- FaceclaimCrédits
- Pseudo IRL : oriPronom(s) IRL : she/herFaceclaim : daiki tsunetaCrédits : skato ♥ viboMessages : 174Points RP : 0Dama : 30 126Couleur de dialogues : #5a9661CW & TW :CONNERIES, DÉFONCE, DROGUES, LANGAGE CRU, BATLÉCOUILLISMEMulticomptes : -> HELLBOY ー 26, firemanAesthetic IRL :Naissance & Âge : 050589 — 34 yo.Pronom(s) : ∙ il/heOccupation :「 MORI'KOBORI 」
herboristerie familiale, située dans le village ryu. vente de produits issus de cultures végétales ; thés, épices, onguents, essence, huiles, crèmes, plantes, fleurs... aux professionnels ou particuliers.
「 DEALER 」
bicraveur du tieks et de l'ARUMIOPOKIMI. fabrication et vente de drogues. au détour de guré, dans un coin d'une soirée, sur les abords de eiyamachi. ouais vas-y passe pécho !Particularité(s) :「 SŌGAKA 」
☽
instinct
« j'le sens comme une odeur de pet ; et je pourrais presque dire si c'est parce que t'a mangé indien à midi, ou si t'es stressé. on peut pas m'la faire à l'envers. »
visions et rêves
« les visions me collent la migraine, et y'a des prémonitions dont je me passerais bien. sauf qu'y'a pas de filtres. alors je fume. ça m'aide à adoucir le délire. j'en ai eu ras l'bol des rêves sans queue ni tête. parfois y'a un mot, ou une heure... si j'dois voir un symbole dès que je rêve de senri à poil, j'suis dans la merde. »
nécromancie
« j’suis peut-être passé à côté d’un macchabée qui faisait signe, mais j’ai jamais rien capté. difficile de démêler l’hallucination du don, quand t’es sous K. »Relations :- Spoiler:
- -> SENRI ー best friend
-> SHILO ー neveux emo
-> ANLA ー fav niece
-> NAOMI ー lien
-> PANDORE ー lien
-> JASPER ー lien
-> ANDREA ー lien
-> NAME ー lien
-> NAME ー lien
-> NAME ー lien
Points RP
Kobori Taizo
onkamihāno
⬦ ⬥ ⬦
- invités:
- @Kurri Shilo (grand-frère)
Kurri Iley (père)
@"Kijima Seiya" (cousin)
@Kobori Taizo (oncle)
Kobori Kizuko (père de Taizo et grand-oncle)
Nanisa (grand-mère et chamane)Mitsu (relative, beau-frère de Taizo)Chikae (relative, enfant)Katagiri (relative, tante)Asano (relative)
@Takano Rose (best friend)
@Igarashi Senri (role model, friend)
and maaany more
La nuit est tombée tôt dans l’après-midi, plus encore parce que les nuages ont recouvert le soleil de ces derniers rayons dorés. Confondant ciel et mer à l’horizon du village d’uminomiya, quelques flammes enchantées flottent dans l’air pour guider les pas des habitants le long des pontons en bois.
Une lumière chaleureuse se dégage des maisons, invitant à entrer dans le réconfort d’une famille qui s’attend mutuellement - que chacun rentre pour se réunir autour d’un repas, sous le chant d’une prière fredonnée, le tintement des baguettes nacrées. Pourtant dans le confin du village, là où la jungle se mêle aux résidences dans une étoffe de verdure, un foyer manque à l’appel et reste plongé dans l’obscurité.
Sur le pas de la demeure est sculpté kurri à même la porte. Les statues protectrices ne font pas un bruit, participent à jouer aux secrets, gardiennes des mystères qui se trament à l’intérieur. Une aura singulière enveloppe la maison aux airs de cabanon, qui dans l’apparence laisserait croire qu’elle est entièrement vide…
Quand en réalité, ça court sur le plancher, ça se bouscule pour ne pas perdre de temps avant que-
En ce 2 novembre, qui marque son vingt-et-unième anniversaire. Une célébration s’impose, réunissant toute la famille dans une surprise qui ne manquerait de surprendre… personne, en réalité. Car ici, chacun se sait. Les anniversaires ne sont jamais oubliés, toujours prétexte à faire la fête et se retrouver, quand bien même on s’est dit au revoir la veille pour le dîner. Entre traditions infaillibles et réjouissance du partage, les ryus ne manquent jamais de commémorer la naissance d’un membre de leur peuple. Chacun est honoré, pour ne laisser personne s’oublier, formant le Tout de leur communauté.
Derrière les murs de la demeure se tiennent amis, famille et pour beaucoup même des esprits invisibles qui ne les quittent jamais vraiment. On allume des bougies, on dispose des figurines sur les autels de générations, l’encens parfume l’air dans des volutes familières.
Les voix à l’unisson viennent soulever le cœur d’un chant léger, au son de la formule de célébration ryu. A la fois prière et bénédiction, hommage et louange. A peine la porte refermée derrière elle, Anla se voit mettre un pied dans le sceau tracé sur le sol, qui s’illumine à son contact, dans une geyser de poussière. La magie se soulève, mais c’est davantage un ouragan qui souffle dans ses cheveux - reconnaissance de son essence - une montée en puissance d’énergie qui lui est dédiée. Tout le monde tape dans ses mains, exulte, rit, crie. Cacophonie chargée à bloc de cette joie qui circule entre tous, indissociable de leurs coutumes - où tout prend source dans le nombre, le partage et la solidarité.
* * *
Malgré les effusions d’azur qui teinte le foyer, une lumière plus chaleureuse s’est finalement installée pour permettre à tous de se voir à la lueur des flammes enchantées. C’est la deuxième partie de la fête : moment du repas un peu à l’arrache, certains debout, d’autres assis - où chacun vient voir tour à tour
Assis dans un coin de la pièce, Taizo est bloqué un moment par sa nièce qui a décidé que ses jambes étaient assez confortables pour devenir son trône. Après l’avoir envoyé dans les pieds de son père, il peut enfin se lever - et détourne de justesse
Pas mécontent de son présent, il snap ses doigts et adresse un finger-gun à son neveu
Andrea Davis aime ce message
Kurri Anla et Igarashi Senri ont feelsé sur ce message
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- Type de symbole : IoniconsSymbole : newspaper-outlinePseudo IRL : melodyPronom(s) IRL : elle, she/herFaceclaim : asahina aya (朝比奈彩)Crédits : melodyMessages : 427Points RP : 0Dama : 19 692Couleur de dialogues : peruCW & TW : -> j'écris beaucoup par rapport à la moyenne, entre 600 et 1500 mots en moyenne (voire plus). ne te mets pas la pression de faire de même, chacun.e gère son inspiration comme iel le souhaite et je n'ai aucun standard de longueur pour mes partenaires ♡
-> j'écris à la troisième personne, principalement en français et/ou en anglais. ma plume est plutôt très factuelle et pour une question de fonctionnement purement personnel, j'ai un peu de mal à répondre et visualiser les styles plus poétiques. mais si tu n'es pas pressé.e, je ferai de mon mieux ! ♡
-> certains éléments de l'histoire et de la narration peuvent aborder les sujets suivants :
manipulation, gaslighting, religions et sectes, eugénisme, dépression, paranoïa.Aesthetic IRP :
☼ SAG ☾ ARIES ↑ AQU
ー⍖ー
ESTP-T | 7W6: THE PATHFINDERNaissance & Âge : 03.12.89 (33)Pronom(s) : elle/she/herStatut Civil : -> chroniquement CÉLIBATAIRE.Occupation : -> JOURNALISTE au MAKŌSA ITACHI SHIMBUN.
-> COACH de l'équipe de dustquash des MAYHEMS DE MEIWA.Particularité(s) : aucune.Affinités Magiques : -> maîtrise du SAISHIN suite à sa formation sur le tas, avec l'aide de son mentor.
-> a quelques bases en DOKUSHIN par assimilation naturelle lors de son apprentissage de l'art opposé.Catalyseur : -> (visuel) COUTEAU-PAPILLON offert par son mentor il y a plus de dix ans, est devenu un artefact indispensable.
-> (visuel) BRACELET RYŪ senri a également pris soin de faire modifier ce bracelet offert par taizo pour le charger en poussière. toujours dans un fond de son sac, elle n'a jamais mentionné la nature catalyste de l'objet.Logement : -> maison de ville individuelle dans une ruelle de KOMEIKYŪ.Signes Distinctifs : -> mesure 1 MÈTRE 71.
-> (visuel) porte un TATOUAGE YAK SANT khmer en haut du dos et à la base de sa nuque, réalisé par une mage cambodgienne lors d'un voyage à angkor vat.Relations : ->TAIZO
ー bff, soulmate, partner in clowneries
->REI
pnj ー ex-turned-friend
->ANLA
ー petite soeur par loyauté
Points RP
Igarashi Senri
November 2nd 2022
outfitLe temps qui s’est écoulé depuis que Senri a osé prendre un train pour Uminomiya se compte en années - elle pourtant habituée des lieux dans son adolescence, invitée d’une communauté à laquelle elle n’appartient pas, avait fini par prendre ses distances. Vie d’adulte qui la rattrape, job et fréquentations qui ne sont pas toujours bien perçus dans le coin - et par respect pour l’accueil des proches de Taizo, Senri évite tout simplement de fouler le sol de Tenchijima sans une bonne raison.
Et la bonne raison, elle se présente à elle lorsque Taizo finit par l’inviter à célébrer les vingt et un ans de Anla, de nulle part. Elle l’aime bien, la môme, Senri, même si elle n’a appris à la connaître que depuis peu. Le feu au bide de ses propres convictions et une fierté pour son existence entière qui inspirent le respect, en plus d’être d’agréable conversation. Elle n’aurait cependant pas pensé occuper une place assez privilégiée pour être conviée à une fête quasi-exclusivement familiale.
Senri a laissé la moto et les artifices derrière elle - ça n’a jamais été le style local. Préfère l’arrivée discrète dans ce train qui file à la surface de l’eau et couvre la distance entre Eiyamachi et Uminomiya alors que le soleil se couche à l’horizon, trajet longtemps parcouru quand elle avait une quinzaine d’années de moins dans les pattes, à fuir sa mère pour emmerder Taizo jusque dans les transports en commun, même après les cours. Vingt minutes de traversée qui la replongent un instant dans le passé, dont elle se défait en se levant de son siège au terminus.
L’accueil est toujours aussi chaleureux, dans cette effervescence d’une communion familiale que Senri n’a jamais connue ailleurs qu’ici. Pourtant invitée, pièce rapportée de n’être que l’amie de Taizo - et pourtant toujours considérée comme l’une des leurs. Au milieu des préparatifs chaotiques qui réunissent trois à quatre générations, Senri, malgré sa grande gueule habituelle, reste en retrait. Elle les laisse faire, spectatrice et invitée d’une culture locale qui n’a jamais été la sienne. Elle garde sa place d’invitée, comme elle l’a toujours fait à Uminomiya, parce que le temps n’a rien changé.
Les tantines l’alpaguent pourtant avec aisance - ravies à l’idée de voir un nouveau visage ayant passé assez de vibe checks pour être invité. Certaines la reconnaissent, d’autres moins, toutes y vont de leurs commentaires.Isn’t this Senri-chan! Yes, she’s Taizekko’s good friend from school. Did you grow taller? Since when does Taizekko have a girlfriend? How long has it been since you last came to visit? No, Nanisa, we said good friend. Ara, she got pretty, I didn’t recognize her! Look at you, dressed like a woman, what are you doing in the city now? Ne répond pas grand chose que des politesses à coups de sourires et de courbettes, dans cette effervescence d’attention qui lui est trop étrangère pour la mettre totalement à l’aise. On finit par se désintéresser pour se concentrer sur l’organisation plus importante, et Senri navigue en silence, pieds nus sur le parquet et bras croisés sur la poitrine derrière ses lunettes. Des gosses semblent s’extasier devant une jeune fille inconnue, sans doute une amie de Anla, qui agite un bocal d’étoiles devant eux - et les mauvaises idées fusent déjà. Please can we open the jar to see the star closer, Rose-chan? Senri marque une pause pour jeter un regard entendu à la prénommée Rose - très tentée d’ajouter un bobard qui les ferait assez flipper pour abandonner l’idée, mais laisse ça à la babysitter du jour. Sa conscience lui défend de terroriser la famille de Anla pour se comporter en bonne invitée. Taizo aussi prend ses responsabilités, et a mieux à faire que de jouer les chaperons - finit par mal parler à la doyenne et se prend un coup de tatane de son oncle, arrachant un rire bruyant à Senri de sa position de spectatrice. La scène est familière, et même quinze ans plus tard, n’a pas pris une ride.
L’arrivée de Anla suit les traditions - et si Senri ne prononce pas la louange scandée par sa famille de peur d’écorcher un mot, ses applaudissements accompagnent la clameur qui suit l’éveil du sceau, illuminant la pièce en l’honneur de la jeune fille. Observatrice de leurs habitudes de famille, alors que Senri a plus l’habitude d’embarquer Taizo dans des périples incongrus ou dans des bars pour ses anniversaires que de rassembler toute une famille.
Le repas est forcément quelque peu chaotique, avec autant d’invités - relève plus de l’apéritif dînatoire, alors que chacun se sert des multiples plats disposés sur la table de la grande salle à manger familiale. Senri gratte quelques brochettes de poulet avant que le père de Taizo ne lui file un coup de coude pour lui tendre un verre. It’s family-made, my own brew, qu’il glisse fièrement, et Senri affiche une moue impressionnée.Well then, cheers? répond-elle avec un sourire surpris - mais elle n’a pas le temps de se retourner pour y tremper les lèvres que Taizo l’intercepte pour lui arracher le verre des mains. You don’t want to drink that. Oh come on, it’s just a drink, râle-t-elle sur le coup, avant de froncer les sourcils. Why? What’s in there? ajoute-t-elle en lâchant un rire quand elle voit l’expression de Taizo, qui ne lui répond pas - et ne lui répondra pas, comme pour ne pas répandre les secrets de la gnôle de famille, sans trop savoir si c’est par loyauté ou avec une légère once de honte dissimulée. La dernière fois qu'elle est venue, elle n'était pas en âge d'en profiter. Let’s greet the queen, préfère-t-il répliquer pour noyer le poisson, en lui refilant un sirop de fleurs d’une couleur bien trop girly à son goût - ça cache forcément une dose de sucre infâme pour planquer la ridicule dose d’alcool. Elle fronce le nez, trempe les lèvres - et finit par afficher une moue convaincue avant de se laisser embarquer.
Taizo attaque avec ses félicitations et son propre cadeau glissant une fiole dans la main de Anla, sous l’oeil curieux de Senri derrière lui.Bottled chance. Homemade. Et elle manque de s’étouffer avec son sirop, alors qu’ils savent tous ce qu’il trafique de ses journées. Ça ne loupe pas et elle le voit dans le coin de son oeil lui jeter un regard blasé. BUT tested and approved, you know me. Yeah right… elle laisse échapper avant d’échanger un regard avec Anla, et s’avancer à son tour. Happy birthday, girl, glisse Senri avant de lui tendre le paquet jusqu’alors planqué dans son sac à main, posé dans un coin de l’entrée. Hope you only have to use it for fashion purposes, ajoute-t-elle, lui jetant un clin d’oeil pour se détourner ensuite et laisser la place aux plus jeunes, arrivés juste derrière eux. I'm glad to see y'all, youngsters, clame Taizo, arrachant un regard horrifié à Senri. He’s on his way to becoming a full-on uncle here, just give him a few more years, raille-t-elle à l’adresse des jeunes adultes avec un sourire narquois, alors que Taizo ne la laisse pas s’en tirer comme ça avec son air outré. …what? Tou’re an aunt here too, woman. Senri réprime un frisson théâtral et lui fait les gros yeux. Say that one more time and I’ll make you skip the uncle part just to send you all the way to the grave, rétorque-t-elle sur le même ton de chamailleries dont ils ont l’habitude. Et l’autre se contente de sortir une clope pour s’esquiver sous le hissement de Senri qui mime une baffe en préparation, avant de se fendre d’un soupir rieur - et de se faire encore emporter par l’une des tantines, visiblement décidée à lui poser toutes les questions du monde pour le reste de la soirée.
Et la bonne raison, elle se présente à elle lorsque Taizo finit par l’inviter à célébrer les vingt et un ans de Anla, de nulle part. Elle l’aime bien, la môme, Senri, même si elle n’a appris à la connaître que depuis peu. Le feu au bide de ses propres convictions et une fierté pour son existence entière qui inspirent le respect, en plus d’être d’agréable conversation. Elle n’aurait cependant pas pensé occuper une place assez privilégiée pour être conviée à une fête quasi-exclusivement familiale.
Senri a laissé la moto et les artifices derrière elle - ça n’a jamais été le style local. Préfère l’arrivée discrète dans ce train qui file à la surface de l’eau et couvre la distance entre Eiyamachi et Uminomiya alors que le soleil se couche à l’horizon, trajet longtemps parcouru quand elle avait une quinzaine d’années de moins dans les pattes, à fuir sa mère pour emmerder Taizo jusque dans les transports en commun, même après les cours. Vingt minutes de traversée qui la replongent un instant dans le passé, dont elle se défait en se levant de son siège au terminus.
L’accueil est toujours aussi chaleureux, dans cette effervescence d’une communion familiale que Senri n’a jamais connue ailleurs qu’ici. Pourtant invitée, pièce rapportée de n’être que l’amie de Taizo - et pourtant toujours considérée comme l’une des leurs. Au milieu des préparatifs chaotiques qui réunissent trois à quatre générations, Senri, malgré sa grande gueule habituelle, reste en retrait. Elle les laisse faire, spectatrice et invitée d’une culture locale qui n’a jamais été la sienne. Elle garde sa place d’invitée, comme elle l’a toujours fait à Uminomiya, parce que le temps n’a rien changé.
Les tantines l’alpaguent pourtant avec aisance - ravies à l’idée de voir un nouveau visage ayant passé assez de vibe checks pour être invité. Certaines la reconnaissent, d’autres moins, toutes y vont de leurs commentaires.
L’arrivée de Anla suit les traditions - et si Senri ne prononce pas la louange scandée par sa famille de peur d’écorcher un mot, ses applaudissements accompagnent la clameur qui suit l’éveil du sceau, illuminant la pièce en l’honneur de la jeune fille. Observatrice de leurs habitudes de famille, alors que Senri a plus l’habitude d’embarquer Taizo dans des périples incongrus ou dans des bars pour ses anniversaires que de rassembler toute une famille.
Le repas est forcément quelque peu chaotique, avec autant d’invités - relève plus de l’apéritif dînatoire, alors que chacun se sert des multiples plats disposés sur la table de la grande salle à manger familiale. Senri gratte quelques brochettes de poulet avant que le père de Taizo ne lui file un coup de coude pour lui tendre un verre. It’s family-made, my own brew, qu’il glisse fièrement, et Senri affiche une moue impressionnée.
Taizo attaque avec ses félicitations et son propre cadeau glissant une fiole dans la main de Anla, sous l’oeil curieux de Senri derrière lui.
- Cadeau de Senri:
- un assortiment de baguettes pour cheveux en bois avec un petit bout d'océan comme ornement... juste assez acérées pour devenir une arme pratique en cas d'urgence
Kurri Anla et Kobori Taizo ont feelsé sur ce message
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November 2nd 2022
outfitSi on veut être honnête, Shilo n’a jamais vraiment trouvé sa place dans l’effervescence des préparatifs. Fils trop sollicité, pour une petite sœur gâtée (par lui y compris), il aime cependant se retrouver avec sa famille, et oublier le monde extérieur. Les bras sertis de fleurs donnés par une tante, il avance à tâtons pour disposer les bouquets de part et d’autre d’un paravent. « Didn’t know I was an architect now ! » mais tout est dit sur le ton d’une légèreté qui précède la fête, et bientôt, la famille se réunit pour se taire, alors qu’Anla entre dans le pavillon des Kurri. « waʻoli auk onkamihāno ! » et comme chaque année, c’est lui qui plonge le premier pour frotter son poing dans les cheveux d’Anla et la décoiffer. « I won’t say you’re still a kid because everyone’s going to do it, I’ll wait tomorrow. »
Bientôt rejoint par leur oncle, il manque de s’étouffer en riant alors qu’un apéritif s’est glissé dans sa bouche. « Niche ! I want thich too, double it. » (j’en aurais bien besoin, se retient-il de dire). Son anniversaire approche aussi -fin d’année toujours compliquée à encaisser. Rit simplement à la blague de Senri, pique à Taizo bien méritée. Passe dans ses doigts les baguettes pour cheveux, aux airs acérés. Hoche la tête en guise d’approbation. « Aren’t you a spoiled little one... » alors qu’il étend son bras jusqu’au cou d’Anla, toujours déterminé à être le grand frère gênant. Il sort d’à ses côtés un paquet. « My turn ! » en ouvrant la boîte, on peut découvrir une paire de genouillères. « They’re harder than you’d think. » et mime un coup de genou -fait mine de protéger sa cadette, mais la sait plus forte qu’ils ne le pensent tous. Plus forte que lui. « These ones have a deflagrating spell. It means that if you fall from too high, like… the clouds, it will reverse gravity so you don’t break a leg or something. Oh, also. » un autre paquet, emballé à la va-vite, sommaire, qu’il dépose sur les genoux d’Anla. À l’intérieur, son éternel blouson de cuir, un peu usé. Fidèle compagnon qu’il n’a jamais quitté avec les années, présent de Kita. Et il brise le silence de quelques secondes avec un sourire gêné. « C’mon, I know you tried it when you thought I didn’t know. Turns out, your magic cigs smell way different than mine. » Le présent est plus significatif qu’autre chose, ils le savent tous les deux. C’est pour ça qu’il se lève et va se resservir un verre (du breuvage maison dont, personnellement, il raffole).
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