dreams will make you cry (kouta)

tw et cw:

01

Yoshino Koutayu jingtian, tony

Nom— yoshino

Prénom(s)— kouta

Date de Naissance— 30.04.2000

Potentiel— témoin

Nationalité— japonais

Occupation— homme de ménage à tokidai & livreur indépendant

02

LOVE ME WRONG

INFJlawful good4w3 taurus sun metal dragon

❛ keywords ༉‧₊˚✧
powerless ; now everything’s grey ; the broken hearts club ; i was a child ; i can’t help myself, that’s why i help others ; at least our paths have crossed ; alive or just breathing ? ; silent cry ; for you, i would ; maybe i deserve all of this ; coping with trauma ; ~~i can’t draw anymore~~ ; some stories just don’t have a happy ending ; right where you left me ; there’s a ghost in my bed ; house of memories ; unrequited love ; maybe we were meant to meet but not to be

— 为给你取暖我把翅膀这段
in order to give you warmth, i broke my own wings

03

Informations Anecdotes Chronologie

you return like autumn
and i fall every time
— f a r a w a y

prénom & nom
yoshi nokouta — oui, officiellement, le nom de famille de kouta est yoshi, soit jí (吉) en mandarin. mais les parents chinois voulaient que le nom de leur fils sonne totalement japonais, alors ils lui ont donné un prénom à trois caractères, comme pour ressembler à un japonais : nokouta, lu yěguànghăi (野光海). prénom très étrange en chinois, le no donné uniquement pour former le nom de famille yoshino, et kouta pour un prénom parfaitement japonais, signifiant en mandarin « lumière de la mer ». joli prénom, malheureusement beaucoup lu comme koukai au lieu de kouta. alors lorsqu'on veut l'appeler, qu'on fronce des sourcils quand on remarque la séparation de son nom et prénom sur des documents officiels, qu'on dit koukai à la place de kouta... kouta soupire, et dit : « c'est kouta. »

~~et pas de yoshino, parce qu'au fond, ce nom de famille n'appartient à personne ; à aucune famille.~~

lieu de naissance & âge
meiwa ; 21 ans — les parents ont abandonné toute leur vie en chine pour venir s'installer à meiwa. le plan était parfait : donner naissance à kouta à makosa pour qu'il ait la nationalité japonaise plus facilement, lui donner un nom qui ressemble tellement à un nom japonais qu'on ne se douterait pas qu'il est chinois de base, lui apprendre directement le japonais et passer le mandarin au deuxième plan pour qu'il s'intègre bien à l'école, le scolariser ensuite à tokidai pour qu'il devienne un grand mage… mais pour ça, il faut de la magie, dans les veines. kouta n’est que témoin.

nationalité
japonaise — il est officiellement japonais, mais ses deux parents chinois lui donnent des origines chinoises. ayant dû abandonner leur vie en chine pour kouta, ils restent malgré eux très ancrés à leur culture chinoise et emmenaient tous les étés kouta en chine pour qu'il n'oublie pas le pays d'où ils viennent. une main dans celle de sa mère, l'autre dans celle de son père, le petit garçon riait dans les rues chinoises ; et maintenant, plus personne ne lui tient la main.

catalyseur
démuni ((incapable)) — parfois, quand il passe devant des boutiques, il se demande ce qu'il aurait pu avoir comme catalyseur, s'il avait eu assez de magie dans ses veines pour en avoir un. sans doute aurait-il eu un catalyseur à son image, un catalyseur fragile, si fragile qu'il se briserait au moindre choc. et il voit les mages brandir leurs compagnons fidèles avec fierté, leurs objets choisis avec soin pour être le plus personnel, et il les envie. kouta ne sait pas ce que c'est, d'avoir un catalyseur. il ne sait pas ce que c'est, de pouvoir se fondre dans la masse.

maison de magie
dojin — ce jour-là, kouta a eu envie de pleurer. il a eu envie de pleurer, parce que c'était le seul gosse à passer la cérémonie du thé alors qu’il n’est pas mage, qu’un vulgaire témoin, témoin de tout ce qui se passe sans jamais pouvoir faire quoi que ce soit. la cérémonie lui a donné la maison dojin, ceux qui vivent de leurs sentiments, très connectés avec leur facette émotionnelle. les feuilles de thé ont vu à travers kouta ; impossible de cacher quoi que ce soit à la magie, quand on n’est qu’un témoin. ce jour-là, kouta a fondu en larmes. lors de la deuxième cérémonie, il est resté dans la même maison et d’un regard terne, il a vu le corps des autres se parsemer d’un début de marbrures, qui continueront à grandir sur leurs peaux. la peau de kouta est restée intacte ; véritable complexe pour le garçon qui n’a qu’un torse vide, tandis que les autres ont leurs cœurs qui poussent en dehors de leur poitrine (comme si un témoin n’avait pas de cœur, lui. rien qui peut pousser).

occupations
homme de ménage à tokidai ; livreur indépendant — comme tous les autres enfants, il a été scolarisé dans une école, à l’exception qu’il faisait partie d’une classe particulière : la classe des sans magie (des moins que rien). rapidement victime d’harcèlement et obligé d’aider sa mère à travailler, il a rapidement abandonné les études en étant de plus en plus absent aux cours, passant de l’école à la maison pour finir par juste travailler. il s’est alors toujours coltiné les métiers les plus ingrats : aujourd'hui, il travaille donc en tant qu'homme de ménage à tokidai (côtoie les étudiants dont il aurait aimé faire partie ; se contente de nettoyer leurs déchets) et livreur pour plusieurs restaurants et commerces dans le temps qu'il lui reste. armé de rollers technomagiques dont l'itinéraire est déjà tout tracé dessus, kouta se laisse porter par eux pour aller livrer aux clients (c'est un peu terrifiant, de n'avoir aucun contrôle sur sa trajectoire, mais lui qui ne peut rien contrôler y est malheureusement habitué).

situation financière
pauvre — de la classe moyenne quand il est né, passé à pauvre quand ses parents ont divorcé et qu'il est resté sous la garde de sa mère, qui a dû trimer pour subvenir à leurs besoins à tous les deux. et puis elle a fait la bonne rencontre, elle s'est mariée à un nouvel homme qui les a remonté vers la classe moyenne. mais kouta est revenu à la case départ quand sa mère l'a jeté de chez eux : désormais de nouveau pauvre, c'est lui qui doit trimer tout seul pour subvenir à ses besoins (il n'y a plus de mère pour le faire pour lui).

orientation & statut civil
panromantique asexuel ; célibataire — très intéressé par l'exploration de soi, kouta a compris relativement tôt qu'il ne ressentait pas les choses comme les autres. il a malgré tout mis un long moment avant de se définir tel qu'il est aujourd'hui : d'abord hétérosexuel, puis bisexuel, puis pansexuel, puis asexuel, et enfin panromantique asexuel. mais finalement, tout ça, ce ne sont que des identités qui l'ont aidé à tenter de se définir, à comprendre qui il est. peut-être que dans le futur ça changera de nouveau, peut-être passera-t-il à un autre terme pour se définir, mais ça, seul le lui du futur le sait. quoi qu'il en soit, pour le moment, il se définit comme panromantique asexuel : capable de tomber amoureux de tout le monde, incapable d'aimer le sexe avec qui que ce soit. mais même s'il peut aimer le monde entier, il n'est tombé amoureux qu’une seule fois dans sa vie : pourquoi aimer le monde entier quand on peut aimer le monde entier à travers une personne ?

particularité(s)
rien ((témoin)) — une particularité, c'est ce qui nous rend spécial : quelque chose qu'on maîtrise en plus des autres, quelque chose qu'on a en plus. mais pour kouta, c'est l'inverse : c'est quelque chose qu'il maîtrise en moins par rapport aux autres, quelque chose qu'il a en moins. kouta, il est témoin, mais c'est pas qu'un simple témoin non plus. c'est un témoin d’une famille de mages qui avait tant d’espoir pour lui, faire comme s'il était un mage alors qu'il est incapable d'utiliser un catalyseur. finalement, c'est un peu comme si la vie se moquait de lui : comme si elle lui tendait la main pour l'aider à se relever, mais que sa main était hors de portée, impossible à attraper. lui dire qu'il ne sera jamais réellement mage, mais qu'il ne sera jamais intouché, non plus. qu'il sera juste cette espèce bizarre, cette entité fascinante. entre les deux.

shikigami
incapable — il trouve ça mignon, les shikigami. à ses heures perdues, il imagine ce que son shikigami aurait pu être : une biche, un chien, une carpe, un moineau... et puis, il revient vite à l'évidence : à quoi ça sert d'imaginer tout ça quand il n'aura jamais de pouvoirs, de toute manière ?

kaonashi
le dessin — il suffit au kaonashi de prendre la forme d'une feuille blanche pour que kouta se tétanise. cette immensité blanche qui le regarde, n'attend que ça, qu'il ose poser un point sur sa surface, l'abîme de son crayon, mais rien ne se passe. kouta se fige quand on lui demande de dessiner, se fige quand on lui parle d'art. c'est un poids lourd qui pèse dans son estomac, le faisant trembler, lâcher son crayon, baisser la tête. la seule chose à laquelle il était bon, il a quand même tout gâché.

mirages shinbō tw : discrimination (témoin)
pouvoirs — peut-être que s'il avait eu les POUVOIRS qu'un enfant descendant de deux sorciers aurait dû avoir, sa vie ne serait pas si misérable. papa serait resté. papa n'aurait pas fondé une autre famille. maman n'aurait pas trouvé ce beau-père. maman n'aurait pas perdu confiance en lui. les autres ne riraient pas en le voyant. les autres ne se seraient pas moqués de lui. il aurait pu poursuivre des études. il aurait pu être heureux. alors dans le prisme ce n'est pas lui entouré de ses parents qui se montre ; pas lui aimé par les autres ; pas lui avec un carnet de dessin dans les bras. dans le prisme, c'est juste lui, avec l'uniforme de tokidai.

anecdotes
family — à la télévision, dans les journaux, dans les livres, ils disent toujours que la famille c'est le plus important. que tes parents t'aimeront toujours peu importe ce qu'ils te disent, parce que c'est ça, l'amour des parents : ils feront toujours tout pour que tu sois heureux. kouta y croyait aussi. sans doute que les parents eux-mêmes, y ont cru. couple fondé uniquement sur l'amour ((les espoirs)) qu'ils avaient sur leur enfant, amour absent des regards échangés entre eux, c'est normal que tout ait explosé quand les espoirs se sont brisés ((foutu témoin)). depuis, des parents divorcés : un père heureux dans une famille qui n'est pas celle de kouta ; une mère malheureuse dans les bras d'un mari qui la trompe, mais qu'elle préférera à kouta (il est la source de tous ses malheurs). kouta, il ne peut pas dire qu'il ne sait pas ce que c'est une famille, car il a eu droit à ce bonheur : il avait toutes les cartes en main pour le conserver (s'il avait été honnête avec sa mère dès le début, s'il avait su dire qu'il n'aimait pas ce beau-père, s'il avait pu garder sa mère à ses côtés...), mais il n'a rien fait, lâche comme il est. et il a tout perdu.

education — tw : harcèlement l'école est obligatoire pour tous les enfants de l’archipel et si on peut voir ça comme une bénédiction, kouta l’a vu comme une malédiction. pointé du doigt par les enfants mages, moqué, kouta rentrera en pleurant de l’école tous les jours, ce qui poussera sa mère à le scolariser à la maison. mais c'était déjà trop pour la pauvre mère qui devait travailler d'arrache-pied pour leur fournir de quoi manger sur la table, alors elle a fini par l'impliquer dans des affaires de grands, aussi. l'argent, les boulots qu'un petit garçon de dix ans ne devrait pas faire, des tâches ménagères pour soulager la pauvre mère... finalement, kouta est devenu le deuxième adulte de la maison à son insu, abandonnant l’école malgré lui. s’il a tout de même un niveau correct de lecture de kanjis, c’est parce qu’il a toujours aimé lire : alors il a appris à lire en lisant sur le tas et en prenant note des kanjis inconnus sur lesquels ses yeux tombaient. étonnamment littéraire pour quelqu’un qui n’a pas eu une éducation normale, il évite néanmoins d’étaler sa science, de peur que les autres ne pensent qu’il est en train de les prendre de haut (t’es un témoin, pour qui tu te prends ?).

art — tw : harcèlement, burn out
plus que la lecture, kouta a toujours aimé dessiner. petit, il aimait déjà gribouiller sur ses cahiers d’école ou sur les murs, finissant par se faire gronder par sa mère. mais malgré ça, ça s’est développé en passion, en un hobby dans lequel il se noyait quand les choses devenaient trop dures. et puis un jour, une opportunité en or s’est dessinée devant lui : une académie d’art l’a invité à rejoindre ses rangs. sans trop comprendre pourquoi ni comment, encouragé par sa mère, il s’y lance. la boule au ventre parce qu’il se souvient de sa mauvaise expérience d’enfant, ses rêves prennent le pas sur son anxiété et il se dit que ça ira, que les gens sont différents maintenant. mais ses camarades là-bas sont tous des gosses de riche, et surtout, des mages. alors quand ils le voient utiliser un crayon, ils explosent de rire. très vite, il se fait moquer, finissant en harcèlement. les professeurs ferment l’œil et se contentent de lui donner des devoirs, devoirs, encore des devoirs. désormais, sa main tremble quand il tient un crayon entre ses doigts, et ses lignes commencent à devenir difformes ; ses couleurs ne sont plus belles, ses toiles ne prennent que des nuances ternes. quittant l’académie la boule à la gorge, sensation d’étouffer, l’eau dans ses poumons ne sortira jamais et encore aujourd’hui, il se trimballe cette eau dans sa gorge. il est devenu incapable de dessiner quoi que ce soit ((parfois, regarde les dessins que certains étudiants à tokidai ont fait sur leurs tables, en sourit, puis les efface le cœur lourd)).

love — kouta ne sait pas ce que c’est, l’amour. il n’a jamais eu un exemple d’amour : ses parents s’aimaient, mais ce n’était pas l’amour avec un grand A qu’on voit dans les films (ils s’aimaient, mais aimaient plus kouta que l’autre). son père aime sa nouvelle femme, mais c’est tellement idyllique, tellement parfait, que kouta n’arrive pas à les regarder sans se demander quand est-ce qu’ils vont abaisser les masques (allez, avouez, avouez que l’un d’entre vous trompe l’autre !). et puis, eux ne l’aimeront jamais comme ils aiment leur fille (ça se comprend, il est en trop). sa mère aime son nouveau mari, mais son nouveau mari l’a trompée et malgré tout ça, elle reste avec lui (kouta, je ne suis RIEN sans lui— mais maman, as-tu déjà pensé que moi, je ne suis rien sans toi non plus ?). kouta, il a une vision de l’amour particulière : l’amour avec un grand A, il n’y croit pas, il trouve ça trop parfait pour que ce soit vrai. lui, s’il tombe amoureux un jour, il veut que ce soit comme on aime la vie : on aime le quotidien avec cette personne, avec ses hauts et ses bas. sauf que la réalité est toujours différente de l’imagination et que même si kouta ne sait toujours pas ce qu’est l’amour, il croit ressentir quelque chose qui s’y ressemble, pour cette personne (que tu ressembles à une jolie fille ou à un garçon mal dans sa peau, je t’aimerais toujours).

friends — kouta, c’est un garçon difficile à cerner. distant avec tout le monde, se contente d’être poli, sourit uniquement par courtoisie. la réalité c’est qu’il est timide et que surtout, il a peur de s’ouvrir aux autres. mystérieux, personne ne sait jamais ce qui se passe dans sa tête : multitude de pensées, cheminement étrange pour en arriver à ses conclusions. entouré mais seul, solitude ancrée en lui depuis qu’il a su qu’il n’était pas comme les autres. alors il rêve tout seul, kouta : il se crée son propre univers, regarde le monde avec des couleurs qu’il peint par-dessus les bâtiments, les rues, les gens. kouta, c’est le gamin qu’on peut voir rêvasser sur un banc, l’air absent, avant qu’il ne finisse par se relever et enfiler ses rollers pour repartir faire une livraison, ou prendre un balai et recommencer à nettoyer des lieux qui seront de nouveau sales l’heure d’après. kouta, c’est un garçon rêveur dont les rêves ne se réaliseront jamais ; il préfère alors vivre dans sa tête.

trivia — il a appris à cuisiner malgré lui, et sait très bien cuisiner, même si c’est loin d’être quelque chose qu’il aime (après tout, il n’a pas appris par plaisir, il a appris par obligation) ; les fois où il allait en chine, il était moqué pour son prénom étrange. au japon, il est moqué parce qu’au fond, c’est un chinois et pas un japonais, alors pourquoi il a un nom japonais ? ; il aime la pluie et l’orage ; son mandarin n’est pas très bon, son anglais non plus, il parle surtout japonais ; il aime beaucoup les animaux mais n'a ni le temps ni les moyens d'en adopter un ; il sent la lessive, n’ayant pas tellement le loisir de se parfumer et n’y prêtant surtout pas attention ; il fait 1m85, ce qui l'embarrasse car il se sent trop grand. il aimerait pouvoir rétrécir pour mieux se fondre dans la masse ; il ne sait pas comment se mettre en valeur, ne porte que des sweats abîmés et des t-shirts à trous ; son genre préféré est la romance et le fantasy ; il aime regarder des dessins animés même s'il en a honte et déteste les films d'horreur ; …

2000

naissance de kouta dans une famille qui se veut parfaite, et a déjà préparé comment les futures années de leurs vies se dérouleraient.

2006

kouta a six ans et vient d'entrer à l'école. ce sont ses professeurs qui remarquent l'absence d'affinité à la poussière : on comprend qu'il est témoin. premières disputes de ses parents.

2008

divorce de ses parents. sa mère obtient sa garde, et commence à beaucoup travailler pour subvenir à leurs besoins, étant pauvre. kouta l'aide comme il peut en travaillant au noir, suit les cours à la maison du mieux qu'il peut sans que ça ne soit fructueux. petit à petit, son père disparait de sa vie en arrêtant de répondre à ses SMS et appels.

2010

tw : harcèlement à cause du harcèlement, kouta finit par faire l’école à la maison. il commence à aider sa mère dans ses jobs, est de moins en moins assidu à l’école.

2011

tw : noyade yanagi hikari, la petite fille que sa mère gardait depuis maintenant deux ans s'est noyée dans la piscine. kouta était présent. il l'a vue se noyer. il n'a rien pu faire. la mère de kouta a été renvoyée.

2014

tw : harcèlement kouta arrête l'école à la maison. à la place, une académie d'art recrute kouta, lui proposant de suivre des cours chez elle, sans qu'il n'ait besoin de payer très cher puisqu'ils lui font un prix. kouta ne comprend pas mais sa mère le soutient, alors il commence à suivre des cours là-bas (la vérité, c'est que c'est grâce à yanagi haruka qu'il a pu être recruté, mais il n'en saura jamais rien). début d'un long calvaire qui commence, avec la discrimination de ses camarades et la pression sur ce qu'il doit produire alors que lui n'aime dessiner qu'en tant que hobby.

2014

kouta revoit son père par hasard dans la rue. son père s'excuse d'avoir disparu, il était occupé avec sa propre vie, il est désolé... trop attaché à lui, kouta accepte les excuses et renoue contact avec lui, tout en le cachant à sa mère. son père lui propose de dîner chez lui, et c'est là qu'il découvre que son père a aussi une nouvelle femme, et une nouvelle fille. c'est le portrait d'une famille parfaite, la mère et la fille se montrent adorables avec lui, et pourtant kouta a envie d'aller vomir.

2015

sa mère rencontre un homme et en tombe amoureuse. elle se marie rapidement à lui et kouta est obligé de l'accepter, même s'il ne l'aime pas (mais il ne peut pas faire de caprices, c'est déjà à cause de lui si ses parents ne sont pas restés ensemble, si sa famille est brisée... il peut faire des efforts pour la seconde, non ?).

2016

alors que kouta dîne chez son père, la fille de son père montre les premiers sorts qu'elle sait lancer grâce à son apprentissage à l'école. c'est l'euphorie chez eux, c'est l'horreur chez kouta. il vomit tout son repas dans les toilettes et finit en crise de larmes ((il aurait dû être comme elle, heureux avec son père et sa mère comme elle)). quelques mois plus tard, le harcèlement à l'académie d'art s'arrête du jour au lendemain et kouta comprend que c'est grâce à haruka : c'est la goutte de trop. kouta quitte l'académie d'art et devient incapable de reprendre un crayon pour dessiner.

2017

kouta découvre que son beau-père trompe sa mère. celui-ci le convainc d'en garder le secret (tu ne voudrais pas briser une deuxième fois ta famille hein, kouta ?), et il ne recommencera pas de toute façon, ce n'était qu'une erreur d'une fois. kouta accepte. ((mais ça se reproduit, encore et encore : et kouta finit bloqué dans cette spirale de mensonges)). de l'autre côté, sa mère commence à être totalement manipulée par son mari, et commence à croire que kouta ne lui fait plus confiance, lui cache des choses et déteste leur nouvelle famille. elle finit par découvrir qu'il a repris contact avec son père biologique, et ils se disputent violemment, sa mère pensant que kouta préfère son père à elle.

2018

il devient homme de ménage à tokidai.

2020

sa mère découvre que son mari la trompe à cause d'un sms envoyé sur le téléphone de kouta. la confiance de la mère envers kouta est totalement brisée, elle explose et le blâme de tous les malheurs de sa vie. kouta accepte tout ça en silence. elle le vire de chez eux.

2020

sans téléphone ni logement, kouta passe quelques jours dans la rue avant que haruka ne le remarque et ne le force à habiter dans un hôtel le temps de trouver un logement, qu'il finit par trouver quelques jours après.

2021

kouta fait la rencontre d’alma qui bouleverse sa vie : pour la première fois, il tombe amoureux. mais les sentiments ne sont pas partagés et kouta se noie dans son premier chagrin d’amour. ce n’est que là qu’il comprend que les livres ont menti : dans la vraie vie, on ne finit jamais son deuil d’amour. on continue d’aimer, inlassablement, même si son amour ne sera jamais retourné de la même façon.

04

Hors-jeu

Pseudo IRL— caeli

Pronoms— she/her

Crédits— icons : mad'eyes, soldier eyes ; avatars : ouild hearto

mon bébé

salut le meilleur pote, angst version parce qu'on s'aime mais on sait pas comment se le dire bref bisou

je vais le dire 10 milles fois, mais c'est mon kouta, my beloved, mon bien le plus précieux

22.08.00 (23)

le bébou, promis plus jamais il se sentira menacé par des muffins!!!!!

dis donc ça carbure ici :police:

bon courage avec ce retour :hearts:

je reposte pour des raisons évidentes
mon bien le plus précieux
mon kouta

mon amour de kouta :heart:

@yanagi haruka bisou le sang
@mona st-laurence ta propriété.......
@yokoi himari MDKROIDJ, il mangera le coeur tranquille les muffins de yokoi san mtn.......
@bak saem eh oui on avait trop hâte que ça rouvre, mtn on carbure comme vous avez carburé tt l'été vous !! mercii :heart:

@son yujin tag 2 fois mais bon, notre bien le plus précieux....
@takahashi eiso :heart:

00

bienvenue sur isekai monogatari !異世界物語へようこそ！

Félicitations, tu es validé.e ! Te voilà fin prêt.e à profiter du forum comme il se doit ; le plus dur est derrière toi. Mais avant de pouvoir rp, on a encore quelques petits commentaires et directives à te donner. Ready ?

Ton personnage est désormais validé !

henlo
J'ai déjà crié mon amour pour kouta mais je reviens parce que ce perso. une perle. Je l'adore, et ta plume ne fait que l'embellir. Il a vraiment du mal avec sa particularité qui n'en est finalement pas vraiment une et laisse ses rêves se briser sous ce simple prétexte... Ca me rend tout triste pour lui. J'ai trouvé la partie sur l'école d'art bien trop parlante ça m'a fait mal personnellement mais c'était si bien écrit que j'étais vraiment touché... Brefent. Encore une masterpiece qui est surpris.
Je suis ravi de te redire (encore) bienvenue sur IMO :hearts:

Pour bien commencer l'aventure...

Maintenant que tu as vaincu cette étape, cours te recenser : nombre de listings attendent ta venue !
Va confirmer ton fc et le nom de ton personnage dans le bottin, puis viens donc enregistrer, selon son profil, ses particularités, ses études, son métier et/ou son logement.

Tu dois également rejoindre le discord juste ici pour ne louper aucune nouveauté ; pas d'inquiétude, tu pourras ne visualiser que les salons qui te sont nécessaires (pour plus de confort, c'est à toi de sélectionner les salons auxquels tu veux accéder).

On te souhaite un bon jeu, petit mage ! ♡

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my one and only a écrit:— 为给你取暖我把翅膀这段
in order to give you warmth, i broke my own wings

allez ça commence à peine et je suis déjà en pls
tu sais à quel point j'aime kouta, je pense que je vais hurler ....
même si j'ai déjà lu la fiche une première fois, rien ne vaut une petite relecture au coin du feu (le feu de ma détermination à ruiner SA vie)

dreams will make you cry (kouta) Homer-simpson-the-simpsons

dreams will make you cry (kouta) Homer-simpson-the-simpsons

my one and only a écrit:nokouta, lu yěguànghăi (野光海). prénom très étrange en chinois, le NO donné uniquement pour former le nom de famille YOSHINO, et KOUTA pour un prénom parfaitement japonais, signifiant en mandarin « lumière de la mer ».

je prends note car je n'aurais jamais de cours de kanji
en tout cas super joli prénom, i wans't ready for it, c'est vrmt un beau personnage

my one and only a écrit:le scolariser ensuite à tokidai pour qu'il devienne un grand mage… mais pour ça, il faut de la magie, dans les veines. kouta n’est que témoin.

tu es trop méchante purée, je vais sacrifier des vies et des vies pour qu'il soit magique :dabdab:

my one and only a écrit:DÉMUNI ((INCAPABLE)) — parfois, quand il passe devant des boutiques, il se demande ce qu'il aurait pu avoir comme catalyseur, s'il avait eu assez de magie dans ses veines pour en avoir un. sans doute aurait-il eu un catalyseur à son image, un catalyseur fragile, si fragile qu'il se briserait au moindre choc. et il voit les mages brandir leurs compagnons fidèles avec fierté, leurs objets choisis avec soin pour être le plus personnel, et il les envie. kouta ne sait pas ce que c'est, d'avoir un catalyseur. il ne sait pas ce que c'est, de pouvoir se fondre dans la masse.

je suis dévastée, je l'aime trop
en tout cas j'adore les pnj que tu as trouver des catalyseurs de tes perso ! c'est super spécifique, tu as du bien galéré à trouver ça :smirk:

my one and only a écrit: ceux qui vivent de leurs sentiments, très connectés avec leur facette émotionnelle. les feuilles de thé ont vu à travers kouta ; impossible de cacher quoi que ce soit à la magie, quand on n’est qu’un témoin. ce jour-là, kouta a fondu en larmes. lors de la deuxième cérémonie, il est resté dans la même maison et d’un regard terne, il a vu le corps des autres se parsemer d’un début de marbrures, qui continueront à grandir sur leurs peaux. la peau de kouta est restée intacte ; véritable complexe pour le garçon qui n’a qu’un torse vide, tandis que les autres ont leurs cœurs qui poussent en dehors de leur poitrine (comme si un témoin n’avait pas de cœur, lui. rien qui peut pousser).

j'ai lue tes descriptions de groupe avant de faire mes fiches, jsp pq, je voulais voir ce que t'avais écris mdrrr et j'ai relue celle de kouta plusieurs fois, ici et sur mk et à chaque fois ça fait battre mon coeur tout fort, doki doki ce que je dirais si j'étais nait au japon mais je suis à tananarive capitale de madagascar ile d'ocean indien
bref, j'adore toujours le fait que kouta soit le plus soft de tes perso et je vais sûrement t'envoyer ce liveread pendant un de tes ds

my one and only a écrit: mais même s'il peut aimer le monde entier, il n'est tombé amoureux qu’une seule fois dans sa vie : pourquoi aimer le monde entier quand on peut aimer le monde entier à travers une personne ?

moi :

dreams will make you cry (kouta) 3270596904_1_10_0ognYbo8

franchement je ne dirais rien de plus car moi qui cogne le mur en dit déjà bcp

my one and only a écrit: la seule chose à laquelle il était bon, il a quand même tout gâché.

hate qu'on developpe le fait que yujin va aider kouta retrouver sa passion pour le dessin/art en générale et que grace à lui, il va aider kouta à aller de l'avant et comme ça tu ne penseras plus à DÉTRUIRE ALMA

my one and only a écrit:peut-être que s'il avait eu les POUVOIRS qu'un enfant descendant de deux sorciers aurait dû avoir, sa vie ne serait pas si misérable. papa serait resté. papa n'aurait pas fondé une autre famille. maman n'aurait pas trouvé ce beau-père. maman n'aurait pas perdu confiance en lui. les autres ne riraient pas en le voyant. les autres ne se seraient pas moqués de lui. il aurait pu poursuivre des études. il aurait pu être heureux. alors dans le prisme ce n'est pas lui entouré de ses parents qui se montre ; pas lui aimé par les autres ; pas lui avec un carnet de dessin dans les bras. dans le prisme, c'est juste lui, avec l'uniforme de tokidai.

dreams will make you cry (kouta) Spy-x-family-anya-cry

my one and only a écrit:depuis, des parents divorcés : un père heureux dans une famille qui n'est pas celle de kouta ; une mère malheureuse dans les bras d'un mari qui la trompe, mais qu'elle préférera à kouta (il est la source de tous ses malheurs).

je me rappel de la situation désastreuse de kouta, et je vais bien sauté cette partie car je tiens à ma santé mentale
:dab:

SURTOUT la grosse partie sur le burn out, pour me tuer en fait

my one and only a écrit:lui, s’il tombe amoureux un jour, il veut que ce soit comme on aime la vie : on aime le quotidien avec cette personne, avec ses hauts et ses bas. sauf que la réalité est toujours différente de l’imagination et que même si kouta ne sait toujours pas ce qu’est l’amour, il croit ressentir quelque chose qui s’y ressemble, pour cette personne (que tu ressembles à une jolie fille ou à un garçon mal dans sa peau, je t’aimerais toujours).

vraiment le plus doux
tianyi could never

alma quand kouta va renconter quelqu'un d'autre :
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my one and only a écrit: kouta, c’est un garçon rêveur dont les rêves ne se réaliseront jamais ; il préfère alors vivre dans sa tête.

c'est un pote de mooooooona :anna:

my one and only a écrit:il sent la lessive, n’ayant pas tellement le loisir de se parfumer et n’y prêtant surtout pas attention ; il fait 1m85, ce qui l'embarrasse car il se sent trop grand.

aecha va lui offrir du parfum, parce que c'est pas possible de juste sentir la soupline, on est ou là
il va jamais pecho à ce rythme là alors qu'il a du potentiel de malade

ALLEZ
c'était délicieux comme d'hab, on va giga jouer, car tu sais à quel point leur lien est important pour moi
merci pour tout mon criquet :chanhee:

dreams will make you cry (kouta)

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