jordan || pizza song

background

Girls Talk Boys - 5 Seconds of Summer // brutal - Olivia Rodrigo // Kill This Love - BLACKPINK // THAT BITCH - Bea Miller // Look What You Made Me Do - Taylor Swift // Rumor Has It - Adele // Let Me Blow Ya Mind - Eve & Gwen Stefani// Fuck You - CeeLo Green // Bad For Me - Meghan Trainor & Teddy Swims // Little Did You Know - Alex & Sierra // Unholy - Sam Smith & Kim Petras // Mary On A Cross - Ghost // Perfectly Wrong - Shawn Mendes // I Lost A Bet - Aquilo // that friend - Mad Tsai // Life Could Be A Dream - Street Corner Renaissance // engravings - Ethan Bortnick

anecdotes

it is just a name — jordan à la naissance, prénom que ses parents ont choisi à cet autre enfant qui venait s’insérer dans le portrait de famille à côté de lucian. on lui prête bien des surnoms mais un revient toujours : jordanie comme surnom sur le terrain et en dehors dès qu’on connait un peu ses exploits, on lui prête le nom du pays au désert habillé de rouge, de jaune et de blanc, comme les différentes parties du sang dont il est fait, pour sa capacité (incroyable pour un british d'adoption) à maitriser les biotopes désertiques dont le sable fouette les joues et dont la chaleur pèse sur son épiderme immaculée.

alexa, can you remind me to forget ? — mémoire qui n’en fait qu’à sa tête. quand il tente d’oublier, il se souvient que trop parfaitement, comme les traits de cette mère qui lui promettait qu’un jour il serait quelqu’un alors que les yeux de son paternel étaient tournés vers l’autre enfant et ses prouesses à lui. rejet difficile à accepter, il aurait préféré oublier la douleur que c’était chez l’enfant qu’il était, son nom comme mémoire inoubliable, il a pourtant tant fait, une place dans une académie royale du pays qui avait vu naître son paternel comme un dernier cadeau avant que jordan ne devienne un homme.

love you, me neither — un amour que certains ne peuvent pas comprendre, le jeu du chat et de la souris, à se foutre sur la gueule tous les jours mais ne pas pouvoir s’empêcher de se raconter leur vie chaque jour qui passe comme si c’était le dernier. c’était ça la vie entre les frères marsh

i’m a storm but it’s just from inside — stratège, droit, fermé, il y a bien des adjectifs qu’on lui attribue sans savoir rien de lui. on lui colle des étiquettes sans savoir si ça match avec le produit, comme un citron au prix du cornichon. la réalité, c’est qu’il est soucieux et veut prendre les bonnes décisions avant de regretter par pure impulsivité. cela n’empêche pas quelques épisodes où ses poings ont tapé des os qui n’étaient pas les siens, bien sûr, mais les décisions les plus dures sont souvent les plus réfléchis chez lui. et quand on apprend à ouvrir les yeux, on découvrir un homme charmant, passionné, presque drôle.

in the sky, on my mind — spécialisé en cosmoball de par ses études, il est également un joueur très talentueux particulièrement en biotopes désertiques ce qui est particulièrement rare pour un joueur anglais de par le sang et japonais de par le sol, volant quasi uniquement en balai. il n’est pas maladroit en hoverblades ou skyglider pourtant, il a essayé, mais il se sent juste plus à l’aise avec ses deux mains sur le manche.

not looking at you the way i look at them — il avait beau arracher la peau des demoiselles, jordan ne les aimait que par la facilité qu’elles avaient de l’inviter dans leur lit. les hommes, ils étaient plus compliqués à discerner, plus compliqué de les inviter, de les regarder avec une envie débordante sans tourner du regard. alors jordan s’est construit une forteresse sur son visage pour paraître impénétrable tant par les corps que par les sentiments. il est même allé jusqu’à se battre, dépassant son caractère naturel en perdant son sang froid et écraser ses poings dans l’angle de quelques mâchoires pour être au plus proche de leur peau viril. tout cela n'était que pour finir par se faire exclure quelques jours de l’académie avant de miraculeusement pouvoir revenir occuper ses bancs.

flying over some feelings — stratège, meneur depuis toujours, préférant les jeux coopératifs que ceux dont il est seul maître, il a choisi de suivre ses propres rêves en commençant des entraînements de cosmoball dans son école privée. si son frère était plutôt une tête bien pensante et créative, jordan, lui, était rapide sur le balai, vif, réfléchi, logique, il a été repéré, sélectionné pour entrer à l’académie royale et tenter de se faire une place. les entraînements prenaient alors de plus en plus de place dans sa vie jusqu’à en devenir étouffante. pourtant les efforts ne furent pas vains et son nom commença à creuser un petit trou sur la sphère des amateurs de sport scolaire et universitaire et jordan marsh devint jordanie jusque dans les yeux souriants et larmoyants de sa mère récemment divorcée, jusqu’à ce que l’opportunité de jouer au japon et impressionner enfin son père fit sa place dans les nouveaux rêves du petit jordan.