projet ridicule de détails insignifiants au demeurant. Don’t worry about me, d’une main glissée dans son dos, l’attention-papillon qui s’amuse à butiner sur d’autres sourires. Quand elle reste un instant de plus dans son ombre, à virevolter de loin avec lui d’un inconnu à un ami. Elle hiérarchise les relations, créer des liens entre des visages qu’elle regrette presque ne pas avoir connu avant ; jusqu’à ce que les épaules soient bousculées, enroulées dans le bras de Jules. C’mon baby girl, let me get you a real drink.
— let them assume
let them wonder .
Keeng Saem et Kaneko Kuro ont feelsé sur ce message