TRIPLE ANNIVERSAIRE (everyone)

os long mais aucune nécessité de le lire pour la suite !:

un verre dans la main droite & un millier d'aventures dans la gauche, ses éclats de rire s'engouffrent entre les paroles d'une chanson qu'il ne connaît que trop pour le nombre de fois où andrea les force à l'écouter. on est d'accords, c'est complètement ridicule, mais j'avais pas le choix... les babines ne régurgitent plus que ces sourires fauves qui dévoilent les canines, alors que la voix est volontairement modelée plus grave qu'elle ne le devrait — pas insensible aux charmes de l'un des femmes qui semble boire ses paroles. ça n'est qu'après de longues minutes à conter ses aventures rocambolesques que lorenz se décide à délaisser les invités au profit de son gobelet désormais vide, virevoltant entre les personnes, échangeant quelques tapes dans le dos, quelques clins d'œil à d'autres. hey... salut beau gosse, tu vas quelque part ? reconnaissant akira sur son chemin, le nakano ne rechigne pas à glisser un bras un peu trop familier autour de ses épaules, désignant andrea d'un geste vague. tu crois qu'il va finir par lâcher ses platines ? et qu'importe qu'il l'ait entendu ou non ; et qu'importe qu'il ait répondu ou non, repart-t-il déjà à la recherche d'un verre plein, ou d'une bouteille alléchante. son thorax s'anime au son des stéréos, son cœur bat au rythme des basses, ses yeux s'enivrent des corps qui se déhanchent, et bientôt la bière décapsulée trouve refuge contre sa paume, puis à l'orée de ses lèvres. son dos prend appui contre le bar de la cuisine, juste à côté de T O I ? et, rendu euphorique par les gorgées qu'il ne retient plus depuis qu'il a quitté la chaleur de sa chambre, il force leurs boissons à s'entrechoquer. ça va, tu passes un bon moment ? pouvait-il seulement faire plus cliché ? mais il n'écoute déjà qu'à peine la réponse, concentré à remuer ses épaules au son d'un nouvelle chanson qui absorbe toute son attention, pousse ses sourcils à se froncer et sa canine à s'enfoncer dans sa lèvre.

EN BREF : lorenz fait un peu de charme à toi si tu veux/une demoiselle en racontant des anecdotes un peu pourries, puis s'en va à la recherche de quoi remplir son verre. il tombe sur akira, évoque rapidement andrea, puis se met à gratter la conversation à n'importe qui le souhaitant au niveau de la cuisine une fois qu'il a trouvé une bière.

Himari n’avait pas tout de suite cru Akira lorsque l’invitation avait été prononcée - habituée à préserver le secret autour de leur relation depuis six mois, malgré les couacs et les signes annonçant que peut-être il serait presque en paix avec l’idée que d’autres savent. D’abord Saem, par accident, puis un baiser volé dans une gare bondée, puis la soirée toutefois chaotique de Halloween ; mais la fête d’anniversaire jointe de Akira, Lorenz et Yuan se présente comme plus personnelle…

…du moins au premier abord. Himari arrive à l’appartement dans sa jupe en tulle et ses cheveux bouclés pour l’occasion, et immédiatement se rend compte qu’elle a probablement un peu trop réfléchi à sa tenue ou à la fête. Impossible de repérer Akira dès le pas de la porte : les lieux sont déjà pris d’assaut par des dizaines de jeunes adultes (vous ?) que Himari ne reconnaît pas, le parquet vrombissant sous les basses de la musique et le brouhaha. Dans ses habitudes de passer incognito par sa taille et sa non-présence, personne ne lui demande ce qu’elle fait là - et elle se fraye un chemin dans le couloir tant bien que mal, cinq boîtes en carton coloré dans les mains.


Cuisine @Bak Saem

C’est Saem que Himari croise en premier derrière le comptoir, lorsqu’elle arrive enfin à s’extirper d’un groupe qui semble très occupé à rire à une histoire inaudible dans le bruit ambiant. Oh ! Bonsoir ! laisse-t-elle échapper, avant de poser les boîtes dans un coin de la cuisine, loin du reste de la nourriture destinée à la soirée. Merci pour l'invitation, c'est... une sacrée fête, commente-elle avec un petit rire, avant de désigner les boîtes de la main. Je suis désolée, je connais très mal Lorenz-san et Yuan-san, alors j'ai fait des muffins pour vous tous. D’abord pour les trois anniversaires, puis ajoutant une portion pour Saem en guise de remerciement pour sa discrétion, et enfin une pour Andrea, parce que ce serait simplement malpoli que tous les colocataires recoivent quelque chose sauf lui. On se croise plus tard...? finit-elle par glisser avec une légère courbette, avant de s’éclipser.


Salon @Sawano Akira et @Nakano Lorenz

À la recherche de Akira - qu’elle trouve à parler à Lorenz, dans le salon. Himari s’approche aggripée à son sac sans trop savoir comment agir, avec un petit sourire. J'ai mis une éternité à te trouver, fait-elle avec un léger rire nerveux. Aucun mot n’est prononcé, mais Akira prend les devants à glisser son bras autour de sa taille comme pour l’intégrer à la conversation. Joyeux anniversaire, d'ailleurs ! ajoute-t-elle à l’adresse de Lorenz, avant de s’incliner légèrement de la tête alors qu’une de ses mains se glisse dans celle de Akira pour s’aggriper à son bras. On s'est déjà croisés à Halloween, je suis Himari, précise-t-elle enfin, habituée à ce qu’on oublie sa présence régulièrement sans vraiment en tenir rigueur à personne.

Lorenz semble disparaître, distrait par quelque chose ou quelqu’un d’autre, pour laisser à Himari le bon créneau pour accaparer l’attention de Akira l’espace de quelques secondes. J'ai apporté des pâtisseries pour tout le monde, mais je garde ton vrai cadeau pour plus tard, fait-elle avec un sourire fier de ce qu’elle a soigneusement planifié pour le mercredi suivant - avant de capter la fossette qui se creuse un peu plus, arrachant à Himari une expression confuse. Quoi ? J'ai dit quoi... ? Avant de relier les points, virer au rouge indiscernable dans la lumière tamisée de l’appartement bondé, et lui asséner une tape ridicule sur le bras. Pfff, n'importe quoi, souffle Himari sans pouvoir réprimer un rire sincère, et sans pour autant lâcher sa main. Et la conversation reprend de plus belle avec quelqu’un d’autre (vous ?), alors que Himari reste silencieuse à écouter avec attention. Son regard se perd un instant sur l’expression détendue d’un Akira dans son élément, qu’elle a le privilège d’observer comme invitée pour la première fois, et les traits de Himari se peignent d’un attendrissement et d’une fascination qui tracent un sourire léger sur son visage. Se dit que si ils n’étaient pas si pudiques, elle lui aurait bien embrassé la joue pour lui dire qu’elle le trouve adorable à cet instant - mais ses principes et ses propres limites sont clairement définies, et elle garde ça aussi pour plus tard.


Couloir @Andrea Davis

La soirée avance et Himari s’éclipse un instant, profitant d’un passage aux toilettes pas encore prises d’assaut pour également déposer son sac quelque part. Libérer ses mains de ce dont elle a besoin pour passer la nuit sur place, comme une évidence, et se mettre un peu plus à l’aise au fur et à mesure qu’elle apprivoise l’ambiance encore nouvelle. Sa marque magique est sur liste blanche pour ouvrir la porte de la chambre de Akira depuis des mois déjà, et Himari ouvre pour se faufiler rapidement et simplement poser ses affaires à l’intérieur, profitant que personne ne soit dans le coin pour lui demander pourquoi ni ce qu’elle fabrique dans une pièce défendue.

Au moment où elle referme et verrouille la porte d’un geste de sa main ornée du bracelet doré, c’est Andrea qui apparaît de nulle part derrière elle, lui arrachant un sursaut de surprise. Par les Fondateurs, tu m'as fait peur, souffle Himari, une main sur le coeur, avant de laisser échapper un petit rire. Dans un silence qui lui fait aussi prendre conscience qu’il l’a vue faire, sans trop savoir ce qu’il sait et ce qu’il ne sait pas, alors que la communication a toujours été toutefois… originale, avec Andrea Davis. Je euh... déposais juste mes affaires... bafouille-t-elle en s’efforcant de garder l’air naturel. Il semblerait qu'on soit voués à se croiser à chaque fête de l'archipel, tente de plaisanter Himari avec un petit sourire intimidé, malgré le ridicule de la remarque quand elle se trouve littéralement chez lui - et sans trop savoir si Andrea se rappelle même de leurs drôles de conversations à chaque évènement. Tout va bien…? Question qui lui échappe, comme inévitable moyen d’entretenir une discussion sans difficulté en revenant à ses travers de celle qui veut toujours bien faire pour les autres.

son verre se vide plus vite qu'elle ne l'imaginait ; c'est que les soirées sans mika et aino sont moins amusantes, les discussions plus fades (( personne pour lui souffler à l'oreille où se trouvent les jolis garçons )). rei ne sait pas de quoi le groupe auquel elle s'est greffée parle, quelque chose en rapport avec le dernier duel de dustquash peut-être? mais elle a peu d'intérêt dans le sujet, et profite des dernières gouttes de boisson pour s'éclipser. son carbuncle niché au creux du cou, à défaut d'avoir l'espace pour se mouvoir de lui-même, qui lui indique les directions ; poupée évite habilement les obstacles d'elle-même, malgré son handicap, jusqu'à la cuisine. agrippe une bouteille, la passe sous son nez pour y définir les aromes avant de la reposer (( pas très fana de la cerise )) ; elle recommence avec une bouteille, jusqu'à trouver l'odeur familière de la bière glacée qui vient remplir son verre vide... un peu trop, liquide qui coule le long, vient tomber jusqu'aux doigts ; la force à prendre une gorgée pour rééquilibrer le ratio liquide - contenant. gorgée interrompue par le choc d'une boisson contre la sienne faisant chuter un peu plus du nectar alcoolisé.

ça serait encore mieux si andrea pouvait enfin mettre de bons sons. risette espiègle au coin des lèvres rosées où vient disparaître le rebord du verre, le dégât ignoré (( pas sa cuisine, pas son dos )). toutes les occasions sont bonnes pour critiquer de bon cœur l'ancien amant ; à défaut de ne pas être sortis de leur relation avec l'Amour, c'est une étrange amitié qu'ils partagent depuis. l'un de ses seuls ex à avoir échappé à son courroux, mais ayant gagné une éternité de moqueries (( quel est le pire des sorts est encore à définir )). happy birthday d'ailleurs. lorenz est le seul des fêtés de la soirée qu'elle connait, le seul dont elle pouvait reconnaitre, et identifier, la voix. et s'ils se connaissent peu, il aurait été impoli de ne pas, au moins, honorer les banalités. on se sent comment à l'âge vénérable de 25 ans? fine actrice à prétendre ne rien savoir du cap qu'est le quart de siècle alors qu'elle en a pleurer jusqu'à l'épuisement. mais personne n'en sait, personne ne se doute du temps volé par les traits juvéniles de la gamine de 21 ans qu'elle prétend être.

Ses pas se dirigent instinctivement vers la cuisine, n’êtes vous pas au courant ? Le coeur de la soirée se trouve toujours au plus près de la boisson et la nourriture ! Guide de survit d’une gamine qui trouver des ficelles dans sa vie d’introvertie, la cuisine est le lieu propice pour des histoires rocambolesques ! Bien loin du salon, piste de danse et jeu dangereux, dérive sur les couloirs, ou s’autorise les baiser voler qui sente le saké. Mona avait les bras bien lourd, cadeau pour trois personnes qu’elle avait peiner à trouver. Si dur de satisfaire les hommes - sous tous angles ! - encore plus quand il s'agit d'offrir. La raiyo avait passer des jours et des nuits à chercher le cadeau parfait, affinité à peine dessiner qu’elle voulait concrétiser, la pression était encore plus forte que pour une déclaration d’amour, oui, c’est une déclaration d’amitié !!! C’est Saem qu’elle croise en premier, cherchant du regard la moitié du garçon. « Où est ma Rose? » annonce la gamine, pose les présents sur le siège le plus proche, en stabilisant le tout avec une formule imprononcé. « Wow, c’est super grand chez vous… » Ses yeux tournes, elle suit le mouvement, s’arrêtant sur les petites choses qui rendent l’endroit sur particulier. Andrea Davis vit entre ces murs ? Comment est-ce possible ? La légende des légendes prend donc son petit déjeuner sur cette table ? « Chocapic ou miel pops? » dit-elle à haute voix, pour elle même, retour sur terre à la droite du coréen. « Tu aurais pu me dire qu’Andrea était ton coloc…Tu aurais pu m’arranger un coup, moi je t’aurais aider à pécho Rose si elle était pas déjà amoureuse de toi. » Moue boudeuse, trahison, saleté de Saem ! « Où sont les birthday boys? » coeur qui tambourine, comme tiraillement étrange, la pression de devoir déclarer l’amitié devenait de plus en plus forte. Et si ils aimaient pas les cadeaux ? Et si elle était awkward ? « Yuan ! 25 !!! JOYEUX ANNIVERSAIRE !!! » Joie immense qu’elle canalise en sautillant sur place,ses doigts attrapent un des roi de la soirée, pour attacher un pin sur sa veste. « Je l’ai fait faire par une fille sur instagram ! Juste pour toi !! J’ai un vrai cadeau, mais ça c’est juste pour ce soir, je l’ai enchanté pour qu’il t’amène aux toilettes les plus proches si t’as envie de vomir. » large sourire, glisse ensuite dans l’autre pièce pour chercher les autres rois du moment.

Deuxième prince trouver, malheureusement dans une discussion intense. L'heistation la ronge, avant de se rendre compte de qui est son interlocuteur. Mona se permet de l’arrêter, moment de fangiring intense la fait de nouveau sautiller sur place. « Ryau ? De Bad Omens ? Je suis une grande fan ! » sa main valide prend celle de Rei pour la secouer, comme enchanté de la rencontrer. Si la lecture est la passion principale de la jeune St-Laurence, son coeur dérive petit à petit pour la musique et le patinage artistique, les deux mélanger donc quelques choses d’assez innovant, et dans ce panel d’artiste découvert récemment, le groupe de mademoiselle Akizuki était hisser au sommet, dépassant presque l’incroyable Mo Garam de Nobody. « Enchanté, je suis Mona ! » regard tourner vers le deuxième rois de la soirée, Lorenz. « Enchanté, je suis Mona. » répète t-elle, dans le même ton, enthousiaste et enjoué. « J’avais pas l’attention de vous interrompre, je voulais juste te souhaité un joyeux anniversaire! » et sans attendre, elle répète la même action qu’elle a faite avec Yuan quelques minutes au par avant, pins enchantés qu’elle accroche contre le col du tee shirt su garçon. Infinité inexistante, mais Mona prend toujours le temps de choyer chaque être qui croise son chemin. « Merci de m’avoir invité, ton vrai cadeau est dans la cuisine, ça c’est juste pour ton titre de roi de ce soir. » Et comme la fée des bonnes nouvelles, elle s’envole de nouveau, cherchant les autres princes des lieux. Akira où te caches tu ?

ce sont d’abord les ronflements des basses qui t’accueillent dans le couloir avant même que tu n’atteignes l’appartement, à mesure que certains vont et viennent. personne ne te prête attention et le battant se referme devant toi, sans que tu ne le retiennes. t’as les godasses vissées sur le carrelage, immobilisées un instant sur le bas de la porte. la présence de son cadeau brûle le fond de ta poche – et tes pensées, par la même occasion. obnubilée par ce qu’il pourrait te reprocher sans même lui en donner l’opportunité. un soupir s’égare entre tes lèvres, et tu passes une main dans tes cheveux pour reprendre assurance (et consistance). c’est le cœur au bord des lèvres que tu pénètres dans l’appartement, pas feutrés dans une nervosité croissante. tu te faufiles entre les corps sans aucun mal, par habitude. les gemmes mauves qui s’attardent un instant sur les visages que tu croises ; en cherchent un précisément sans être certaine de réellement vouloir le trouver. et c’est celui d’himari que tu rencontres finalement, dans une certaine distance. quelques grammes de ton inquiétude fondent aussitôt dans sa présence et son sourire fait apparaître le tien, alors que tu la salues de loin d’un signe de la main.

passage par la cuisine obligatoire, pour déposer ton présent aux membres de la colocation. tu soupires silencieusement en te frayant un passage dans l’attroupement beaucoup plus dense. pas de cadeau personnalisé si ce n’est pour yuan, mais néanmoins une attention pour les autres. tes pieds se hissent vers les hauteurs des placards pour y déposer une bouteille, loin des mains curieuses. un discret courant d’air soulève l’objet pour compenser les centimètres manquants, et tu le positionnes de façon à ce que les ombres le protègent des regards. alcool artisanal de ta communauté – t’es persuadée que les gars apprécieront les notes particulières de cette liqueur. tu tombes sur lorenz en rebroussant chemin, hey. ce n’est pas celui que tu connais le mieux (même quasiment pas, si ce n’est à travers vos match de cosmoball), et t’as une certaine appréhension de lui adresser la parole comme ça. j'ai apporté une bouteille d'alcool ryū. tu effleures le bout de ton nez machinalement. pour toi et tes colocs uniquement. tu dis ça en pensant à andrea, toujours le premier à partager avec les autres pour s’amuser. mais cette bouteille-là, tu voudrais qu’ils l’apprécient entre eux, pas dans ce genre de soirée. bon anniversaire, au fait. petit sourire, et tu t’éclipses à nouveau.

himari n’est plus dans le salon et tu hésites un instant sur la direction à prendre. tellement persuadée de la retrouver après t’être délestée de ce poids que t’es déstabilisée par l’inconnue qui s’immisce dans l’équation. t’as même pas croisé saem qui se trouvait pourtant sur ton chemin, et tu ne le remarques qu’en cherchant à nouveau l’autre andouille source de tes angoisses. yuan que tu articules silencieusement en l’interrogeant du regard. son haussement d’épaules pour tout retour s’accumule dans les travers qui te barrent le chemin et tu secoues négativement la tête en réponse à son geste de le rejoindre pour participer à la conversation. tu lui montres le paquet de cigarettes que tu extraies pour mieux compenser les pensées nerveuses qui s’entassent, et tu files rapidement vers le balcon. il n'y a personne par chance, et la fraîcheur de la nuit tombée apaise la tension. les nuages de tes prunelles se dispersent à travers la lumière de ton briquet à flamme intemporelle – ne faisant que repousser le moment des retrouvailles.

les bouteilles s’entrechoquent à mesure que tu poses tes contributions au milieu des autres. participation des plus simples mais non pas moins témoignant de ta bonne volonté auprès de celui qui t’a invitée… à condition de ne pas semer le désordre. accord passé dans un croisement de doigts derrière le dos mais non sans accepter de faire un effort. akira a ses manières autant que tu as les tiennes, et cette soirée ne se prête pas à vos déboires habituels. c’est son appartement (partagé) et non pas les quartiers fumants d’eiyamachi ; et encore moins les tiens. tu lui as accordé cette condition, mais sans rien promettre. il s’en doute, forcément, mais c’est le package pour ta venue et chacun fait avec.  

tu t’empresses de descendre un premier verre, pour te mettre en condition, et tu t’en ressers deux autres avant de rejoindre akira dans le salon. hey! tu t’imposes sans plus de considération pour ses conversations en passant un bras au-dessus de ses épaules pour le bousculer vers toi. joyeux non-anniversaire oniboy, sourire mauvais sur les lèvres, néanmoins sincère. son anniversaire n’est que dans quelques jours et tu ne voudrais pas lui souhaiter en avance – de même pour les cadeaux qui attendent sagement la bonne date. tu le libères rapidement de ton "étreinte" masculine pour lui flanquer un verre dans les mains. kanpai! doublement satisfaite de ce premier cul sec pour marquer le lancement de la soirée.

tu as abandonné ton double maléfique après un certain moment, non sans décrocher un regard des plus brûlants à la petite mage (himari) qu’il a attrapé par la taille. disparaissant dans le claquement de tes talons non sans manquer de la dévisager de haut en bas d’abord. t’as traîné de groupe en groupe sans trouver une accroche assez convaincante pour t’éloigner de l’ennui qui s’est imposé rapidement – alors c’est dans l’entre-deux pièces que tu as pris tes aises. table de beer pong tranquillement installée entre la cuisine et le salon, qui n’attendait que toi. tu occupes l’espace comme dans un siège. et cela fait maintenant deux bonnes heures que tu enchaînes les verres et les candidats sans perdre ton trône. les alcools changent au gré des participants – et même le jeu, selon les envies. oh, allez! tu rouspètes, pour la trentième fois de la soirée. t'abandonnes trop vite. mais le pauvre bougre se fait la malle en trébuchant et manque de vomir entre ses mains avant même de rejoindre les toilettes. la compétition à base de whisky de feu était peut-être un peu trop corsée.

tu soupires en te redressant, dévisageant l’assemblée à la recherche d’une nouvelle victime. mais le mot d’ordre semble circuler de t’éviter et tu regrettes un instant l’absence de tes comparses des basfonds – et même celle de tes frères. t’as les lunettes de soleil perchées sur le nez pour faire style (ou pour cacher tes yeux troubles) et accoudée nonchalamment au bord de la table comme ça, avec tes cheveux laqués vers l’arrière et tes sourires revêches aux lèvres (veste abandonnée quelque part), tu ne manques pas d’allure pour un pilier de bar.

salon, pré-soirée

Mauvais jeux dans leurs sourires qui s’échangent à l’ombre des méfaits. Elle est arrivée avant tout le monde, sa moitié maudite, et Akira est distrait quand il tente de canaliser autant les élans pernicieux de Remi que les siens. Sa simple présence éveille ses instincts salauds - alors il essaie de se convaincre lui-même, en lui demandant de bien se tenir. be a good girl. Espérant que son chemin ne croise pas trop tôt celui de Joji - l’autre jumeau maléfique, celui de Yuan. Les calculs en probabilité de bordel ne font qu’augmenter quand il y pense.

joyeux non-anniversaire oniboy. Elle l’attire à elle sous un bras bagarreur, arrachant au passage une grimace à son aîné qui se plie à suivre le geste. Pour tout remède, Remi lui flanque un verre dans les mains. Le premier de la soirée. Celui qui en marquait le commencement et étire son sourire diable. ouais. kanpai.

salon, début de soirée

Quelques mots échangés avec des mecs dont il ne connaît pas le prénom - des coéquipiers des gars, d’après la conversation sur le dernier match. Akira s’est permis un avis brutally honest sur les performances de certains joueurs, récoltant la promesse que la prochaine rencontre le fera changer d’avis. hey... salut beau gosse, tu vas quelque part ? Des mains claquées dans son dos et posées sur ses épaules, il y en a déjà eu une dizaine depuis que la soirée a commencé. Mais pour Lorenz, le traitement est différent. chercher ta mère, il fait en l’emmerdant à son tour d’une main sur le cul, avant de revenir au sujet d’Andrea en secouant la tête. nan. on l’a perdu là. Pendant qu’ils se moquent de leur pote dont les bouclettes volent au rythme des basses, Akira sent la forme d’une clope dans la poche de Lorenz, et lui péta.

L’étreinte lourdingue se délie en même temps que leur attention s’évapore, quand Himari apparaît dans la foule. j'ai mis une éternité à te trouver. Sourire pour un sourire, il ne répond que par le geste après avoir coincé la clope derrière son oreille, pour glisser une main à sa taille. Échange de politesse quand elle se présente et félicite Lorenz qui ne tarde pas à s’éclipser ailleurs. S’écartant machinalement plus près du mur pour mieux l'entendre, Akira écoute à peine quand Himari lui parle de pâtisseries. C’est la suite qui retient son attention. ton vrai cadeau pour plus tard. ah ouai? Elle surprend l’expression de son regard piqué de désir et sa fossette étirée de sous-entendus. pfff, n'importe quoi, s’amuse-t-elle sous la cible de son haussement de sourcils suggestif.

salon-cuisine

Des cris ravivent la foule à chaque arrivée, célébrant quiconque franchit la porte pour se jeter dans l’essaim grouillant et imbibé. yo Evie ! ça fait plaisir de te voir. t’as ramené des copines, c’est cool, il ajoute en accueillant la hiisa-ka d’un ton détente. vous voulez un truc? Il se rapproche de la cuisine pour leur ramener un gobelet, glissant naturellement de la prise de Himari après avoir laissé traîner sa main dans son dos comme une attention dérobée.

En revenant vers elles les mains pleines, il leur dispense à chacune un verre (Evie, Aecha, Louise) , plus habile pour retenir les noms d’alcool que celui de pâtisserie. gros y’a masao qui a battu ton record de shooter pimenté ! - quoi ? là, chez moi ? vas-y j’arrive. Son honneur ((son ego)) entre en jeu, et Akira prend juste un instant pour filer à Himari un soft au parfum de fruits rouges piqués de bulles. j’t’ai acheté ça- j’reviens, il fait en croisant son regard avant de disparaître sauver sa réputation.

La fête a démarré depuis bien longtemps lorsque Somi se rend compte qu'elle a oublié quelque chose d'essentiel. La sorcière tape son front à l'aide de sa paume en réalisant son oubli. « Ma carte ! » Deux mots qui surgissent au milieu d'une conversation qui n'a rien à voir et surprennent donc ces interlocuteurs. Elle rit nerveusement devant le silence curieux des invités puis s'empresse alors d'expliquer qu'elle a failli oublié d'écrire sur la carte d'anniversaire de Lorenz. Un comble quand le joli papier avait été décoré de ses propres mains. Papier récupéré au cours de la soirée après avoir fait le tour des amis et connaissances de Lorenz. Petite boule discrète (mais pas vraiment) qui passe de groupe en groupe, de visage en visage pour recueillir quelques mots gentils (ou drôles). Elle s’arrête sur des connaissances à elle d’abord, s’incruste dans une conversation au hasard au détour de la cuisine. Himari et Saem. Parfait, se dit Somi en s’approchant des deux. « Eh ! Ça va ? » Elle parle un peu fort pour quelqu’un supposé être en mission secrète. « Ca fait longtemps…  » se permet-elle d’ajouter en fixant Himari. La Hiisa hésite même à demander la raison de sa présence ici mais se ravise vite en préférant sortir l’objet. La carte glisse sur le comptoir comme un pot-de-vin top secret. « Est-ce que vous voulez écrire quelque chose ? » demande la blonde en sortant de son sac un stylo à mille couleurs. « C’est pour Lorenz. » Précision essentielle pour donner un sens au cadeau. Le duo se laisse convaincre alors Somi les remercie une fois la carte gribouillée de deux nouvelles signatures et s’éclipse, non sans avoir jeté un coup d’œil envieux aux muffins.

La quête aux cent mots semble se terminer lorsque Somi disparaît dans la chambre d’Andrea pour écrire quelques pensées personnelles. Rien de grandiose, juste quelques souhaits sincères pour l’avenir de son ami. Penchée sur le bureau de bois, la mine concentrée, Somi entend à peine le propriétaire du lieu la rejoindre. Andrea se penche pourtant au-dessus de son épaule pour voir ce qu’elle écrit - plus rien maintenant car les bruits de chips la dérangent. « Tu vas salir le papier… ! » Grand geste pour sauver le cadeau des miettes paprika puis chamailleries en tout genre jusqu’à retrouver leur calme et, surtout, jusqu’à ce que Somi lui propose d’écrire lui aussi quelque chose à son meilleur ami. Elle ressort donc  de la chambre quelque temps plus tard avec un trophée en plus et prend le temps de vérifier que la récolte de vœux est suffisante - une semaine avait suffit pour croiser quelques amis proches de Lorenz. « Evie, Louise… » elle énumère les noms répertoriant les mots, si concentrée qu’elle se cogne dans quelque chose de mou - une poitrine. « Ah, désolée. » Une fille. Jolie. Très jolie. Mais qui ne lui disait absolument rien. Des amies de Akira, peut-être. Elle a la carte en main et son stylo dans l’autre alors la musicienne tend les deux au trio inédit. Yohan et deux compères qui se plient à la tâche en seulement quelques secondes. « Merci, merci ! » Elle récupère son bien. « Vous pouvez poser vos affaires n’importe où je crois. » Et sa remarque s’adresse surtout aux deux filles encore emmitouflées dans un manteau.

La tornade blonde effectue pour la dixième fois son tour du salon pour trouver le premier birthday boy, le sien. Lorenz. « Here you are… ! » La petite voix fluette s’exclame dans le dos de son ami - comme si ce n’était pas elle qui l’avait évité durant le début de soirée. « Joyeux anniversaire ! » La joviale sorcière s’accroche au bras de la star du jour. Sourire Colgate pour faire passer sa bonne humeur à Lorenz et ses interlocuteurs (toi ?).  

Fumée rejetée machinalement par la bouche tandis que ses mains sont occupées sur son portable pour gérer la sono. Les enceintes font leur travail comme il faut, basses qui résonnent dans les oreilles des invités, ces derniers tous occupés à discuter et à boire. Andrea n’aime pas trop voir tous ces fessiers d’inconnus prendre place sur leur sofa mais il n’a pas le choix. Il n’aime pas non plus ceux qui ont taxé sa bière préférée et ses chips cream & onion. Trop de monde et pourtant c’est ce qui lui fait plaisir, de voir tous ces amis profiter de leur anniversaire. Alors lorsqu’il se décide enfin à quitter son coin DJ, le garçon part saluer ses potes, suit des conversations, fait des présentations, rigoles aux blagues. Puis on vient l’interrompre gentiment pour venir rapporter ce qui se dit en cuisine.  “Haaaan Davis ! Askip ça dit en cuisine que les sons que tu passes sont merdiques, j’aurai pas aimé moi” Sourcil levé et sourire en coin. “Ah ouais ? Qui c’est qui dit ça ?” demande l'intéressé avant d’avoir sa réponse. “Rei ? Loool bah ecoute, contrairement à elle, les sons merdiques je les sors en soirée, j'en fais pas des CDs." ” ajoute-t-il en souriant derrière son verre, fier de sa réponse adressée indirectement à son ex, actuelle interprète des Bad Omens.

Il finit par croiser Mona qu’il salue et avec qui il entame une conversation remplie de formalités et de bégaiements. Puis il fini par attraper la main de l’américaine pour mieux l’emmener danser en plein milieu de son appartement. Il fait bien ce qu’il veut, c’est lui qui paye le loyer tous les mois. Alors sur le son préféré de Lorenz, le garçon se déhanche jusqu’à finir par s’échouer sur un fauteuil. Mais plus le temps passe plus la parano gagne l’Anglais, qui effectue plusieurs aller-retours entre sa chambre et le reste de l’appartement pour s’assurer que la porte de son entre est bien fermée et qu’aucun de ses petits consommables ne puisse être consommé, ou pire, distribué.

Sur le chemin, c'est Himari qu’il surprend près de la chambre d’Akira. “Oh tiens tiens qui voilà !”  Alors le préfet la salue et s’adosse au mur, portant à ses lèvres une tige déjà enflammée. “Tu faisais quoiiii ?” demande-il en souriant, imitant le comportement des commères tandis qu’il tend son joint à la jeune femme. Mais la Japonaise semble bien évidemment plus occupée à trouver une excuse qu’à se focus sur la proposition. “Tu déposais…tes affaires…mmmh intéressant, t’as pu y ranger ton balai ?” il hausse un sourcil et lui offre un sourire en coin plein de sous-entendus. “Je savais pas qu’Akira avait pris une technicienne de surface personnelle mais tant mieux pour lui parce que le gars est un gros crado” Ironie tout au long des paroles qu’il cesse à mesure que les joues de la demoiselle prennent une teinte carmin.  Elle semble d'ailleurs  vouloir changer de sujet en lui demandant comment il se porte. Alors il ricane. "Haha bah moi ça va ouais ! Tranquille ! C’est plutôt à toi qu'il faut demander si ça va” petit clin d’oeil adressé à la fameuse Himari qu’il abandonne après un dernier conseil douteux. “Prend un joint tu bégayeras moins !”.

Lorsqu’il en a l'occasion et que l’alcool danse le tango avec son hémoglobine, il rejoint Somi qui s’est octroyée des droits pour rentrer dans sa chambre. Paquet de chips en main, il se rapproche de la blonde pour vérifier ce qu’elle écrit sur la carte de Lorenz. Mais le britannique est bien plus occupé à faire tomber des miettes qu’à vraiment lire ce qu’elle  rédige. “Gngngngn tU vAs saLir le pApIer” mauvaise imitation qu’il fait mâchant la bouche ouverte pour l’embêter d’autant plus tandis que son corps se colle un peu plus à elle. “Omg omg ! écoute la chanson qui passe,  t’entends ? C’est Mak Miller ! Mmmmh am I aliiiiive ? Am i awaaaare ? Do we get hiiiiigh are we prepaaaaaaaareeeeed” chante-t-il comme s'il se croyait en plein concert,  invitant Somi  à le suivre sur le rythme de la musique en la tenant par la taille. Mais après quelques taquineries dont il ne se lasse pourtant pas, il est bien forcé d’arrêter et d’écrire  à son tour sur la lettre.  Après avoir enfin quitté la chambre, il revient dans le salon et passe notamment sur le balcon pour saluer Anla, et partager une cigarette avec elle. (vous pouvez le/les rejoindre si ça vous dit)

cuisine (la contre-soirée des bg) REI
les babines s'étirent en un rire qu'il ne cherche pas à dissimuler, et il opine de la tête sans un mot, portant une fois de plus la bière à ses lèvres. son amour pour andrea n'était plus à prouver, en témoignaient les quelques fanfics qui traînaient sur wizzpad, mais il avouait sans mal que certaines de ses playlists étaient... particulières (( et jamais il n'avouera le nombre de  nuits passées ensemble à organiser quelques karaoke déchaînés sur les pires... )). le silence plane un instant, avant que R E I ne vienne enfoncer un pieu en plein cœur, forçant le nakano à poser sa main gauche sur son pectoral en mimant une grimace dramatique. c'est mon anniversaire et tu parles déjà des choses qui blessent... j'ai trouvé un cheveu blanc ce matin. je crois que c'est le début de la fin pour moi, le temps est compté un lourd soupire dégueule de ses lèvres & malgré l'ironie qui tinte à ses mots, la vérité n'est pas dissimulée bien loin. on m'appelle monsieur. j'aimais bien jeune homme moi, pourtant la nouvelle gorgée trouve refuge à la trachée, embrase l'œsophage d'une euphorie qui ne tardera pas à se montrer dévastatrice. ça fait plaisir de te voir, ça faisait un moment... mais avant qu'il ne puisse formuler d'autres mots, une tornade familière heurte leur bulle et dévaste toute quiétude.

Mona
le bras se lève ; le poignet recouvre les lèvres humides pour étouffer un rire venu du fond de l'âme (( celui qui secoue les entrailles & fait naître les feux follets malicieux tout au fond des yeux )). il détourne le visage, se racle la gorge pour ne rien en laisser paraître, bouffant même l'intérieur de ses joues afin de ne pas offenser l'ouragan qu'est M O N A, quoique bien trop occupée à s'extasier pour prêter attention à son hilarité. « Enchanté, je suis Mona. » les crocs restent dévoilés en un sourire chaleureux & profondément amusé, dévoilant une fossette unique. je sais, on se croise parfois, j'entends beaucoup parler de toi. je suis content qu'on puisse se rencontrer officiellement la sincérité perle le long des commissures, et alors qu'il esquisse un geste amical pour lui saisir la main (( il avait vu andrea faire ça plusieurs fois en dehors d'évènements formels, et il devait avouer que ça avait une certaine classe )), mona prend les devants et appose le pins sur son col. wah, mais je reconnais ça, c'est tout moi ! il glousse. t'étais pas obligée, mais c'est sympa d'y avoir pensé. j'espère que tu passes une bonne soirée ! et tout aussi vite qu'elle n'était arrivée, s'en part-elle souffler chambouler d'autres groupes. alors lorenz se tourne vers R E I, encore survolté de cette brève interaction. t'es vraiment belle ce soir piètre tentative avant de hausser les épaules & grogner, conscient de la close qui l'interdisait de s'en approcher de trop près (( shit )).


INTERLUDE SHAKE YA BOOM BOOM
oh putain c'est ma chanson ! qu'il s'exclame alors que le corps ne peut s'empêcher de se trémousser. When you move your body, I'm wеak in my knees !!! Shake it, shake it, shake it, shake it like a earthquake !!! pour une fois, il peut s'autoriser à admettre qu'A N D R E A n'avait pas que des goûts douteux...


ANLA
hey le nakano sursaute, et fronce les sourcils à la vue de A N L A. hey ? mais sitôt appose-t-il un nom & des souvenirs sur ce visage que le sien s'éclaire à nouveau, ignorant toute la gêne qui ourle les traits fins de la femme. oh anla ! je suis content de te voir là en... d'autres circonstances. et ne pouvait-il être plus sincère — exalté à chaque fois que son corps se voit noyé par la foule, par la vie & par les gens autour de lui. c'est vraiment cool de ta part. mon père en a dégoté une l'an dernier pour noël, et c'était pouah... une tuerie. fais moi confiance, celle-là, personne d'autre que nous n'y touchera ! les yeux se plissent d'un énième sourire et, d'un ultime remerciement, le gardien tente de s'en retourner à sa conversation.  


SOMI
« Here you are… ! » la voix qui surgit à ses côtés absorbe toute son attention et, si les sourires étaient brillants jusque là, n'eurent-ils jamais été aussi SOLAIRES qu'en l'instant. oh 'mi... je t'ai cherchée partout ! le bras libre entoure les épaules de la cadette et, d'un geste tendre, la rapproche de lui pour lui offrir une étreinte solide. t'es venue pour me dire que j'étais le plus beau et le plus fantastique de tous, j'espère ! la langue humecte ses lèvres, le sourire qui peinturlure son visage brûle les traits tant il se fait vivace. ou alors tu t'es échappé loin d'andy et ses goûts douteux...? (( toujours garder la face, ne jamais avouer partager les mêmes goûts... )) de mouvements habituels, il force la blonde à prendre place entre ses bras, laissant son dos reposer contre son torse alors qu'il porte un nouvelle fois la canette à sa bouche. tu veux boire quelque chose blondie ? le bassin se relève légèrement pour mieux prendre appui contre le bar dans son dos, les orbes se posent à nouveau sur R E I : t'aurais pas de quoi dépanner par hasard ? les gestes miment quelque chose d'équivoque mais, soudain conscient de son incapacité à les saisir, il pose une paume sur l'oreille d S O M I dans le but inutile de la préserver. t'aurais pas un truc sympa à fumer ?