EVENT ⟡ butterfly effect : temps

Les effluves de la fête l’enivrent, jusqu’à la transporter dans un autre monde. Mona perd le nord un instant, avant que son coeur soit pris en otage par cette sensation étrange. Rheko n’est plus, et la chaleur du garçon laisse un trou béant dans sa poitrine, ses yeux le cherchent sans le trouver, remarque tous de même des visages familiers. Mona se greffe à Marlon, haine aux grandes épaules, capable de protéger. Son nom résonne en écho, regard troubler, à quel genre d’activité allait-elle être conviée ?

Elle suit la danse, comme élève assidue qui ne pose pas de question, obéit sans ciller malgré l’étrangeté que prennent les événements. C’est quand son regard se pose sur cet être solaire que son cœur se libère. « Nakurami Ino-sama. » Murmure-t-elle à l’attention des personnes qui l’entoure. Icône cher au cœur de la Raiyo, remplis son cœur d’une chaleur inexpliquée.

D’un pas lent, mona s’assoie à ses coter, ses épaules se cogne à Babylone, elle se rattrape en gardant son bras entre ses doigts. Sensation de bien-être, comme pièce manquante de ce puzzle étrange. « Nakurami-san, sommes-nous dans votre tête ? » Mona a lu l’histoire de yumegaka, possibilité d’être coincé dans un rêve éveiller par son hôte. « Avez nous quelques choses à nous montrer ? » Une main porter sur son coeur, comme conquise d’être l’élue. « Regarde toujours dans la direction du soleil levant et tu ne verras jamais l'ombre derrière toi. » Sa voix est solennelle pour cité son maître, pour elle c’est un rêve dont tout le monde est comédien. L’oreille tendue, elle entend l’hypothèse de Michael. « Remonté dans le temps ? » Répete t-elle en direction du garçon, ses sourcils se fronce. La raiyo avait bien évidemment lu beaucoup sur cette possibilité, mais la scène semblait être absurde pour qu’elle y croie. « Je ne pense pas que ce soit probable, sempai… J’ai lu les fiches de pouvoir des Yumegaka, nous sommes coincés dans un rêve. Je ne suis pas réel, toi non plus et le seul réel dans cette boucle est son créateur ! » Mais comment expliquez comment expliquez cette chaleur brûlante au creux de son coeur ? « Babylone, est-ce que tu sens la connexion qu’il y a entre nous et notre maître ? » La gamine murmure à l’oreille de son ami, était-elle la seule à se sentir liée à cette grande divinité ?

en bref
✧ Mona perd des yeux Rheko, se cale derrière @Marlon Rookwood
✧ Elle ressent une connexion avec la fondatrice des raiyo, Nakurami Ino et rejoint le groupe qui l'entoure.
✧ S'accroche au bras de @Babylone Bird pendant qu'elle pose des questions à la concernée
✧ Émets l'hypothèse qu'ils sont coincés dans un rêve, quand @Michael Langford parle de voyage dans le temps !
✧ Mona est globalement calme, loin de son euphorie habituelle

Le cœur encore tambourinant de secrets bien gardé, Sachi avait décidé de rejoindre la salle principale après son escapade pseudo romantique. Dans sa tête toujours la même pensée, celle de l’être aimé qu’elle doit cacher, pourtant les regards s’échangent subtilement, l’excitation d’une relation secrète l’empêche tout de même d’avoir les idées claires, ou la boisson également. C’est ainsi que sans le réaliser vraiment sans même chercher à comprendre pourquoi elle se retrouve comme dans un rêve. Elle se frotte les yeux une première fois ayant cru vraiment avoir trop largement abusé de sa boisson, une deuxième fois mais pourtant tout semble si réel. « Ba je ne sais pas ce qu’ils ont foutu dans mon verre mais woow » tout semble si calme, si paisible. Une drôle d’atmosphère loin de l’agitation des alentours. Elle se décide alors à marcher sans grande conviction mais chaque pas rend la chose plus réel, ce n’est peut être au final ni l’alcool ni son esprit perturbé mais une réalité qui commence à la terrifier. « Pardon je suis désolée de vous déranger mais j’aimerai partir ? Je crois que j’ai été droguée ou quelque chose du genre et j’aime pas spécialement les soirées à thème je peux passer ? » Demande Sachiko un peu paniquée mais les refus se font plus nombreux et la panique gagne le cœur de la gamine.

Elle fait le tour cherchant une âme à laquelle s’accrocher, des visages familières qu’elle peine pourtant à reconnaitre. N’ayant jamais été très bonne élève elle sait pourtant reconnaitre les personnes qui se tiennent non loin d’elle. « Non mais c’est pas possible ?? Quelqu’un peut m’expliquer pourquoi j’ai toujours des problèmes dans ma vie !! Je vais m’avanouir sauvez moi quelqu’un » Prise d’un moment de panique elle croit apercevoir Jinx un peu plus loin, comme une lueur d’espoir elle se précipite mais l’homme passe trop vite et dans sa course elle se retrouve même à bousculer quelqu’un de visiblement assez important. Elle s’impose dans un petit groupe qui cherchent à comprendre les évènements. « Vous savez ce qui ce passe ? Je en comprends pas j’ai fermé les yeux une seconde et maintenant je.. et je respire plus je vais faire une crise de panique.. J’ai l’impression de reconnaitre les mages de mes livres d’histoire mais j’ai que des mauvaises notes.. dites moi que je suis en train de rêver quelqu’un peu me donner une baffe pour me réveiller ? » Supplication du regard qu’elle lance à Mona , Babylone et Michael espérant que ceci est vraiment un rêve et qu’elle se réveillera comme par magie.

en bref
Sachi est bête comme d'habitude et pense avoir été droguée, elle fait le tour pour partir mais se prend des stop, elle cherche des regards des gens pour l'aider, elle trouve un petit groupe et supplie @Mona St-Laurence , @Babylone Bird ou @Michael Langford de la gifler pour la réveiller. Elle croise @Jinx Cattermole du regard mais n'a pas le temps d'aller vers lui.

Tête jetée en arrière sur un canapé, Taizo s’enivre du printemps condensé dans son joint. Le sang enfumé, la tête embrumée, les yeux fermés. Le monde se met à tourner, les voix sont lointaines et le petit rire de cochon que lâche Senri le fait sourire dans ses délires...

… ET PAF LE CUL PAR TERRE.

Pas capté qui a volé le canap' sur lequel il était vautré ? Taizo se ramasse bruyamment, débarque couché sur le plancher en patatra. AaAAaaaHhyyeee… c’qui-l’enfouarêhh-ghnn…. Il se relève en frottant son crâne et observe le mic-mac autour de lui d’un œil hagard.

Déjà, il fait jour. Il a dû taper v’là le coma. Ensuite il reconnaît pas les lieux et moyennement les gens - encore moins celle qui lui remet un kimono dans les mains. C’est pas la première fois qu’il se retrouve défoncé dans des situations incongrues. La stratégie, c’est de suivre le courant et enclencher le pilote automatique.

Nage droit d’vant toi, qu’il dit le vieux.

Alors comme tout l’monde, il enfile les fringues - non sans brayer de rire en pointant le boulard de Rei qui essayait de se changer discretos - et suit le groupe en poussant un bâillement excessivement bruyant. rassure-moi, tu n’as rien mis dans les boissons… - jamais dans la tienne, ku pēpi ¹, il rassure Anla avec un sourire tendre.

L'instinct anesthésié par la beuh tente de percer son cerveau, à grand coup de pressentiments qui lui filent la migraine et une sensation de bad trip. ’faut qu’je mange un truc. Dans la réception, tout le monde se mélange au comité, et Taizo ne perçoit pas le malaise des gens de son époque. Personne ne part en courant, tout ça doit être normal.

Même Anla se laisse happer par les festivités avec Ena, et tonton Kobori est ravi de les voir se mêler aux autres. Évidemment si y’en a bien un qui va faire de la lèche, c’est forcément Rei - il essaie d’inculquer les bonnes manières à une blondinette (Somi) en la traînant avec lui, le relou. Elle s’la pète un peu la nana en rouge (Chicage Asaya), mais elle a du flow - sacrée Rei, il va toujours pour les meufs qui ont de la poigne, coquin.

Entre temps Taizo s’est assis à une table, parmi un groupe qui semble plus intellectuel que force brute, non loin des joueurs de shamisen. En tapant dans les victuailles, il commence à s'ambiancer sur la musique et secoue la tête en mangeant. y’a pas de viande là-dedans, si ?, il demande au moustachu près de lui. j’ai pas entendu, vous disiez quoi ?, fait-il pour rattraper la conversation.

¹ mon baby, ma puce (ryu)

Code pour Imo par Melody

résumé LOOOOOL

- taizo était allongé quand le bordel s'est produit, il déboule en tombant par terre
- il enfile le kimono sans rouspéter, mais se fout de la gueule du calbut' de @Uchida Rei
- la gueule en vrac encore un peu high, il baille et suit docilement près de @Kurri Anla
- observe viteuf et juge tranquille les gens, détendu du gland ( @Hanaoka Somi @Kanō Ena )
- la fonce-dalle frappe alors il se pose avec des mecs style maître Splinter près des zicos et tape la discut'

Butterfly Effect : Tempsバタフライ効果：時

Lorsque minuit a sonné dans la nuit du 14 au 15 février, c'est tout l'air qui s'est compressé. Dans l'observatoire, alors que le gala de Saint Valentin bat son plein, entre danseurs de la nuit, jeunes Mages en état d'ébriété et couples qui s'esquivent, tout devient flou, et semble comme clignoter autour de vous - et finalement, dans un bruissement de Poussière, vous vous ouvrez les yeux ailleurs.

@marlon rookwood et @babylone bird
Narukami Ino semble visiblement perturbée - d’abord par ce qui semble la tracasser, mais surtout de voir arriver un homme blanc la surplombant de cinquante bons centimètres dans un vêtement trop court (Marlon Rookwood), n’accordant qu’un vague regard à son acolyte (Babylone Bird). Euh… oui… superbe jardin, n’est-ce pas, répond-elle alors que son regard fuit et s’arrête peut-être un peu trop longtemps sur un groupe de femmes, entourant un mage vêtu de vert, visiblement dans une conversation fort plaisante autour de l’un des bonsai délicatement taillés du jardin intérieur. En vous approchant, vous pouvez voir ce qui ressemble à une lettre, dépassant légèrement de son obi. (à suivre…)

@kanō ena et @kurri anla
Le mage vêtu de violet semble pris de court face à cette jeune fille aux cheveux dorés (Kanō Ena), venant brusquement lui faire la conversation, accrochée à une de ses amies (Kurri Anla). Il semble légèrement tiquer à cette tentative d’approche - peut-être pas intéressé, ou peut-être offensé. Ou peut-être en alerte. Vous faites partie de la délégation Ming ? Vous accompagnez l’un de nos ambassadeurs, je présume ? finit-il par se rattraper, d’une voix ferme mais polie et très maîtrisée, sourire cryptique sur le visage. On ne vous a pas expliqué les objectifs de cette rencontre ? C’est bien fâcheux - mais loin de moi l’idée de remettre en question les manières de nos invités. Son discours est contrôlé et impeccable - il ne bute sur aucun mot, comme s’il avait fait ça toute sa vie, derrière un tatemae de titane. Nous sommes ici pour négocier et discuter d’accords diplomatiques cruciaux dans le futur développement de cet archipel. Je ne pense pas trop m’avancer en affirmant que notre but premier, mes pairs et moi-même, est de compter sur une coopération internationale apaisée et productive, ajoute-t-il, avant de se baisser légèrement comme pour remercier les deux jeunes femmes de leur présence. Maintenant, si vous voulez bien m’excuser, je me dois d’aller saluer le reste de nos invités… Et celui que vous avez sans doute identifié comme Kazato Wataru s’incline poliment, avant de se lever pour aller aborder un autre groupe - décochant au passage un regard en coin et un signe de la main discret à la femme en rouge.

@kobori taizo
Les deux mages assis scrutent Kobori Taizo d’un air confus, si brusquement interrompus dans leur conversation. Semblent scruter sa tenue - et peut-être que vos atours semblent marquer une différence de rang entre vous et le reste des mages présents, alors que votre style se rapproche plus des domestiques et des suivantes que des classes plus nobles. Bien évidemment que non, quelle question saugrenue. L’archipel n’ira nulle part en nous mettant l’Empereur à dos avant même d’avoir officiellement établi un gouvernement, réplique l’un d’eux sur la question sur la présence de viande dans les mets proposés. Vous êtes qui, exactement ? demande le second mage, pris de suspicion envers Taizo, dont le visage ne lui est absolument pas familier.

@uchida rei et @hanaoka somi
La femme en rouge, identifiée à juste titre comme Asaya Chikage, se tient droite, dans un coin de la pièce depuis lequel elle peut observer toute la réception sans angle mort. Pourtant une femme, elle est vêtue d’une armure légère - et lorsque vous vous approchez, vous pouvez lire son rang, fudai-daimyō, brodé sur la manche de son vêtement. Lorsque vous l’abordez, elle ne bouge pas ; mais son visage semble sincèrement surpris et perturbé lorsqu’elle regarde Rei. Tu joues à quoi, Tsuchiya ? réplique-t-elle d’un ton sec mais presque murmuré, comme si elle tenait à maintenir une certaine apparence pour la réception - et un nouveau regard vers la fille blonde (Hanaoka Somi) à côté de Rei semble lui faire réaliser quelque chose...

et pendant l’espace d’une demi-seconde, vous avez tous l’impression que le temps se tord, comme si tout glitchait tout autour de vous, avant de revenir à la normale…

Asaya Chikage laisse glisser un sourire poli, avec un signe de tête. Mes excuses. Je vous ai confondu avec quelqu’un d’autre… (à suivre…)

@irie sachiko
Les supplications de cette autre jeune femme aux cheveux de neige (Irie Sachiko) semblent alerter les soldats postés à l’entrée de la pièce - se demandant s’ils doivent prendre au sérieux cette déclaration affirmant qu’elle a été droguée. Malgré leur refus de la laisser partir, suivant les ordres de leur commandante, l’un d’eux s’esquive pour aller rejoindre Asaya Chikage…

@uchida rei et @hanaoka somi (2)
…Asaya-sama. Nous avons peut-être un problème, glisse le soldat à la future Fondatrice, encore en pleine conversation avec Rei et Somi. Je t’écoute. Asaya ne bouge pas, fait face aux deux intrus bras croisés, laissant le soldat lui souffler ses quelques mots à l’oreille, pointant Sachiko, ayant rejoint Mona et Babylone, du doigt. Une jeune femme affirme avoir été droguée. Voulez-vous que nous… La déclaration est audible par Rei et Somi, et l’expression de Asaya Chikage se durcit. Non. Brève pause. Retournez à votre poste et assurez-vous que la réception se passe bien. Je m’en occupe. Elle se tourne vers Rei et Somi, pour leur désigner Sachiko. Vous la connaissez ?

(...)

Côté Parc
Une fois que Asaya Chikage a obtenu les réponses dont elle a besoin, la voilà qui s’excuse et s’éclipse vers le côté parc. Passe devant Jiyo, Sana ou Himari sans les remarquer, pour aller à la rencontre d’une femme en riches vêtements bleus, assise sur le rebord de la terrasse de bois, et faire signe aux personnes autour d’elle de les laisser. Si on s’approche, on peut entendre quelques bribes de conversation, et noter leur apparente proximité - peut-être quelque peu différente des autres.

Kosuzu. On a un problème. Nos invités ne sont pas satisfaits de notre accueil ? Non, pas ce genre de problème… (...) tu sais exactement de quoi je veux parler. (...) Chika… (soupir las) Tu sais que je n’aime pas ça. Ça ne devrait pas être notre responsabilité. Je sais. Mais on n’a pas le choix. On est venus là pour ça… (...) Tu peux quand même aller vérifier ? (...) D’accord. Une jeune fille, tu dis ? Oui. Merci…

@marlon rookwood, @babylone bird, @mona st-laurence et @irie sachiko
Mona et Sachiko rejoignent le groupe face à Narukami Ino, qui semble peut-être se détendre un peu en voyant arriver deux femmes pour équilibrer la conversation. Mais ses propos semblent complètement incohérents à Ino, qui ne sait quoi lui répondre. Excusez-moi, que voulez-vous dire par “dans ma tête”…? Les mots prononcés par les uns et les autres semblent la distraire de son objectif et de cette lettre sans son obi - “remonter dans le temps”, “livre d’histoire” - et Narukami Ino ne sait que dire.

encore une fois, tout se distord. tout se déforme, le temps comme compressé, pendant une fraction de seconde, infime. l’avez-vous tous remarqué ?

Elle n’a rien à ajouter qu’un soldat vous interrompt, accompagné d’une femme vêtue d’un riche vêtement bleu qui s’avance vers vous. Mademoiselle. Voulez-vous bien me suivre, s’il vous plaît ? fait-elle avec un sourire énigmatique à Sachiko.

Objectifs
1 Essayer de comprendre et trouver des informations sur ce qu'il se passe, sans attirer l'attention.
2 Trouver comment rentrer chez vous.

Schéma des lieux

Ce que vous savez des Fondateurs...

Narukami Ino

Fondatrice de la maison Raiyo
Patronne des Métiers de l'Innovation, des Arts et de l'Artisanat. Également la cadette des cinq Mages-Fondateurs, la pétillante Narukami Ino était une Artiste-mage réputée pour ses fresques, estampes et oeuvres utilisant la Poussière comme pigment lumineux. Son sourire a été beaucoup représenté dans l'art de l'archipel, symbole de la Camaraderie et de la Communication, et associée au soleil et à la lumière.

Asaya Chikage

Fondatrice de la maison Hiisa
Patronne des Armées. Mage à la réputation volcanique, elle a longtemps dirigé les forces armées de l'archipel, symbole de protection, de force et de courage pour de nombreux étudiants aspirant à intégrer les brigades de Makōsa. Son expression sterne n'a d'égale que sa fougue, Asaya Chikage était également historiquement l'une des plus grandes Mages Élémentaires dans la maîtrise du Feu.

Tsuchiya Kanta

Fondateur de la maison Dojin
Patron des Métiers de la Nature. Symbole de la Compassion et de la délicatesse des Émotions, Tsuchiya Kanta a publié nombre de recueils de poésie encore actuellement étudiés à Tokidai. Mage expert en faune et en flore, il a également participé à la classification et protection de nombreuses espèces vivantes magiques de l'archipel, ainsi qu'au développement de son écosystème.

Kazato Wataru

Fondateur de la maison Fugi
Patron des Métiers de la Justice. Sa droiture et son sens de la responsabilité sont légendaires - Kazato Wataru fut l'un des tout premiers Mages Diplomates, symbole d'équité et d'égalité, imperturbable maître de l'équilibre. Il jouissait d'une réputation d'homme de peu de mots et de très secret - et très populaire, malgré son apparent éternel refus de fonder une quelconque famille jusqu'à sa mort.

Tatsumi Kosuzu

Fondatrice de la maison Suisei
Patronne des Métiers de la Santé. Future martiarche des Ryū, celle que l'on canonisera à sa mort Kosuzu-sama était une éminente Médicomage, ayant participé au développement de remèdes et de techniques de soins encore étudiées et même parfois utilisées sur l'archipel. Elle a longtemps été percue comme un symbole maternel, et ce même avant le schisme - qui lui attribuera plus tard ce rôle de manière historique.

Informations HRP

-> Privilégez les posts courts, de 400 mots maximum, avec un résumé et les tags des personnages mentionnés dans vos RP.
-> Rappel Afin d'assurer que tout le monde puisse comprendre les écrits de chacun, merci d'écrire vos RP en français dans les topics communs !
-> Le powergaming est interdit, gardez en tête que votre personnage est aussi humain que les autres !
-> Le MJ fera des interventions environ tous les quatre jours.

Participant.e.s (14):

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merci de ne pas mp ce compte !
on te répondra plus vite sur nos comptes personnels ♡

face au monologue de l’homme face à elle, la merde dans laquelle ils sont commence à monter au cerveau, sans que ça ne l'inquiète vraiment. les causes restent inconnues, et elle est loin de vouloir s'attarder à essayer de comprendre comment ils ont fini ici, simplement qu'ils ne devraient pas être là. et si n'importe quelle personne normale commencerait à paniquer, kosuzu l'a dotée de nerfs d’acier pour une raison : elle a juste envie d’aller attraper le bon vieux tonton taizo et lui demander de la beuh, parce qu'après tout la situation se porte à la demande. pendant que l’homme continue à enchaîner les mots qui lui donnent l’impression de vaguement reconnaître l’évènement sans pouvoir pointer exactement ce qu’il s'est déroulé, laissant une sensation d’inaccompli dans son esprit, sa main se glisse dans celle d’anla ; qui jusqu’à maintenant attrapait son kimono. elle veut pas lui faire ressentir plus d’anxiété qu’elle n’en subissait déjà. un geste familier, dans ce qui semble un autre temps. et lorsque celui qu’elle cale enfin comme le fondateur des fugi a fini de déblatérer, l'idée lui traverse l'esprit que ce serait pas plus mal de rester coincée ici avec un beau gosse caché derrière un rideau de bonne manière pour lui dire de la façon la plus polie possible qu’elle l’emmerde. elle aime les défis, de toute façon.
j’ai mes chances non ? qu’elle chuchote à son amie, avant de s’attarder sur les réflexions qu’elle lui a faite pendant le discours. la mimique se fait pensante, les yeux perdus vers le ciel. tout ce déroulement, elle a l’impression d’en avoir déjà entendu parler, mais se trouve incapable de mettre des pensées concrètes sur la suite des évènements, un vide frustrant dans les neurones, une pièce manquante qu’elle n’arrive pas à trouver.

elle sort, n’ayant plus rien à faire à l’intérieur maintenant que le beau gosse est parti (elle va le retrouver), les pas se dirigent en direction du jardin. et en vaine tentative d'essayer d'ignorer la blonde qui braille avoir été droguée, un regard interloqué lui est jeté. ça suffit à crystalliser une autre réflexion qui s’était instiguée dans un coin de sa tête, gardée au calme, et c’est en scannant les environs qu’elle se fait de plus en plus forte. anla, t’es venue au gala avec quelqu’un? son index se lève, suivi de ses autres doigts au fil de ses paroles. ton oncle, il était avec cette femme qui descend les verres encore plus vite que moi. la blonde, avec andrea. himari, avec son mec hargn-… son mec. elle ne savait pas où les reflexions la menaient, avait juste le sentiment viscéral, logé au fond de ses entrailles, que c’était un détail qui importait, un chemin sur lequel elle devait se jeter. tout le monde a été séparé de quel-

sa voix s'étouffe instantanément dans sa gorge à la vue du kimono bleu, et les pas ne se font plus en avant. elle se trouve immobile, figée dans le temps, la main d’anla ancrée dans la sienne parce que réalité ne semble plus exister.
anla, ē imi.*
face à elle se tient la femme qu’elle a vénéré toute sa vie, et la réalisation qu’elle a vraiment besoin d’une clope la frappe.

*ryū, regarde

en bref
même si ça l'amuse que wataru la recale elle commence à comprendre qu'ils sont vraiment dans la merde et qu'aller avec le flot va pas marcher cette fois, et ça la frustre de pas arriver à se remémorer l'évènement actuel qui lui dit quelque chose. elle se dirige vers le jardin en traînant toujours @kurri anla (pardon...) en écoutant ses réflexions etlui faisant part des siennes, et en essayant d'ignorer @irie sachiko, puis se fige devant kosuzu (et c'est pas parce qu'elle aussi elle est bg)

en tombant sur la première venue, il aurait pu se faire plus mielleux, mais il y avait quelque chose qui freinait marlon, il ne savait pas quoi exactement. il y avait aussi cette histoire de salutation à une asaya-sama qu’il devait retrouver. le jardin zen dans le viseur, il remarque à proximité babylone, le mec d’ujinori, parlé à un des gardes. les prunelles observent son entourage, remarque la présence forte d’uchida-sensei, et quelques joueuses de cosmoball en remarquant somi, anla et sachiko. son regard est attiré par la silhouette d'une des inconnues présentes (asaya) qu'il ne saurait expliquer, l'air menaçant mais canon. il serait bien allé la voir s'il n'était pas en couple. il finit par remarquer la présence de mona qui la rejoint à ses côtés, et soupire presque de soulagement avant de la fixer choquer quand celle-ci appelle l’inconnue en kimono par son nom. « comment tu sais ça ?? » qu’il articule trop silencieusement, parce qu’il connaissait personne ici. et c’était qui même, nakurami ino ? dans son discours, qu’il décrocha rapidement, il put au moins cocher une case. cette femme n’était pas asaya.

la probabilité d’être coincée dans un rêve ne lui était pas venu, paraissait étrange ; probablement parce qu’il ne comprenait rien à ce qui se passait. la voix de sachiko est difficilement manquable quand celle-ci demande à se faire gifler, regarde sa main et lui tourne le dos ; elle méritait pas de crever. à l’hésitation en réponse de nakurami, il retourne un « mais vos yeux sont plus beaux. », se faisant charmeur pour chopper des informations, c’était le projet. marlon suit néanmoins son regard fuyant, vers un groupe qui entourait un homme. « il est bien entouré celui-là. » qu’il siffle. s’agissait-il d’asaya ? ce nom familier qui lui revenait absolument pas. il croit perdre la vision un court instant, quand tout se déforme pendant une brève seconde alors qu’ino essaie de comprendre ce dont il s’agit. « … les gars, c’était quoi ça. » interrogation posée au groupe, il ne savait pas s’il attendait vraiment une réponse ou non, et quand une femme arrive pour emmener sachiko quelque part, il ne peut que se mettre entre les deux. « et pour aller où au juste. » le ton un peu trop froid, pas tranquille de voir sa coéquipière disparaître dans le vent. on vous connait même pas.

en bref
marlon pommé qui capte toujours pas les noms des fondateurs et quécho quand @Mona St-Laurence se pointe avec LE NOM + PRENOM!!! remarque enfin que ya son prof de filature et en vrai des gens de la vie au quotidien donc au pire s'ils crèvent c'est tous ensemble (travail d'équipe la team cosmoball). drague la fondat raiyo (il sait pas que c'est elle....), essaie de capter ce qu'elle regarde et écoute les théories du groupe puis et shook quand ya le temps se dilate et tente de stop la go qui veut emmener @Irie Sachiko on sait pas où? voilà

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si j'avais voulu planer, j'aurais été aux toilettes où n'importe quel petit vendeur de pacotille aurait fait un prix sur le pikmin stings. mais là, les mirettes avaient du mal à croire ce qu'elles voyaient et reconnaissaient. certains visages étaient complètement identiques à ceux dans les livres de ma mère. et si mon hypothèse était pas déconnante, elle semblait pourtant sortie d'un conte. comment une poignée d'étudiants auraient pu être transporté dans un temps passé et si vieux déjà. alors j'avais levé les yeux en l'air, haussant un peu les épaules quand on s'est moqué de ma version des faits. oui, peut-être que c'était une illusion collective et qu'on avait juste tous trop bu ce soir. mais ça, ça n'expliquait pas où était morgane. parce qu'il y a une vingtaine de minute tout au plus, morgane était entre mes mains. alors j'étais parti, essayant de voir ce qu'il se trouvait dans ce petit parc, marchant sur les gros galets, à la recherche d'un indice mais au final, c'est une femme vêtue de bleue que j'avais en visuel, tel le pseudo-espion à trois balles que j'étais devenu. un regard en arrière, c'est la fondatrice de feu que je voyais s'approcher dangereusement de moi et c'est ni une ni deux, que j'ai sauté dans le buisson, tentant de calmer mon rythme cardiaque quand elle s'est approché de la fondatrice à la couleur du ciel. les messes basses secrètement écoutées, j'ai attendu qu'elles partent avant de bouger de ma planque. mais seule kosuzu est partie et moi, je suis resté bloqué dans les plantes vertes tel le dojin que je suis.

en bref
Mike s'est jeté dans les buissons du parc quand asaya l'a coincé en sandwich avec tatsumi sauf que y a encore asaya dans le parc et par peur de se faire brûler les miches, il reste dans les buissons pour pas se faire repérer oops

les paroles dévalent au milieu de tes incompréhensions dans un vacarme assourdissant. tes doigts se resserrent contre ceux d’ena, venue cueillir ta paume naturellement. à croire que les circonstances ont ramené vos mimiques d’enfants, également. tu manques de t’offusquer à sa remarque après avoir quitté le brun ténébreux – mais un sourire se dévoile sur tes lèvres scellées alors que tu te laisses entraîner vers les jardins.

tes prunelles s’accrochent de nouveau aux estampes que tous ignorent comme une commune décoration – mais les traits ne cessent d’effleurer des courbes mémorielles oubliées, quelque part entre tes livres scolaires et les histoires contées par ton peuple. les formes abstraites se meuvent et racontent des instants d’autrefois... ton cœur trébuche, quand tu reconnais finalement l’une des grandes œuvres perdues de narukami ino. si c’est une illusion, la personne aux commandes est douée d’un grand sens de précision pour quelque chose d’aussi vieux et d’inaccessible depuis des siècles.

t’observes l’assemblée pour mieux comprendre les positions de chacun et ce qui se trame, derrière les regards cordiaux. tellement absorbée par tes additions que tu n’entends même plus ena, pourtant toujours accrochée à sa main par peur de perdre pieds au milieu de cet immense inconnu. t’as aucune réponse si ce n’est que tu commences enfin à comprendre, que le temps n’a plus d’importance depuis que vous n’êtes plus au gala. et quand ton amie s’immobilise soudainement, que tu ressens ses émotions avant de suivre ce qu’elle te montre, t’as l’impression que le monde se renverse – comme les battements de ton cœur, échoués contre les sourires d’une déité. votre déité. ils sont encore tous ensemble, tu lâches ça dans le plus grand des calmes – l’excitation presque palpable d’avoir enfin compris. mais l’évidence ne l’est certainement que pour toi, silencieusement formulée dans les méandres de tes pensées. ena en fera la traduction, rapidement : la scission des fondateurs n’existe pas encore.

et cette fois, c’est toi qui l’embarque dans tes pas. les mains toujours accrochées, tu ne voudrais pas la perdre au milieu de tout ça. tu t’immisces presque entre les camarades de ton équipe (sachiko et marlon), apparue comme un courant d’air pour mieux tempérer la situation. elle va la soigner, tu dévisages marlon en essayant de le convaincre d’un regard entendu, persuadée de ce que tu avances. n’est-ce pas ? tu te retournes vers l’éminente médicomage, et c’est à se demander comment tu restes aussi calme. cette femme est tout un monde pour les tiens, et tout un espoir pour tes pas las. ko– tatsumi-sama, tu la salues dans une courbe de politesse, retenant de justesse son titre posthume au bord des lèvres. c’est un honneur de faire votre rencontre. ton anxiété s’est désagrégée comme neige au soleil, retrouvant plus de clarté que jamais devant ton ancêtre. si vous le permettez, tu désignes sachiko de la main. je pense que ma camarade est simplement surmenée par la situation. nous n’avons pas été convenablement préparé à, euh, cette réception. tu marques une légère pause avant de reprendre, le temps est de circonstances... incertaine de prendre les bonnes manières. en espérant que les délégations entendent la même raison.

en bref
attention les gars, la vue de kosuzu a unlock anla la déléguée et son esprit vif!!! elle débarque avec @kanō ena au milieu du petit groupe formé de la fondatrice, de @irie sachiko et de @marlon rookwood - et essaie de tempérer la situation en plus de pousser sa déesse à la discussion.

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my soul is
moonburned

(24 ans) 19.02.99

Elle ne sait pas ce qu’il lui prend d’affirmer soudainement que l’ancestrale fondatrice de sa maison se trouve devant eux. C’est impossible - mais beaucoup de choses autour d’elle ne trouvent aucune explication logique et ses hypothèses ne trouvent aucun succès parmi ses camarades (Jiyo). « Est-ce que t’as une autre proposition alors ? » marmonne-t-elle en retour, visiblement stressée. Il a raison sur une chose pourtant ; l’école n’a pas l’air dans le coup. Himari aurait déjà vendu la mèche pour détendre le groupe - n’est-ce pas ? Et ensuite, c’est la petite dojin qui a raison à son tour alors Somi hoche la tête aux paroles sages. « Oui, on devrait faire comme les autres et écouter ce que les gens d’ici ont à dire. » Il y a d’ailleurs déjà des rescapés du gala qui se sont mélangés aux invités. C’est donc ce que Somi devait également faire, n’est-ce pas ? « Hanaoka-san, viens avec moi. » AH ! Voilà que le professeur a des projets pour elle et lui. Et si l’étudiante s'apprête à décliner l’invitation, l’adulte ne lui en laisse pas le temps. « C’est quand même pas la même chose, proteste tout bas l’idole lorsque son métier sert de prétexte, si c’est vraiment Asaya-sama alors on risque de… » La petite sorcière devient muette quand ils arrivent à proximité de la Cheffe. Rei s’incline puis Somi en fait de même. Quand elle se redresse, l’étudiant n’ose pas regarder la Fondatrice dans les yeux. Heureusement, Rei prend la parole le premier avec quelques courbettes de politesse. La réponse ne tarde pas mais interpelle les deux étrangers : Tsuchiya ? C’est pourtant bien Rei que Sayaka-sama regarde, puis c’est ensuite Somi qu’elle observe alors l’étudiante se sent soudainement pétrifiée - ou bien quelque chose d’autre se passe ? Une seconde étirée à l’infinie durant laquelle le temps s’arrête - mais ça ne dure que l’instant d’un battement de cils. Puis Somi se sent perdue, plus qu’avant encore. Et elle se demande si Rei a remarqué ce moment étrange et si les autres ont vécu la même chose. Somi se force quand même à rebondir sur les premières paroles du professeur. « Merci pour votre accueil, c’est un grand honneur… » Et même si la voix de la chanteuse tremble un peu, l'occasion lui semble trop belle pour se taire. « Y-a-t-il quelque chose que nous pouvons faire pour vous ? » Elle demande avec prudence en espérant comprendre pourquoi ils ont été amenés ici et ce qu’on attend d’eux.

La discussion avec la Capitaine est coupée par l’intervention d’un soldat et une nouvelle qui horrifie Somi ; une des leurs s’est faite droguée. Peut-être que Rei n’en comprend pas la gravité alors la blonde tire discrètement sur sa manche. Ils n’ont cependant pas le temps pour des messes basses car Chikage les interroge. Et Somi ne se sent pas capable de mentir à cet illustre personnage historique. « Un peu, oui. Enfin, elle est avec nous. » Ce n’est peut-être pas suffisant comme informations mais c’est tout ce à quoi Somi se risque à partager. Elle connaît Sachiko. Grâce au cosmoball et un peu à Andrea.

« Il s’est passé quelque chose de bizarre, non ? » rappelle Somi à Rei une fois qu’ils ne sont plus en présence de la Fondatrice. « Elle t’a regardé puis elle a parlé comme si elle te connaissait - C’est qui Tsuchiya, ton père ? - puis… énumère la blonde en comptant les évènements sur ses doigts, puis elle m’a regardé et… y a eu quelque chose avec le temps et puis… elle a été assez gentille finalement. » Et le dernier exemple compte aussi dans la liste des choses bizarres. Ils n’ont peut-être pas le temps de réfléchir à tout ça car une chose importante reste en suspens : Sachiko. Petite blonde, qu’elle retrouve facilement des yeux, tandis qu’un soldat semble vouloir l’emmener. « Vous êtes professeur donc vous devez aller l’aider, non ? » demande Somi à l’adulte. Marlon s’en charge déjà mais ce n’est peut-être pas une bonne nouvelle pour le reste d’entre eux. Heureusement Anla interfère dans le conflit et, même si Somi ne distingue pas ce qu’elle dit, il semble qu’elle essaye de tempérer la situation.

en bref le petit brainstorming continue à moitié avec @Mali Jiyo et @Yokoi Himari. Puis @Uchida Rei emmène Somi avec lui pour saluer Sayaka Chikage avec qui il se passe des choses étranges : elle confond Rei avec une autre personne puis un glitch de temps survient. Ils apprennent en même temps que Sayaka que @Irie Sachiko a été droguée (askip). Après l’entretien avec Ayaka, Somi et Rei résument les informations obtenues puis observent le conflit entre @Marlon Rookwood et la personne qui vient chercher Sachiko puis @Kurri Anla qui s’interpose.

Centre de la réception
La réponse ne tarde pas, accompagnée de regards interdits qui ne lui échappent pas malgré son empressement - Taizo mâche la nourriture en même temps qu’il goûte aux paroles avec plus de concentration, dès lors qu’un empereur est évoqué. l’empereur ? Ses sourcils se froncent, sans plus vouloir croire à la mise en scène, mais bien à une situation réelle. Avec un temps de décalage, il appréhende ce qu’on lui dit pendant que son cerveau carbure sous les infos. go-nara. shogunat ashikaga. L’encyclopédie interne enclenche les dernières connexions, alors qu’il jette un regard autour de lui pour relever des indices supplémentaires. ère muromachi. époque edo. Les yeux se dardent partout, des étoffes à la vaisselle, des visages aux paysages. établir un gouvernement, il répète. ‘Fait chaud, d’un coup. Le bédo a pourtant quitté le cerveau. Battements de cils dans le vide pendant que ses pensées retournent les dossiers de son palais mental. vous êtes qui exactement ? - conseiller. Taizo s’humecte les lèvres. de l’homme là-bas, son index désignant Rei, en train de parler avec celle qu’il comprend enfin être Asaya Chikage, sans la reconnaître.

Côté gauche, parc extérieur
Sans leur laisser le temps d’autres questions, Taizo se relève poliment - il en a assez entendu. En quelques pas il se précipite à l’extérieur, rejoignant un pavillon de bois donnant sur un parc immense - mais la vue lui coupe le souffle. Il reconnaît l’île de Meiwa, qui lui semble bien primitive. Parsemée de tours rustiques, pas finies d’être construites. par les fondateurs. Tebchijima, elle aussi, a l’air encore prise dans les pans sauvages de la végétation, dénuée de toute trace de son village. La nausée lui prend au cœur - entre inquiétude pour ses proches et la situation bien réelle dans laquelle ils sont prisonniers. On ne joue pas avec la magie ; encore moins avec le Temps.

Centre de la réception
Il fait machine arrière et revient à l’intérieur, observant tous les mages présents avec beaucoup plus d’intérêt. D’un air détaché, Taizo provoque une collision avec un mage de cette époque et lui attrape le bras pour feindre de le rattraper, avant de s’excuser bien bas. veuillez me pardonner, je regardais ailleurs. Paume contre peau, sa respiration se gorge d’une vision d’un autre temps, de souvenirs inconnus, d’une époque passée - le don de sogaka confirme l’ultime théorie à laquelle il aurait préféré ne pas croire.

Centre de la réception, avançant
Pendant qu’il part à la recherche d’anla et ena, Taizo réfléchit à une solution et se déteste de manquer autant de ressources. D’où sont-ils arrivés ? Y’a-t-il une faille ? Comment la reconnaître ? Quels sont les risques ? Quelle heure était-il ? Qu’y’a-t-il en commun de cette époque et de la leur, sinon eux ? Promesse intérieure que s’il arrive à rentrer chez lui, il retournera tous les bouquins de voyage dans le temps que contient la bibliothèque de Shinmeidai.

Le temps se tord et Taizo se sent à la fois absorbé et recraché par une force invisible. holy tanuki, j’aimerais croire qu’c’est la beuh, mais-

Centre de la réception / jardin extérieur (droite) uchida rei et hanaoka somi
A travers toutes la réception, c’est finalement sur rei qu’il tombe en premier, toujours accompagné par l’étudiante (somi) d’un peu plus tôt. Le dealer attrape l’ex-flic par la manche et le retient dans la confidence. rei. t’as compris c’qui s’trame ? Son ton pressant est suffisamment équivoque. on joue pas avec le temps. ça va nous péter à la tronche. surtout- , il jette un oeil vers la fondatrice Hiisa. ... surtout avec des événements historiques. Est-ce qu’ils rentreraient au complet ? t’as vu mes nièces ? il faut qu-

Jardins extérieurs (droite) kinda everyone
Mais évidemment, au même moment, il la voit lui-même. Ses longs cheveux noirs qu’il a tressé la veille, dans le dos d’un kimono. Juste aux côté d’ena. Relâche la manche de rei pour aller auprès d’elles et les éloigner de toute incohérence - jusqu’à ce que le temps se froisse encore et divague sous ses yeux. merde. Juste quand ses jambes reprennent leur équilibre, il se récupère sur l’épaule d’anla qu’il entend parler. ...honneur de faire votre rencontre… En relevant la tête, les yeux dorés de Taizo tombent sur ceux de Tatsumi Kosuzu. Et elle, il la reconnaît immédiatement. Le moment l’empêche de réagir, devient muet pour la première fois de sa vie, pendant qu’Anla reste la plus solide.

Code pour Imo par Melody

résumé
- Réalisation de l’époque (connaissances en Histoire, discussions)
- Vérification de l’île et de Tenchijima au loin (situation géographique).
- Contact avec quelqu’un (don de sogaka).
- Cherche anla et ena + réfléchit à une solution.
- Croise Rei et lui fait part de ses observations. @Uchida Rei @Hanaoka Somi
- Aperçoit tatsumi kosuzu avec les filles. @Kurri Anla @Kanō Ena

Les échanges sont rapides et intenses, sans qu’elle ne comprenne réellement le sens des choses. Les doigts de la gamine quittent le bras Babylone, pour se poser sur la table, à l’écoute de son maître, Narukami Ino. Le coeur est animé face à un tel spectacle, comme rencontre avec une moitié qu’elle a jadis perdu, sans l’espoir de retrouver. Sa question fait pencher la tête de Mona, et elle se rend compte que tout ça n’était peut être pas aussi simple qu’il en avait l’air. « Ce n’est pas… Un rêve ? » Michael avait-il raison ? Ou est Rheko alors ? Qu’est-ce qu’ils font là ? Pourquoi avait-elle accepté de troquer sa robe de st-valentin pour un kimono ? Qui sont ces personnes, et pourquoi menaçaient-ils de les séparer ? « Sachi.. » Prise en otage, par la volonté d’une inconnue. Les yeux sont écarquillés, prennent un instant avant de se rendre compte de ce qui se passe. Anla et Marlon font déjà barrage, tandis que la gamine, peine à se redresser sur ses deux jambes.

Mona ne supporte pas l’animosité de la situation, penser tue par le nombre d’information qui s’empile, elle a la soudaine sensation d’être submergé. « Où est Rheko ? » La question est adressée à la dite divinité raiyo, les sourcils froncés. La panique monte à son tour, ses yeux sont humides, elle chasse quelques larmes du coin des manches de son kimono. « Ce rêve ressemble plus à un cauchemar, qu’autre chose. » Râle t-elle, une soudaine sensation d’être compressé contre le sol, la fait tomber à genoux, elle suffoque.

en bref
✧ Mona se rend compte que c'est réel, elle voit l'interaction entre @Irie Sachiko les gardes et @Marlon Rookwood & @Kurri Anla, s'apprête à les arrêter mais n'y arrive pas
✧ Elle ressent la déformation du temps, et fait une crise de panique on the floor EDONBDFO

	magical dream

EVENT ⟡ butterfly effect : temps

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