(∞) 鬼武者,, LE TEMPLE D'IZANAMI - fightclub

七転び八起き
fall down seven times, stand up eight

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komeikyū (dissimulé), eiyamachi ∙ arène de combats clandestine
ryuzashi remi (propriétaire)

types de combat : ∙ à mains nues (avec ou sans arme) ∙ muay-thaï, kick-boxing japonais ∙ arts martiaux finances : ∙ gains des paris ∙ financements du clan ryuzashi ∙ extorsion, dettes

infos principales : ∙ création en juillet 2015 ∙ affilié aux yakuzas ∙ accord tacite avec les forces de l'ordre (corruption) détails : ∙ emplacement exact inconnu ∙ nombre de partisans inconnu

des affres de l’impie apparait un nouveau sanctuaire à la violence. à l’immonde. à l’honneur. à la gloire. le temple d’izanami se crée et avec lui, les promesses aux vices. arène de combats clandestins affiliée aux yakuzas, son emplacement demeure inconnu - les autorités ont cependant conscience de son existence. nombre de représentations s'exécutent dans ces recoins sombres, mettant à l'œuvre les immondes comme les nimbes. c'est un défouloir sans commune mesure où les limites demeurent floues, où les âmes se perdent et finissent à bout. une certaine dépendance apparaît, dopamine entretenue avec soins par les mauvais anges. antre aux parias ou théâtre d'exploits, le temple se parent de mille visages et d'atouts considérables. on lui reconnait ses prouesses mais on oublie vite, que les lieux appartiennent à la pègre sorcière. les conséquences en sont souvent désastreuses, et les membres du clan ryuzashi ne manquent pas de faucher quelques âmes dans celles qui ploient.

détails 　on accède au temple par une porte dérobée, à l'arrière d'un immeuble quelconque. son emplacement change au gré des envies du labyrinthe de komeikyū.
　∙ l'entrée se présente toujours d'elle-même, qu'on la cherche ou non
　∙ le temple est doté d'une volonté propre, il est peu recommandé d'y pénétrer sans son accord (sous peine de se retrouver dans les cuisines d'un restaurant insalubre).
　∙ l'espace est complètement différent : l'entrée débouche sur une allée ombrée de grands cerisiers, perpétuellement en fleurs (d'une couleur tirant vers le rouge sombre), au bout de laquelle se trouve un temple traditionnel japonais.
　∙ l'atmosphère est lourde, les nuages y sont toujours bas, et des lampions bordant le chemin sont allumés d'une flamme éternelle
　∙ l'intérieur du temple est constitué de plusieurs salles qui se transforment selon leurs envies (ou les besoins de leur propriétaire). on y retrouve essentiellement : les appartements de remi (inaccessibles), des pièces d'entraînement ou de repos, et une fosse commune (une arène délimitée d'un grillage incassable et bordée de gradins).

dans ce temple, les soirées ne sont pas anodines. il se pratique les combats à mains nues (sans règles), régulièrement, véritable déversoir aux colères les plus crasses - mais pas seulement. on peut retrouver des combats martiaux (avec ou sans armes) qui donnent lieu à de véritables soirées de spectacle, souvent annoncées en amont et qui appâtent de nombreux curieux. ces grandes soirées en demi-teinte font la renommée de l'arène mais n'entretiennent que sa délicieuse influence. dans ses ombres se font aussi des duels de mage, de temps en temps, sous le couvert de manipulation. ils résultent pour la plupart de règlements de compte au sein de la pègre sorcière, l'assistance sert alors à la fois de caution et de témoin. les intérêts de chacun sont multiples, mais tous trouvent sens. pour se défouler, pour l'argent ou pour la gloire, les ressources pour atteindre ses objectifs ne manquent pas.

le temple d'izanami est un théâtre des manigances sombres. tous les coups sont permis. les interdits ne sont plus des excuses. les violences se meuvent aux bons grés d'une pègre sorcière impétueuse. se taisent de nombreux secrets qu'on ne voudrait nommer et parmi eux, des challengers dopés à leur insu. et pour cause, une drogue sorcière est régulièrement diffusée (selon les humeurs et/ou les besoins, fournie par le clan de @ishida minato) afin de stimuler les énergies des combattants et de les rendre dépendants à l'arène. cette pratique tue demeure source de rumeurs et seuls ceux acquérant un certain statut ou étant employés des lieux sont mis dans la confidence - et peuvent accéder à l'antidote leur permettant de rester neutre de toute influence. mais des discrétions les plus sombres se révèlent sans nul doute celles des onryō et yūrei qui hantent les lieux selon les bons vouloirs de la tenancière. mauvais esprits et fantômes se jouent des âmes d'autrui et, parfois, prennent possession des guerriers afin de rendre les combats inoubliables... pour le meilleur et le pire. les combattants déchus, aux dettes trop lourdes pour leur simple vie, se retrouvent exilés dans le clan des sources chaudes (où ils deviennent asservis aux esprits qui y règnent). quant à ceux réclamant plus, ils se retrouvent trop souvent mains liées dans les affres des ryuzashi. l'allégeance demeure envers remi, et son clan par extension.

détails 　peu de restrictions, presque aucune règle. les combats peuvent mener à la mort du ou des combattants, ils se gagnent par forfait ou KO de l'adversaire. ils peuvent être interrompus si leur issue menace des enjeux ou des affaires importantes (appartenant essentiellement aux yakuzas).
　∙ l'arène est accessible h24, tous les jours ; mais les combats se déroulent essentiellement le soir. les soirées spéciales organisées sont annoncées en avance.
　∙ les forces de l'ordre ont connaissance de l'arène mais ferment les yeux grâce à la corruption de certains agents (d'autres, même, y participent).
　∙ des paris sont régulièrement organisés, beaucoup viennent surtout pour assister aux combats, s'amuser et s'enrichir sur le dos de la violence.
　∙ des onryō (esprits vengeurs) et des yūrei (fantômes), certains y sont plus sensibles que d'autres (les voyants, notamment) mais la plupart ne ressentent leur présence qu'à travers une sensation désagréable.

de nombreux styles de combats peuplent le paysage de l'arène, attirant toujours plus de profils et d'appétences différentes. l'absence de règles permet d'exprimer sa violence avec rigueur ou, au contraire, sans retenue. les manières de combattre peuvent être méthodiques ou chaotiques, issues d'une discipline certaine ou apprises dans la rue, toujours est-il que le mélange donne lieu à des confrontations uniques. il est possible de s'entraîner au temple, selon ses envies ou ses compétences, des espaces sont mis à disposition, et des précepteurs et maîtres d'arme sont là pour ça... attention cependant à ne pas tomber dans les travers des yakuzas.

( à mains nues )  expression la plus simple et la plus cruelle de toute violence, et exutoire parfait à ses démons : ce sont les manières de combattre les plus répandues dans l'arène, souvent issues des rings de boxe, des combats de rue ou des rixes entre gangs. il n'y a pas de réelle discipline ou de techniques particulière. ce sont des combats très physiques, qui se terminent souvent de manière sanglante. les challengers peuvent utiliser tout ce qu'ils ont naturellement à disposition ou qui leur tombe sous la main : leur environnement, arme personnelle (à l'exception d'armes à feu), magie, etc.

( muay-thaï et kick-boxing japonais)  sport de combat les plus répandus en asie, qui ont naturellement trouvé leur place dans l'arène. ce sont les "boxes" les plus représentées parmi les combattants, jouissant de leur popularité dans les sociétés asiatiques. elles témoignent d'une certaine souplesse et de frappes efficaces. la puissance des attaques est non négligeable, et les deux sports possèdent un arsenal de coups allant aux plus complexes.

( arts martiaux )  particulièrement mis en avant par les yakuzas participant aux combats, on retrouve essentiellement les disciplines japonaises parmi d'autres : les arts du corps à corps et les arts des armes. tous les genres sont représentés, et sont également mis en lumière lors de soirées spéciales aux allures de véritables spectacles. même s'ils sont avant tout l'expression d'une rigueur tant à la fois physique que spirituelle et morale, ces combats témoignent également d'une violence particulière, servant souvent de territoire pour les règlements de compte entre clans.

( duels de mage )  très rares mais pas impossibles, des duels magiques sont organisés (généralement sur demande) en guise de divertissement ou afin de régler des comptes devant des témoins (notamment pour asseoir une place importante dans la hiérarchie d'un clan ou d'un gang). la différence avec les simples combats est que dans ces duels, seules des techniques de magie sont utilisées. aucun contact physique n'est réellement établi entre les adversaires.

les combattants sont communément regroupés en plusieurs catégories mais il n'est pas rare d'osciller entre deux, ou de naviguer d'une place à une autre. il est très difficile de se faire une place de renom, mais il est très facile de s'endetter auprès des yakuzas.

　› les combattants de prestige
ce sont les champions, ceux dont la renommée n'est plus à faire - mais doit souvent s'entretenir, sous peine de se voir remplacer par d'autres. leur réelle identité se perd souvent au profit d'un surnom, qui les poursuit ensuite dans tout l'underground. se faire une réputation dans l'arène, c'est se faire une réputation dans les basfonds.

　› les combattants réguliers
ce sont ceux dont les visages deviennent familiers, dont la présence se fait de plus en plus régulière. qu'on les reconnaissance pour leurs prouesses ou leurs défaites, ils ont pour point commun leur dépendance aux lieux.

　› les novices
les âmes curieuses, en quête d'adrénaline ou d'un échappatoire morbide. quelques apparitions, parfois notoires, mais surtout des ombres quelconques au milieu des affres des autres.

　› les noms déchus
les guerriers qui se sont perdus, vaincus par les autres ou leurs propres démons. certains ne sont plus que des inconnus, oubliés, envoyés aux sources chaudes. d'autres demeurent au sein du clan ryuzashi, travaillant à rembourser leurs dettes. d'autres encore font des apparitions dans les combats, cherchent à regagner leur gloire... ou à assouvir leur vengeance.

　› les employés
ceux qui entretiennent les lieux à toute heure : intendants, entraîneurs, maîtres d'armes, agents de sécurité, briseurs de sort, employés de ménage, infirmiers, etc. ce sont généralement des membres du clan ryuzashi - dans le cas contraire, ils appartiennent au clan dès lors qu'ils signent un contrat de travail.