camarades d'écoles élèves dans la même promotion ou raiyo à quelques années près, rencontrés sur les bancs de tokidai ou wakoku. taizo t'a filé des réponses en échanges de quelques damas, t'a braillé de rire dans les oreilles, ou était devant toi en cours à se balancer sur sa chaise et faire perdre 15 minutes en débatant avec le prof.

clients on parle ici de l'herboristerie ; tu aimes les plantes, les fleurs, t'as besoin de refaire le stock de thé, t'as mal aux muscles après une séance de cosmoball, tu veux tester le zéro-déchet et le shampooing solide, ou encore offrir un bouquet... alors taizo t'a conseillé.

consommateurs ça fait plus de dix piges qu'il vend sa came, et sur l'île il est incontournable. si t'es un.e habitué.e t'as même peut-être ta propre réserve et un prix attitré, il se fait chier pour t'obtenir la meilleure qualité, et il en a rien à foutre de ta dépendance et de tes dettes, fais péter les clochettes.

autres pour un flirt, pour une bière, une discussion sur les théories du complots, te vanter les vertus d'être végé, pour militer contre la maltraitance animale, ...

en soirée, en boîte "t'as besoin de quelque chose, poto ?" il y va pas pour la musique ni pour les meufs ; taizo c'est son marché et il est là pour contribuer à l'ambiance et à ton plaisir. alors, tu veux combien ?

kagemura by night et ça bicrave, encore et toujours. dès que la brigade rapplique, on détale comme des lapins, alors "fais de-spee, fais de-spee !"

conbini que ce soit pour acheter le café de senri, refaire son stock d'energy drinks, lire le shonen jump à l'œil, ou péta des onigiris, on le croise souvent entre 11h-14h et 23h-3h

mori'kobori et n'importe où au village ryū. si t'es pas validé par la mif, il te servira le même regard de jugement et d'hostilité que les autres. bouge de là, t'es pas le.a bienvenu.e.

la plage, la mer toute l'année, peu importe la météo. souvent assit au bord de l'eau à parler aux vagues.

la forêt tel un gobelin mal froqué, 'faut pas l'emmerder pendant ses récoltes. il fait un peu flipper quand il déboule de derrière les fagots avec son panier de champis.