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(fb) take my hand (aguilar)

Yun Seok
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https://isekai-monogatari.forumactif.com/t2233-honor-in-revenge-
(fb) take my hand (aguilar) Dbf35322f93e614e5f4e55c4e9e37d32
Pseudo IRL : mayoli
Pronom(s) IRL : she, her
Faceclaim : woo dohwan
Crédits : ourmidnightgold
Messages : 699
Points RP : 0
Dama : 5 835
Couleur de dialogues : var(--co2)
CW & TW : ϟ le personne aborde régulièrement les thématiques du deuil, de la perte tragique d'un être cher et j'imagine que son comportement envers pandore peut être perçu comme du stalking. je n'ai pas de tw ou cw particuliers dans la mesure du moralement acceptable et autorisé par le règlement d'imo.
Multicomptes : l. saeri (queen beetch) & oliver h. (husband)
Aesthetic IRL : IRP ϟ rp à la troisième personne. dialogues principalement en français, ou anglais si préférence. longueur entre 200 et 700 mots (variables selon inspi). je réponds en général sous 10j max, mais ne lis les rp que quand je peux y répondre dans la foulée.

IRL ϟ joignable sur discord ou par mp toute la journée. moins dispo le weekend. ne pas hésiter à me relancer en cas d'oubli, promis je snobe personne ♡
Naissance & Âge : 13 dec. '93 — 29 yo
Pronom(s) : he, him
Statut Civil :
crushing over the insane neela barker
Occupation :
agent de sécurité — kaisei ph.
Particularité(s) :
gengaka — illusioniste

présence (seuil 4)
invisibilité (seuil 3)
illusion (seuil 1)
Catalyseur :
bijou — chaîne en argent
elle porte dans ses maillons la première trace de son indépendance, le caprice inavoué de ceux qui n'ont jamais eu et qui s'octroient enfin le droit de posséder.
Logement :
wakoku — yaganizaka
appartement modeste partagé avec son frère, quand il était encore là. qui pue maintenant la solitude et le vide qui s'est imposé, que seok ose pas encore combler.
Signes Distinctifs : dosmarbrures de la base du cou au dos, complété par un tatouage couvrant l'omoplate et le haut de l'épaule
visage — faussette timide dans le creux des joues, oreille gauche percée
main — caleuses de ses séances d'escalade
Relations : pandore á. — friends to crush to nemesis
neela b. — midnight crush
Yun Seok
MAGE ⟡ we've ridden the stars


take my hand
2018 @pandore águilar outfit


Du haut de son trône fané, il regarde la nuit se dessiner sous ses yeux fatigués. Ça pue les cigarettes éteintes à l’arrachée avant de passer la porte (elle aussi fatiguée) du seven eleven qui grince à chaque envolée. Ça pue la nuit sale, trop entamée qui traîne ses pas lourds de tous ses excès. Il les devine facilement, les nerfs à vif prêt à tout cramer au premier doigt qui oserait s’y poser, bien caché derrière la vitrine de sa supérette désertée. Y’a pas âme qui vive ici, que des fantômes d’une autre vie, des corps qui ont perdu l’essence en leur sein. Y’a rien de bon ici. Rien de bien. Y’a juste lui, qui se tient compagnie au rythme de son propre souffle ennuyé. Et si les yeux sont encore ouverts, donnent encore l’impression de contempler le reste de vie qui s’échoue sur les trottoirs en bas de chez lui, l’esprit s’est endormi. Anesthésié sous l’ennui, il a capitulé y’a quelques heures déjà, après avoir fait le tour de son téléphone reposé dans le cœur de son distributeur de monnaie. A l’abri des regards (du sien), pour être certain de pas le voir emporté dans les vagues indomptables d’un autre alcoolisé – mauvais idée. Parce qu’il voit pas le nord de sa boussole s’activer, planqué contre quatre petits murs en acier. Contrairement à l’accoutumée, Pandore reste plongée dans le noir de sa propre soirée, suspendue à la sonnerie infecte de l’abandon qu’il a jamais intenté, Seok. 2 appels manqués. Deux mains tendues qu’il a pas su rattraper. Et ça grignote déjà la conscience, cette culpabilité qu’il sent glisser le long de son bras en prenant soin de faire se lever chaque poil qui croise son chemin. Sensation d’urgence inhabituelle qui prend rapidement toute la place, alors que la peur qui se dépose sur ses papilles goûte l’amertume tant de fois ravalée. Le corps passe en pilote automatique, en attendant le crash. Les doigts insistent, maladroits, sur son écran pour rappeler Pandore, avec au fond du cœur l’espoir de pas arriver trop tard. Thank Merlin, where are – yeh i know, i’m sorry. Been busy with the – just – listen to me just tex – un soupir, la mâchoire se crispe alors que ses mots peinent à faire mouche ; elle n’écoute pas, parle trop fort. Text me the adress, I’ll be there. Don’t go anywhere Aguilar. L’audace s’est échappée d’entre les lèvres, le cerveau pris de court par cette précipitation qui lui a pas laissé le temps nécessaire de faire des belles phrases arrondies d’une quantité absurde de politesses. Cette même précipitation qui lui fait dévaler son répertoire pour trouver un substitut de lui pour tenir la boutique ; un zombie de plus, les mêmes valises placardées sous les paupières, la même lourdeur dans les bras ballants et les mêmes pieds qui traînent. Il promet qu’il en aura pas pour longtemps, que c’est juste une fois – qu’il lui revaudra ça. Et l’important c’est pas de savoir comment (quand), mais de savoir que les promesses de Seok ne se perdent jamais dans les méandres d’un oubli opportuniste. Les dettes sont trop nombreuses pour se permettre d’en laisser des miettes sur son passage.

Le corps envolé avant que le remplaçant soit arrivé ; pas d’œillades échangées, pas de reproches couchés entre deux gémissements d’un corps qu’on est venu bousculer, juste l’absence du brun qui n’a pas attendu plus d’une seconde pour se dématérialiser. Photoporté plus loin – un peu au hasard. Ses yeux se perdent sur le boulevard, sourd à la violence de la vie qui n’arrivait pas à passer les portes de son konbini tout pourri. Il a placé toute sa confiance dans ses jambes, comme si elles savaient quelles routes prendre pour la rejoindre. Ces jambes qui l’ont jamais laissé tomber, qu’on a jamais réussi à faucher et qui marchent dans les pas de la poupée comme si elle avait des allures de maison qu’il fait bon retrouver. Elle respire la chaleur du chocolat chaud qu’on garde précieusement entre ses doigts frigorifiés en plein hiver, les rires faciles d’enfants insouciants, les souvenirs des jeux qui se sont perdus dans les couloirs qui sentent encore les parfums de maman. Et les sourcils savent pas rester froncés quand les yeux accrochent sa silhouette, quand ses bras l’étreignent pour éviter de la voir chuter. Elle pue l’alcool. Mais cette fois le nez viendra pas se retrousser. Parce qu’elle sent plus que ça, et que ça lui ferait presque oublier son piteux état (exagéré) (plus facile pour faire semblant de lui reprocher). Y’a les doigts qui trouvent trop facilement leur place contre sa taille, le reste du bras plaqué dans son dos pour mieux la guider. Rempart ; piégé dans ce rôle poisseux jusqu’à la fin de sa vie. Let’s take you home, party queen. Mais avec elle, c’est différent. C’est ce qu’il se dit, à chaque fois qu’il répond présent, à chaque fois qu’elle lui sourit et que lui répond oui. Il veut croire que c’est pour l’argent (y’a pas d’autre raison qui le pousse à être aussi arrangeant), mais y’a quelque chose en lui qui lui répond comme un aimant. Le genre d’attraction cruellement bête qui le laisse en marionnette dans son sillage. Ce soir encore, il arrive pas à se prouver du contraire ; quand il se défait de sa veste pour recouvrir ses épaules, quand il vole ses clés sous son nez, qu’il s’installe derrière le volant comme s’il l’avait jamais quitté, qu’il emprunte les mêmes routes à chaque fois qu’il est appelé – c’en est presque capricieux, la façon qu’elle a de se tourner vers lui, de lui demander le monde en sachant qu’il lui refusera aucune de ses envies. Et ça le bute autant que ça le rassure, que son cœur batte pour autre chose que sa propre famille. You’ll have to tip real good this time. Le regard se plante dans le rétroviseur, les pommettes relevées (amusées). I left an actual job to babysit you. It’s all about the money. Quand les rétines s’accrochent plus longtemps qu’elles le devraient, que la poitrine s’agite. It’s only about the money.
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Pandore Águilar
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https://isekai-monogatari.forumactif.com/t162-de-l-autre-cote-du
(fb) take my hand (aguilar) D6VZYiuM_o
Pseudo IRL : jabberwocky, margot
Pronom(s) IRL : elle
Faceclaim : tashi rodriguez
Crédits : villetchuckie
Messages : 928
Points RP : 0
Dama : 12 555
Couleur de dialogues : #822341
CW & TW :
Spoiler:
Multicomptes :
· pandore águilar (la reine de cœur)
· gaia belacqua (la puce)
· seo inhyuk (le big bad wolf)
· kim saebyeog (le bf material)
· kaneko kuro (l'éternelle ombre)
· hoshino tsuru (l'enfant-soleil)
Aesthetic IRP :
☼ SCORPIO ☾ VIRGO ↑ LIBRA
ESFJ-A
Aesthetic IRL :

down, down, down
would the fall never come to an end!
I wonder how many miles I've fallen by
this time?
— she said aloud.


(fb) take my hand (aguilar) 6LDJ4P3n_o

aïe love
Naissance & Âge : 05.11.1996 (26)
Pronom(s) : elle
Statut Civil :
solitude en horreur
(célibataire)

elle aime, d’un amour presque désespéré, véritable besoin. mais pandore a surtout le cœur rempli des pansements d'avant, aussi romantique que déçue par l'amour. marquée par les fantômes de ses idylles, incapable de tout à fait passer à autre chose, elle s'accroche toujours à des silhouettes absentes, disparues, décédées, ambiguës.
Occupation :
substitute du procureur
(l'essence et le briquet)

choix fait à la demande de kaisei pharmaceuticals, ravis de voir leur poupée de son ouvrir discrètement la porte du gouvernement, le ministère public étant fortement lié au ministère de la magie, pour tuer dans l'œuf la moindre tentative de poursuites de la part de rōnins dissidents - ou donner à pandore à la fois l'essence et le briquet.



visage pantin de kaisei pharmaceuticals
(poupée de son)

outil de propagande, elle est le rōnin sage et obéissant, la preuve vivante que c’est possible de s’intégrer, que vos enfants rōnins sont en sécurité, mais personne ne parle de l’après, personne ne dit que pandore est une traître, ni que se recenser c’est accepter d’être observé (non, scruté), analysé, testé (torturé) - et avec le sourire s’il vous plaît.
Particularité(s) :
rōnin
(de l'autre côté du miroir)

1 · entraîner autrui dans son imagination par projection astrale
là-bas ses pensées sont seules limites, se matérialisent sans fin, et parfois ce qui apparaît n’a aucun sens, disparaît aussitôt, se brise, s’envole, change de couleur, de forme, se met à parler, devient muet, en rythme avec ses idées. capharnaüm tantôt merveilleux, tantôt désastreux, les prairies sont fleuries ou bien brûlées, les êtres inconnus ou résurgences, le ciel bleu ou plutôt gris. tout y devient possible, sans danger - impossible de mourir au paradis.

2 · bloquer la projection astrale d'autrui dans son imagination (non-débloqué)
le corps inanimé d'autrui laissé derrière, en solitude dans un monde dont il ne maîtrise aucune règle. il a bien conscience d'y être, sait seulement qu'il ne pourra pas le quitter, doit se contenter de l'attente, rendue peut-être insupportable par des créatures impossibles ou des paysages hostiles. jusqu'à ce que la maîtrise continue, se développe, et qu'à terme pandore puisse faire croire à autrui qu'il se trouve dans la réalité, alors que son esprit s'est déjà détaché, en pleine projection astrale inconsciente.
Catalyseur :
implants-éclats
(propriété de kaisei)

par endroits, kaisei pharmaceuticals a marqué son territoire dans tous les sens du terme, remplaçant les cicatrices par des morceaux de pierre précieuse ; un catalyseur qui sonnait comme un cadeau-pardon, sans que pandore ne sache toute la vérité.
Relations :
noé (pnj), petit frère · l'autre partie du cœur.

akira, ce qui sauve le moi, c'est toi.
sia, bestie · main dans la tienne.

kayn uc.
hauru, pqr · conduite à risque.
dahm, pqr · friend with benefits.

senri, contact · leap of faith.
tiffany uc.
leon uc.
kell uc.

remi uc.
seok uc.
Pandore Águilar
MAGE ⟡ we've ridden the stars


take my hand
2018 @yun seok outfit


Elle ne devine jamais suffisamment à l’avance les tempêtes et les incendies. Pourtant cette crise-là aurait pu s’anticiper, mais Pandore s’est dit qu’elle n’aurait pas l’alcool triste, ce soir, qu’elle ne penserait à rien d’autre qu’aux bruits de la boîte de nuit - certainement pas à sa dispute avec sa mère. L’énième, sur le même sujet, qui ne se terminerait probablement jamais. Elle s’est persuadée qu’elle parviendrait à se concentrer sur la colère, sur le ton acerbe et les crachats qu’elle n’avait pas retenus et à ignorer les attentes qui avaient encore une fois manqué leur but ou le désamour que lui avait opposé celle qui, définitivement, portait mal son prénom. Clémence, tu parles. Tout juste capable d’aimer un enfant sur deux, incapable de s’empêcher d’abhorrer l’autre. Elle aurait aimé avoir des arguments ; mais parfois, entendre qu’elle était un monstre n’attendait aucune réponse et n’en permettait pas non plus. Pandore se contentait d’ignorer, ça et les traces laissées par ce qu’elle considérait comme un non-événement. Elle pourrait passer une soirée sans le joug insupportable de son inclémente de mère.
Mais la tempête se présente à la porte sans crier gare, et Pandore doit quitter la boîte de nuit pour un peu d’air, l’esprit qui la force à se presser les tempes pour ne pas dériver, les planètes dans la tête et l’estomac qui n’est pas certain de le supporter. God I hate her, parvient-elle à articuler. En quatre mots, sa mère devient responsable de tous ses maux, remplace l’alcool et ses pensées tumultueuses ; ce ne sont pas les conséquences de leur dispute, seulement sa mère, insupportable et agaçante, qui l’empêche de passer une bonne soirée.
Pandore saisit son téléphone, sans réfléchir, les yeux et les doigts qui peinent à trouver le raccourci de son contact, pourtant dans les premiers. I thought families like yours had drivers of their own - peut-être qu’elle avait trouvé le sien, finalement, après des années et des jobs accumulés, presque en même quantité. Il était devenu son quotidien et c’est sans doute pour ça qu’elle espère entendre sa voix de l’autre côté du fil. Parce qu’elle s’est habituée à sa présence, comme on s’habituerait à celle du jardinier ou du cuisiner qui nous a vu grandir. C’est sans doute pour la même raison qu’elle est aussi déçue de se retrouver sur le répondeur, forcée à se confronter au silence assourdissant d'une rue dans laquelle elle n’a soudainement aucune envie d’être, gagnée par une tristesse dont elle ne veut pas reconnaître la provenance. Il lui serait trop douloureux, sans doute, d’ouvrir la boîte et d’assumer que les mots de sa mère l’avaient touchée. Ce serait accepter de voir un mouton noir dans le miroir, alors qu’elle avait passé des années à tenter de s’apprivoiser et à s’aimer, elle et sa particularité. Et c’est encore sans doute seulement parce que Seok est une habitude que son cœur s’emballe en voyant le nom s’afficher sur l’écran. Thank Merlin, where are- you didn’t answer, réplique-t-elle, la voix qui tremble, commence à remplacer toutes ses émotions pour les diriger contre lui, qui n’a rien demandé. Qui est seulement coupable de n’avoir pas répondu à deux minuscules appels, en quatre ans. Yeh i know, I’m sorry. Been busy with the- Why didn’t you answer? La voix le presse, crée de l'urgence là où son état ne l’appelle pas - c’est en tous cas ce qu’elle pense. Mais sa voix trahit sans doute une sincérité dont elle-même n’a pas conscience, sur le point de subir une tempête qu’elle n’aurait décidément pas pu prévoir. I called you, and I can’t see clear, and- just- No! You don’t understand! Au bord des larmes comme au bord de la crise de nerfs, Pandore abandonne toute logique, toute capacité d’écoute, de plus en plus submergée par le typhon qui s’annonce. Listen to me just tex- I don’t even know where I am, I just- Text me the address, I’ll be there. Don’t go anywhere Aguilar. Il s'impose et, pour un instant, la spirale se met en pause. Annule la pulsion de faire de lui un bouc-émissaire, sa tentative de maîtriser le déni dans lequel elle s’était emmurée. Pandore s’adosse contre un mur, les mains pressées contre son visage, dans une bataille contre l’alcool et contre ses émotions - elle ne la gagnera pas, elle commence à le comprendre, mais elle repousse l’échéance, au moins jusqu’à ce que Seok arrive.
Ce n’est que parce qu'il est seulement une habitude qu’elle s’accroche pleinement à ses bras-béquilles, et ce n’est sans doute qu’à cause de l’alcool que son contact lui extirpe des frissons et que ses joues s’empourprent, en sentant sa main posée sur sa taille comme s’il le faisait tous les jours. Let’s take you home, party queen. Mais elle n’a envie que de pleurer, en réalité. De laisser exploser la tempête qu’elle ne fait que repousser, de reconnaître à quel point elle se sent aussi monstrueuse que ce que sa mère passait son temps à lui répéter. Mais elle se retient, parce qu’elle ne veut pas lui montrer ce qu’elle n’assume pas encore tout à fait, persuadée qu’elle pourra passer outre et qu’il ne restera de cette dispute que l’habituel you know she didn’t mean it de son frère sans doute un peu trop optimiste. Elle fait semblant de n’être que bourrée, empêtrée dans les verres trop nombreux qui l’ont amenée à l’appeler, lui, éternelle habitude des soirées sans lendemain. You’ll have to tip real good this time. I left an actual job to babysit you. Et de toutes façons, si Pandore nourrissait le moindre espoir à son égard, Seok serait le premier à lui rappeler la vraie raison de sa présence. Il n’est qu’une habitude et elle qu’un gagne-pain. Yeah, répond-elle distraitement, les yeux qui suivent la route, se concentrent sur le paysage pour ne pas vomir, mais surtout ne pas penser. Je suis très reconnaissante de l’aide que tu as apportée à Noé, mais les gens comme toi ne devraient pas vivre.
Surtout, ne pas penser.
Mais le silence de la route ramène inévitablement avec lui tout ce que Pandore évite depuis des heures, forme la tempête qui se mue en larmes dévalant ses joues et en constellations gorgées de nausées. La voiture arrêtée devant son immeuble, elle s’appuie sur la poignée et est tentée de lui dire de la laisser là, qu’elle parviendra chez elle seule ; mais ce ne sera pas le cas, alors elle abdique et attend, la portière à moitié ouverte, concentrée pour donner un sens à ses mots. Do you mind… I don’t think I’ll be able to, hum, go up, Elle s’attend à moitié à un refus, s’imagine qu’il fera une remarque sur son pourboire, les poings serrés pour se maintenir encore un peu, au cas où (et contenir le reste de ses larmes jusque derrière la porte, repousser la tempête pour une minute ou deux).
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L'armure a mis du temps à se façonner, des années à encaisser, aveuglément, tout ce qui venait s'y échouer. Les regards qui glissent du haut du crâne jusqu'au bout des pieds, les moqueries glissés dans la lourdeur de sous-entendus assumés, les insultes, les jugements, les reproches. Une vie à s'emmurer derrière la force de ses sourires, à s'excuser, se plier aux désirs d'un monde qui ne voulait pas lui appartenir. ; joueur laissé sur la touche depuis trop d'année pour que les doigts puissent encore tenir le score. Habitude prise, par égoïsme d'avoir enfin quelque chose qui lui appartienne vraiment, qui fait oublier à l'ego comment se révolter. Tout est trop enseveli, perdu au fond de la poitrine qui sait que dire oui. Alors il a pas peur, quand il sent le vent souffler contre le combiné. Il redoute pas cette tempête là, qui lui est pas réellement destiné. Il encaisse. Fait comme il fait toujours – s'exécute. Peine à admettre que l'habitude n'y est pourtant pas ; y'a l'urgence qui trahit l'affection dans ses doigts, les rides au creux du front comme principales coupables de ces émotions qu'il voit pas. Précipitation rapidement envolée quand Pandore retrouve sa place – maladroitement lovée contre ces bras qui ont adopté depuis longtemps ce réflexe de la supporter. Et l'orage qui grondait s'est dissipé, a emporté avec lui le noir de ses nuages et les reproches qui menaçaient de pleuvoir de ses lèvres. Mutisme qu'il dépose sur le dos bien garni de l'alcool – troisième phase d'une soirée qui n'en compte pas plus. L'histoire s'est déjà jouée (elle aussi, trop de fois pour qu'il ait réellement compté) ; elle appelle, il conduit, elle s'endort – et tout recommence. De l'argent facile. Quand il sait le cœur plus léger d'avoir veillé sur elle, lui-même. De la savoir bien rentrée, pas accompagnée. C'est plus facile quand tout est factuel, ça laisse pas de place aux pensées parasite qu'aime faire naître l'imaginaire. Mais les chemins qu'ils empruntent ce soir ne sont pas les mêmes. Les nuances se donnent pas la peine d'être subtile ; le regard qu'il pose sur elle ne trouve pas son écho, ses blagues douteuses sonnent terriblement faux. Et déjà il s'en veut. Read the room. Lui qui sait reconnaître le mot de trop, l'a pourtant échappé. Il hésite à s'excuser, préciser ses intentions pour pas laisser régner ce malentendu – se ravise. Veut pas déranger (jamais). Une fois n'est pas coutume, il gardera ses lèvres scellées pour le reste du trajet, les questions silencieuses posées à travers des œillades discrètes qui ne trouveront pas leurs réponses. Il ose même pas un banal are you okay, crispé par l'évidence de la peine qui dévale ses joues. Et s'ils les sent pas, ses mains qui se resserrent sur le volant, le pied qui doit se lever un peu plus souvent – alourdi par ces inquiétudes qui ronge le sang. Vampirisme accueilli comme juste punition.

Point final de la soirée qui se transforme en virgule ce soir, appelle à quelque chose de plus que la faiblesse ose exprimer. Parce qu'il devrait y avoir, par dessus le ronronnement du moteur, par dessus le chaos des rues que laisse entrer la portière entrouverte, le silence assourdissant de son départ. Il devrait y avoir l'ébauche d'un good night, assumé ou abandonné sur la banquette, et le regard de Seok porté à sa montre pour estimer combien d'heures de sa nuit il peut encore rentabiliser. Mais y'a pas, tout ça. Seulement Pandore, suspendue à une poignée de porte qu'elle sait pas si elle doit abandonner ou refermer. Do you mind … I don't think I'll – Yeh sure, hang on. Le corps obéit aussi rapidement que l'esprit ; moteur coupé, siège abandonné, il prend la relève de la poignée pour redevenir ce pilier qu'elle attend de lui. Prend soin de ne pas fracasser le crâne contre la taule, de ne pas laisser les pieds trébucher dans l'ouverture de la porter pour la claquer du bout du pied. Can you walk ? Les pupilles qui se déposent partout, évitent de croiser les traces de sel que la tristesse a délaissé sur ses joues. You can lean on my – sur lui, tout entier. Le corps à peine bousculé par les excès qui se sont plantés directement dans les pieds, les reproches amusés ravalés pour pas charger l'esprit de conneries supplémentaires au théâtre qui s'y joue déjà. Il sent que quelque chose va pas, plus profondément que d'ordinaire. Y'a une guerre à l'intérieur de Pandore qui s'annonce, et qu'il arrive pas à toucher du doigt. Parce qu'elle s'est fermée, et que lui ose pas demander. Dynamique à chier qui continue de régir sa vie, même avec ses amis. Do I need a code, or a key ? Or … Il connaît pas bien les codes de cette richesse qu'il côtoie sans jamais s'y mêler, connaît pas bien le genre de technologie qui peut s'y cacher. Et il résistera, jusqu'à la porte de la brune éméchée, à l'envie de l'y porter ; glisser ses bras sous ses jambes, caler son corps léger contre sa poitrine – pour gagner du temps. Les mensonges peinent à se renouveler dans chaque nouveau réflexe qui veut se faire une place au sein de leur amitié. Il sait même plus Seok, comment se qualifier. Are you gonna be ok ?  
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Pandore Águilar
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I wonder how many miles I've fallen by
this time?
— she said aloud.


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Naissance & Âge : 05.11.1996 (26)
Pronom(s) : elle
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elle aime, d’un amour presque désespéré, véritable besoin. mais pandore a surtout le cœur rempli des pansements d'avant, aussi romantique que déçue par l'amour. marquée par les fantômes de ses idylles, incapable de tout à fait passer à autre chose, elle s'accroche toujours à des silhouettes absentes, disparues, décédées, ambiguës.
Occupation :
substitute du procureur
(l'essence et le briquet)

choix fait à la demande de kaisei pharmaceuticals, ravis de voir leur poupée de son ouvrir discrètement la porte du gouvernement, le ministère public étant fortement lié au ministère de la magie, pour tuer dans l'œuf la moindre tentative de poursuites de la part de rōnins dissidents - ou donner à pandore à la fois l'essence et le briquet.



visage pantin de kaisei pharmaceuticals
(poupée de son)

outil de propagande, elle est le rōnin sage et obéissant, la preuve vivante que c’est possible de s’intégrer, que vos enfants rōnins sont en sécurité, mais personne ne parle de l’après, personne ne dit que pandore est une traître, ni que se recenser c’est accepter d’être observé (non, scruté), analysé, testé (torturé) - et avec le sourire s’il vous plaît.
Particularité(s) :
rōnin
(de l'autre côté du miroir)

1 · entraîner autrui dans son imagination par projection astrale
là-bas ses pensées sont seules limites, se matérialisent sans fin, et parfois ce qui apparaît n’a aucun sens, disparaît aussitôt, se brise, s’envole, change de couleur, de forme, se met à parler, devient muet, en rythme avec ses idées. capharnaüm tantôt merveilleux, tantôt désastreux, les prairies sont fleuries ou bien brûlées, les êtres inconnus ou résurgences, le ciel bleu ou plutôt gris. tout y devient possible, sans danger - impossible de mourir au paradis.

2 · bloquer la projection astrale d'autrui dans son imagination (non-débloqué)
le corps inanimé d'autrui laissé derrière, en solitude dans un monde dont il ne maîtrise aucune règle. il a bien conscience d'y être, sait seulement qu'il ne pourra pas le quitter, doit se contenter de l'attente, rendue peut-être insupportable par des créatures impossibles ou des paysages hostiles. jusqu'à ce que la maîtrise continue, se développe, et qu'à terme pandore puisse faire croire à autrui qu'il se trouve dans la réalité, alors que son esprit s'est déjà détaché, en pleine projection astrale inconsciente.
Catalyseur :
implants-éclats
(propriété de kaisei)

par endroits, kaisei pharmaceuticals a marqué son territoire dans tous les sens du terme, remplaçant les cicatrices par des morceaux de pierre précieuse ; un catalyseur qui sonnait comme un cadeau-pardon, sans que pandore ne sache toute la vérité.
Relations :
noé (pnj), petit frère · l'autre partie du cœur.

akira, ce qui sauve le moi, c'est toi.
sia, bestie · main dans la tienne.

kayn uc.
hauru, pqr · conduite à risque.
dahm, pqr · friend with benefits.

senri, contact · leap of faith.
tiffany uc.
leon uc.
kell uc.

remi uc.
seok uc.
Pandore Águilar
MAGE ⟡ we've ridden the stars


take my hand
2018 @yun seok outfit


Assistera-t-il à sa chute, l’inévitable, l’irrémédiable ? Sera-t-il là quand la lave sillonnera les rues de Pandore-Pompéi ou les larmes ses joues ? Au fond, peut-être aurait-elle voulu que oui, pour ne pas s’échouer seule, maintenue par ses bras pour une seconde ou deux. Elle se serait sentie rassurée, entourée - protégée. À défaut d’être aimée, parce que Seok a posé les limites, comme il le fait toujours ; il n’est qu’une habitude et elle qu’un gagne-pain. Et peut-être que cette fois, la réalisation est plus douloureuse que d’habitude, parce que l’alcool et la fragilité l’ont rendue vulnérable. Lui ont ouvert le cœur un peu trop subitement, alors que Pandore n’est pas en mesure d’affronter ses propres sentiments. Peut-être que tout ça (lui, son silence et puis ses mots et les maux qu’ils engendrent) ne fait que précipiter sa chute, la tempête, qu’elle ne pourra pas arrêter. En tous cas, trop tard, incapable d’attendre d’être de l’autre côté de la porte, assise contre le bois, définitivement et pleinement seule.
Mais c’est trop difficile, d’être factuel. Pandore ne sait pas faire, compartimenter et ignorer les battements de son cœur, aussi douloureux soient-ils. Yeh sure, hang on. Lui y arrive bien, toujours efficace, toujours serviable, et pendant un instant Pandore regrette de lui avoir demandé son aide. Mais elle doit se rendre à l’évidence et s’accroche à son bras, à cet ami-pilier dont elle ne pourrait plus se passer, au fond seulement aveuglée par la tempête qui s’annonce. Il lui suffirait d’attendre un instant pour ne plus rien regretter et le laisser l’aider comme il l’avait toujours fait, dans le silence de ses larmes dévalant ses joues et du sien pour ne pas la brusquer, ou se montrer trop inquisiteur. Can you walk? Tête hochée, jambes pas tout à fait, elle parvient quand même à s’extirper hors de la voiture, qui se verrouille par magie derrière elle. You can lean on my – thanks. Il ne trompe pas l’habitude, jamais ; Pandore renifle mais persiste à faire comme si ses larmes n’existaient pas, que ses pensées ne tambourinaient pas à la porte d’un esprit pas sûr de pouvoir toutes les affronter. Do I need a code, or a key? Or… No need, et la porte lui offre sa propre réponse, s’ouvrant pour les laisser rentrer, reconnaissant la mage. Mais plus leurs pas les rapprochent de son appartement, plus Pandore sent son propre esprit s’étirer, tordu par les émotions qu’elle avait passé la soirée à enfouir pour moins les ressentir. Au fond du ventre, des tripes, le rōnin appelle et s’éveille, et elle ne sait pas si elle parviendra à le retenir avant d’arriver chez elle - avant de le laisser repartir, pour un énième travail. Sans le vouloir, guidée par l’angoisse-instinct, sa main serre le bras de Seok, les yeux qui ont arrêté de pleurer pour se concentrer sur le reste. À tenter de repousser l’échéance, de garder l’autre côté du miroir là où il est ; il ne manquerait plus que Seok voit son rōnin et la prenne, lui aussi, pour un monstre.
Mais une fois arrivés devant sa porte, il franchit sa propre limite, laisse parler sa curiosité - l’amitié fébrile prend le pas sur le gagne-pain, sur l’habitude dont on ne maîtrise pas tout à fait les contours. Are you gonna be ok? Et c’était sans doute le mot de trop, aussi apaisant soit-il. Involontairement, il déclenche la tempête, et Pandore plonge son regard dans le sien, pas certaine de ce qu’elle s’apprête à lui dire. La dernière fois qu’elle a voulu prévenir quelqu’un avant de l’emmener de l’autre côté, ça ne s’est pas vraiment bien passé. I think I’m gonna… can you stay? For a second? Elle pose son doigt sur la porte, qui se déverrouille ; entre dans l’appartement en espérant qu’il la suivra (qu’il ne la lâchera pas), même pour un instant, désespérée à l’idée de déclencher son rōnin toute seule. De se retrouver face à ce qu’elle a parfois du mal à ne pas considérer comme un monstre. Prend une grande inspiration, ignorant les chutes salées sur sa peau. La voix qui tremble, en pleine redescente - elle pourrait presque entendre les crachats de sa mère, là, juste devant eux. Something happened today, with my mom, and something is going to happen right now, and I don’t think I can go through it alone, but it might frighten you, but please, don’t be afraid, just trust me okay? And please, don’t let go? Et quand elle sent son esprit partir, toujours accrochée à son bras, incapable de le préparer plus à ce qu’il s’apprête à vivre, elle espère seulement qu’il ne la prendra pas pour un monstre, peu importe les conséquences.
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Yun Seok
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Pseudo IRL : mayoli
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Dama : 5 835
Couleur de dialogues : var(--co2)
CW & TW : ϟ le personne aborde régulièrement les thématiques du deuil, de la perte tragique d'un être cher et j'imagine que son comportement envers pandore peut être perçu comme du stalking. je n'ai pas de tw ou cw particuliers dans la mesure du moralement acceptable et autorisé par le règlement d'imo.
Multicomptes : l. saeri (queen beetch) & oliver h. (husband)
Aesthetic IRL : IRP ϟ rp à la troisième personne. dialogues principalement en français, ou anglais si préférence. longueur entre 200 et 700 mots (variables selon inspi). je réponds en général sous 10j max, mais ne lis les rp que quand je peux y répondre dans la foulée.

IRL ϟ joignable sur discord ou par mp toute la journée. moins dispo le weekend. ne pas hésiter à me relancer en cas d'oubli, promis je snobe personne ♡
Naissance & Âge : 13 dec. '93 — 29 yo
Pronom(s) : he, him
Statut Civil :
crushing over the insane neela barker
Occupation :
agent de sécurité — kaisei ph.
Particularité(s) :
gengaka — illusioniste

présence (seuil 4)
invisibilité (seuil 3)
illusion (seuil 1)
Catalyseur :
bijou — chaîne en argent
elle porte dans ses maillons la première trace de son indépendance, le caprice inavoué de ceux qui n'ont jamais eu et qui s'octroient enfin le droit de posséder.
Logement :
wakoku — yaganizaka
appartement modeste partagé avec son frère, quand il était encore là. qui pue maintenant la solitude et le vide qui s'est imposé, que seok ose pas encore combler.
Signes Distinctifs : dosmarbrures de la base du cou au dos, complété par un tatouage couvrant l'omoplate et le haut de l'épaule
visage — faussette timide dans le creux des joues, oreille gauche percée
main — caleuses de ses séances d'escalade
Relations : pandore á. — friends to crush to nemesis
neela b. — midnight crush
Yun Seok
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La nuit a englouti son éclat ; il sait pas quand, ni comment, ou pourquoi (demandera pas), simplement elle est là. Contre lui. Défaite. Et il se demande ce qui a eu assez de force pour arracher le sourire de son visage. Il s'imagine la violence de l'impact, parce qu'il a pas besoin d'imaginer le silence qui a suivi – il le vit. Au détour de quelques mots qui se perdent entre eux, qui peinent à se former sur ses lèvres plus si radieuses. Et si ça grignote l'intérieur, il continue de résister à cette envie de demander ce qu'il s'est passé. Demande pas non plus si ça va, parce que ça va pas. Se contente de savoir si ça va aller, futur proche, ou lointain. Peu importe. Quelque part il veut simplement qu'elle lui demande de rester, de pas repartir en la laissant là, sur le pas de sa porte. Au fond on s'en fout de ce konbini tout claqué, la dette peut bien se rallonger (il est plus à ça près). Et même si les mots ont pas leur rondeur habituelle, ça lui va. As long as you need. La sincérité vipère cache dans ses paroles le plus beau des mensonges ; parce qu'ils savent qu'il finira par partir. Il sera loin, avant que le soleil ne soit levé. Il a d'autres vies à mener, d'autres problèmes à gérer que ceux de l'héritière d'une famille qui se déversent au fond de la cuvette. Il y a plus important dans la (sa) vie que les excès qui se dégueulent aussi vite que les regrets. Et Seok veut pas en faire parti. Alors il restera, pas autant qu'elle le veut, mais autant qu'il le doit. Ça permet de ravaler ces envies qu'il sent déjà au bout de ses doigts, de les noyer au fond de la gorge comme ils se perdront dans la soie de ses cheveux. Il a besoin de ces limites, par peur de sauter dans le vide, et qu'elle le rattrape finalement pas. Il a besoin de ces limites, pour pas oublier sa place. Elle compte sur toi. Something happened today, with my mom, and something is going to happen right now, and I don’t think I can go through it alone – it's okay, i'm not going anywhere. but it might frighten you, but please, don’t be afraid – I won't. just trust me okay? And please, don’t let go? I told you i'm not going anywhere. I'm right her – Mais il sent le sol qui se dérobe sous le poids de son propre corps, ses doigts qui s'accrochent à elle, à ce qu'elle représente – la réalité du moment (le présent) alors qu'on l'en arrache. C'est comme nager à contre courant ; on s'épuise, et on finit par lâcher prise. Les efforts pas suffisants pour garder la tête hors de l'eau, elle finit elle aussi noyée. Comme tout le reste. La conscience comme seul drapeau au milieu d'une tempête qu'il se souvient pas avoir senti arriver. Et y'a le vent qui gifle son visage, qui hurle des mots vides de sens à ses oreilles. Le corps qui se fait bousculer par l'ouragan qui se déchaîne contre lui. L'esprit qui supplie de retourner là où il était, d'où on l'a volé. Alors le rempart prend le relais, déverse dans la tempête son don de gengaka. Sans le maîtriser vraiment. Il lui manque les repères, le calme au fond de l'âme qui l'ancre sur terre. Il lui reste que sa propre volonté, celle qui fixe, canalise toute l'énergie sur lui – juste pour la retrouver. L'intuition qui lui intime que la force de sa présence sera suffisante pour récupérer un petit bout de réalité. Et il lui suffit de cligner des yeux pour que ce soit vrai. Les minutes compactées en une demi-seconde, et le revoilà sur le pallier. Pandore entre ses doigts, le sol sous ses pieds. What – was that, happened, the fuck. Y'a trop de possibilité, il en choisit aucune. Préfère fixer son regard dans celui de la brune, comme elle l'avait fait, les pupilles qui dessinent en vrac les questions qui s’emmêlent dans sa tête, sur ses lèvres à demi ouvertes. Et se rendre compte qu'elle a pas la même panique dans le regard, que même là, dans l'incompréhension, elle est toujours pas son miroir. You did this ... Comme on murmure un secret ; sans reproches, ni hostilité. Parce qu'il voit la peur qui creuse des sillons sur son visage, qui marque chacun de ses traits. Et il comprend toujours pas, Seok ; quand, ni comment, ou pourquoi. Quel genre de contrôle se perd pour en arriver là. Il comprend rien, en vient à se dire qu'il aurait été aussi bien, à mourir d'ennui dans son putain de konbini. Il est pas aventurier. N'a pas cette graine de curiosité qui lui ronge les veines, qui le pousse à trouver des réponses aux grands secrets de l'univers. C'est pas lui, ça, c'est son frère. Alors qu'est-ce qu'il fout là, les doigts encore accrochés au trench de cette amie qui l'a téléporté à mille lieux d'ici, sans jamais l'en faire partir. Let's … Let's get inside, yes ? Le corps de la brune toujours soutenu à bout de bras jusqu'à ce que la porte puisse finalement claquer dans leur dos. Et sa main qui ne sait pas quitter son bras (il a promis qu'il resterait là). L'esprit, lui, sait qu'il retrouvera pas de si tôt le silence approximatif de son konbini. Ce qu'il ne sait pas, c'est comment briser celui qui pèse entre eux. Par quelle question commencer. Peut-être qu'il devrait s'inquiéter. Are you ok ? Pas pour elle, mais pour lui. Mais ça non plus, il sait pas faire. La liste se rallonge, de tous les côtés ; ce qu'il devrait faire, dire, ce qu'il devrait pas, les questions, les erreurs, les limites qui n'en sont plus. Parce que y'a sa putain de main sur la joue de Pandore, qu'il a pas eu le temps d'arrêter. Look at me, Aguilar. And tell me what happened. Seulement là pour adoucir sa demande, par peur qu'elle sonne trop sèche. Comme si elle avait anticipé l'inquiétude qui résonne dans ses mots, cette sensation d'avoir fait le tour du monde en un claquement de doigt. Il la sent au fond de l'estomac. A moins que ce soit de la peur, la vraie. Celle qui tord les tripes, en fait des nœuds pour empêcher de tout régurgiter. 
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Pandore Águilar
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Pseudo IRL : jabberwocky, margot
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Multicomptes :
· pandore águilar (la reine de cœur)
· gaia belacqua (la puce)
· seo inhyuk (le big bad wolf)
· kim saebyeog (le bf material)
· kaneko kuro (l'éternelle ombre)
· hoshino tsuru (l'enfant-soleil)
Aesthetic IRP :
☼ SCORPIO ☾ VIRGO ↑ LIBRA
ESFJ-A
Aesthetic IRL :

down, down, down
would the fall never come to an end!
I wonder how many miles I've fallen by
this time?
— she said aloud.


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aïe love
Naissance & Âge : 05.11.1996 (26)
Pronom(s) : elle
Statut Civil :
solitude en horreur
(célibataire)

elle aime, d’un amour presque désespéré, véritable besoin. mais pandore a surtout le cœur rempli des pansements d'avant, aussi romantique que déçue par l'amour. marquée par les fantômes de ses idylles, incapable de tout à fait passer à autre chose, elle s'accroche toujours à des silhouettes absentes, disparues, décédées, ambiguës.
Occupation :
substitute du procureur
(l'essence et le briquet)

choix fait à la demande de kaisei pharmaceuticals, ravis de voir leur poupée de son ouvrir discrètement la porte du gouvernement, le ministère public étant fortement lié au ministère de la magie, pour tuer dans l'œuf la moindre tentative de poursuites de la part de rōnins dissidents - ou donner à pandore à la fois l'essence et le briquet.



visage pantin de kaisei pharmaceuticals
(poupée de son)

outil de propagande, elle est le rōnin sage et obéissant, la preuve vivante que c’est possible de s’intégrer, que vos enfants rōnins sont en sécurité, mais personne ne parle de l’après, personne ne dit que pandore est une traître, ni que se recenser c’est accepter d’être observé (non, scruté), analysé, testé (torturé) - et avec le sourire s’il vous plaît.
Particularité(s) :
rōnin
(de l'autre côté du miroir)

1 · entraîner autrui dans son imagination par projection astrale
là-bas ses pensées sont seules limites, se matérialisent sans fin, et parfois ce qui apparaît n’a aucun sens, disparaît aussitôt, se brise, s’envole, change de couleur, de forme, se met à parler, devient muet, en rythme avec ses idées. capharnaüm tantôt merveilleux, tantôt désastreux, les prairies sont fleuries ou bien brûlées, les êtres inconnus ou résurgences, le ciel bleu ou plutôt gris. tout y devient possible, sans danger - impossible de mourir au paradis.

2 · bloquer la projection astrale d'autrui dans son imagination (non-débloqué)
le corps inanimé d'autrui laissé derrière, en solitude dans un monde dont il ne maîtrise aucune règle. il a bien conscience d'y être, sait seulement qu'il ne pourra pas le quitter, doit se contenter de l'attente, rendue peut-être insupportable par des créatures impossibles ou des paysages hostiles. jusqu'à ce que la maîtrise continue, se développe, et qu'à terme pandore puisse faire croire à autrui qu'il se trouve dans la réalité, alors que son esprit s'est déjà détaché, en pleine projection astrale inconsciente.
Catalyseur :
implants-éclats
(propriété de kaisei)

par endroits, kaisei pharmaceuticals a marqué son territoire dans tous les sens du terme, remplaçant les cicatrices par des morceaux de pierre précieuse ; un catalyseur qui sonnait comme un cadeau-pardon, sans que pandore ne sache toute la vérité.
Relations :
noé (pnj), petit frère · l'autre partie du cœur.

akira, ce qui sauve le moi, c'est toi.
sia, bestie · main dans la tienne.

kayn uc.
hauru, pqr · conduite à risque.
dahm, pqr · friend with benefits.

senri, contact · leap of faith.
tiffany uc.
leon uc.
kell uc.

remi uc.
seok uc.
Pandore Águilar
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Il la rassure, assure qu’il est là, ne bougera pas et que, comme d’habitude, il se fera rempart vaillant. Mais c’est parce qu’il ne sait pas. On promet toujours en creux, au fond, quand on ne sait pas de quoi sera fait l’instant d’après, quand on ne sait pas encore que la falaise est sur le point de se dérober, que l’esprit et le corps sont en train de mener une bataille acharnée sans avoir aucune chance. C’est déjà perdu, l’esprit va le quitter, projeté dans un voyage astral incontrôlé, de l’autre côté du miroir. Seok n’y pourra rien, comme un destin qui n’en attend pas moins, qui s’impose mais jamais ne propose. Pandore s’imagine déjà apercevoir la terreur dans ses yeux, anticipe la déception et le morcellement de son cœur face à ce qui constitue, à cet instant, sa plus grande peur : qu’il la voie comme le monstre qu’elle est, après quatre ans à se cacher pour ne lui montrer que le soleil, pas la vérité. Avant ce soir, le rōnin ne s’était jamais montré en sa présence ; ça avait été comme s’il lui laissait cette chance, une tentative de normalité un peu fébrile, de toutes façons toujours compensée par les limites de leur relation. Peut-être qu’il s’était dit que Pandore avait bien le droit, puisque leur histoire n’en avait justement rien. Jamais assez proches pour intéresser la malédiction, qui leur avait laissé le répit de son désintérêt.

Et pourtant, alors que ce soir la tempête était prête à éclater, à faire chavirer leur bateau-normalité, ils n’ont eu le temps de rien. Le miroir s’est brisé sitôt leur arrivée, les propulsant de nouveau dans la réalité, sauvés de la noyade mais certainement pas de l’incompréhension. Ils sont deux à s’y perdre, mais les pensées qui fusent de chaque côté n’ont rien à voir. Deux à se formuler les mêmes questions, mais pas pour les mêmes raisons. Elle, les sourcils froncés, est sans doute trop alcoolisée pour se douter que ce n’est pas seulement une erreur due à l’alcool, que leur retour express ne tient pas qu’à elle, l’esprit secoué par un rōnin que l’on n’a pas pleinement laissé s’exprimer. Lui, la main accrochée à son bras, semble désormais s’y suspendre, au lieu de la tenir seulement pour l’empêcher de tomber. Mais aussi imperceptibles soient-elles, ces questions posées en silence, trop différentes, deviennent évidence quand Seok pose ses yeux sur elle. Elle n’a pas le même regard, et ça se voit. You did this… D’un coup, Pandore quitte ses questions qui, de toutes façons, ne trouveront aucune réponse. Plonge ses yeux dans les siens au point de faire déborder son espoir, parce que le ton de Seok est exactement celui qu’elle espérait - comme on murmure un secret, sans reproches, ni hostilité. Elle se contente de ça, même si ses traits ne réussissent pleinement à masquer l’angoisse, le flou, les questions que ses propres traits non plus n’étaient pas parvenus à cacher. Tant pis, il vaut mieux travestir son espoir. Let’s … Let's get inside, yes? Elle hoche la tête et la porte claque doucement derrière eux, à se demander quand la tempête éclatera à nouveau, le rōnin pas satisfait, les émotions à fleur de peau - mais le bouquet s’apprête à glisser du vase, se répandre sur le sol, jusqu’à en faire un miroir pour les y plonger à nouveau.

Are you ok? Sa version sobre lui rétorquerait qu’elle n’est pas la priorité, renverrait la question. À la place, son esprit la neutralise, occupé à anticiper le prochain départ du train-miroir. Look at me, Aguilar. And tell me what happened. Pandore obéit. Mais ses mots s’échouent contre le mur d’une bouche pourtant ouverte qui ne sait soudain plus les prononcer, le corps et la tête suspendus à cette main posée sur sa joue. Agrippés à ces traits marqués par la peur qui lui arrachent le cœur. À ces lèvres sur lesquelles elle avait espéré tant de fois s’échouer, désormais serrées par tout ce qui s’impose à lui, ces émotions dont elle est spectatrice impuissante. Et elle ne peut s’empêcher de se dire, c’est trop tard. Il la regarde déjà comme les monstres dont on a peur parce qu’on ne les comprend pas, mais au sujet desquels la peur ne cessera pas, même après. Peu importe qu’il comprenne, qu’il voie. Malgré tout, l’espoir, lui, ne cesse pas. I’m rōnin - elle murmure son secret les yeux gorgés de larmes, désormais elle-même effrayée à l’idée qu'il se sente trahi de ne pas l’avoir su plus tôt, de ne pas avoir eu la possibilité de fuir avant, de se retrouver bloqué chez elle en le découvrant. I know you’re afraid, you have every right to be, but please… please don’t think I’m a monster, supplie-t-elle, la main qui vient s’accrocher à celle qui n’a pas lâché son bras. Please trust me, I promise you’ll be fine, I just can’t go alone tonight, incapable d’être entourée de son seul reflet, elle sait qu’elle ne ferait que projeter sa mère et ses atrocités. Que la tempête se poursuivrait, indéfiniment, jusqu’à l’extirper en larmes d’une nouvelle dispute n’ayant pas vraiment eue lieu. Sentant qu'il est temps, que le rōnin appelle son heure, ses doigts enlacent sa main libre encore posée sur son bras, se font guides fébriles vers l’autre côté du miroir, espérant que cette fois, la réalité ne les rattrapera pas en une seconde. Just focus on me, chuchote-t-elle, les yeux qui se perdent une seconde sur ce visage marqué au fer au creux de sa poitrine.

Et cette fois, ça ne dure pas qu’une seconde. L’instant d’après, résultat d’un voyage imperceptible, Seok et Pandore sont assis au bord d’une falaise, l’horizon seulement chargé de montagnes arides, sans végétation, à perte de vue, l’air saturé d’un brouillard qui empêche presque de respirer, la température un peu élevée, assez pour suggérer la présence d’un volcan, mais pas suffisamment pour en devenir insupportable. Mais Pandore ne prête pas attention au paysage, les doigts qui détaillent ses traits dans la précipitation, glissent instinctivement sur sa peau pour vérifier qu’il ne lui est rien arrivé, la main qui s’échoue sur sa joue en miroir de la sienne, avide de l’espoir de voir dans ses yeux de la curiosité plutôt que de la peur - qu'il dise étrange plutôt que monstre. Are you okay? L’angoisse a envoyé paître une partie des traces d’ivresse, mais Pandore demeure fébrile, l’environnement inhospitalier qui les a accueillis symbole ultime d'une vulnérabilité qu’elle ne saurait cacher à son propre palais mental. Et pourtant, maintenant qu’ils sont de l’autre côté, l’esprit s’est apaisé ; le brouillard ne les fait pas complètement suffoquer, le sol ne se dérobe pas sous leurs pieds, parce que le rōnin a eu ce qu’il voulait. Et il y a tellement de choses qu’elle voudrait lui dire, lui expliquer, mais ce qui vient, d’abord, c’est I’m sorry I didn’t tell you sooner. Mais au fond, elle espère surtout le regretter, que sa réaction lui prouve qu’elle aurait pu se confier il y a bien longtemps. Qu’il ne voit pas en elle un monstre, qu’il lui accorde sa confiance - qu’il ne parte pas sans se retourner. I know it’s a lot and I promise I’m gonna explain everything, and answer every question you have. Les yeux se détachent un instant de lui, analysent les environs, habituée en terrain inconnu, la tête qui se penche à peine pour deviner le vide à quelques mètres. Everything you see is not real. We’re in my head, kind of. My imagination. Formed and designed by what I think and feel, as random as thoughts can be. Nothing can happen to you here. Et comme à chaque fois, derrière l’explication cohérente, presque scientifique, Pandore attend, espère, le cœur serré et les mains tremblantes, que les traits d’en face ne se mettent pas à ressembler à ceux de ses parents.
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