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he is exactly the poem, i wanted to write @Huang Tianyi outfit
15/05/2023ayase's duplex

Sourcils froncés, ne quitte pas son visage jusqu’au dernier moment. Échange rapide de banalité, avant qu’il ne rejoigne son apparemment. Tomoe est à bout de nerfs, bout de souffle, bout de patience. Il n’avait jamais géré quelqu’un d’aussi colérique et têtue que sa nouvelle recrue, Shigure. Bo s’amuse à les comparer, deux têtes de mules ne cédant à aucun ordre, tant que leur propre tête n’en a pas décidé autant. Tomoe, lui, n’aime guère l’idée d’être comparé à un tel personnage, peut-être avait-il raison, capitaine Bo, mais le shinigami n’était pas encore capable de regarder droit devant lui pour voir les évidences. Il était aussi, plus compliquer de se voir, dans le prisme de quelqu’un d’autre. Les défauts sont plus apparents, et on devient alors moins tolérant à son propre comportement.

Shigure serait-il à l’image de Tomoe ?
Il n’aime pas sa présence car il est tous ses défauts réunis dans une même personne ?

Il finit par soupirer, longuement, clés dans la serrure, découvert alors un visage familier. Dans la douceur de la nuit, accueil presque le jour, un ton presque oranger s’étire sur leur petit appartement. Tomoe dresse la main, ferme les rideaux dans un sort imprononcer, pour redonner une fausse pénombre aux deux oiseaux de nuit. Un fin sourire s’étire sur ses lèvres, chaussures retirer, pour se glisser jusqu’à sa hauteur, dépose un léger baiser contre ses lippes. « Bon retour, tu viens de rentrée, aussi ? » Un craquement à l’étage le fait presque sursauter, il tire doucement son petit ami jusque dans la pièce insonorisée qu’il avait établie pour la nuit. « Akito est sûrement en train de dormir, pour une fois qu’il trouve le sommeil avait trois heures du matin. » murmure t-il. maintenant qu’ils sont tous les deux, Tomoe sort une pommade de son sac. Réparatrice, faite main, par les nonnes des collines. « Pour toi, tu m’as dit que tu avais mal aux dos à cause des bacs à glaçon, c’est ça ? » il n’était pas bien doué pour se souvenir de toutes les histoires que compté Tianyi, les personnages lui échappe souvent, mais dans la marée d’information il essaie de tirer deux trois épingles pour donner la sensation qu’il est attentif.

Leur relation avait changé de tout au tout depuis quelques semaines, le départ prématuré d’Akito avait émergé la corde sensible de sa moitié, et il avait pu voir de ses propres eux, ce garçon fragile à la carapace tenace. Tomoe avait promis qu’ils resteraient toujours ensemble, ses discours sont durs et sincères, mais manque parfois de cette pincée de volonté, qui peut faiblir ses mots. Il n’avait pas d’entrain dans sa voix et parler toujours en utilisant le même ton, autoritaire et parfois monotone. Il se voulait tendre, doux et respectueux, lieu de paix pour ces deux amants, et pour cela, il devait se donner la peine de les accueillir à bras ouverts. « Comment tu te sens aujourd’hui ? » La tenue des shinigami est troquée par un pyjama poser au pied de son lit, si habituellement, il ne se déshabille pas devant son partenaire, leur proximité avait rendu les choses plus douce, le rendant moins inquiet d’un probable rapprochement physique. Tian respecter son choix, et lui garder ses positions, bien que les baisés sont échangés avec plus de facilité, la suite sera pour demain, ou ce jour bénit ou l’un des deux demandera sa main pour toujours. « Tu veux que je te masse ? Tu peux le faire seul, ou je peux t’aider. Elle m’a montré comment faire, c’est une histoire de mouvement circulaire… » Il s’assied au pied du lit et l’y invite, pour une démonstration qui semble lui tenir à coeur.
 
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