- FaceclaimCrédits
- Type de symbole : IoniconsSymbole : newspaper-outlinePseudo IRL : melodyPronom(s) IRL : elle, she/herFaceclaim : asahina aya (朝比奈彩)Crédits : melodyMessages : 427Points RP : 0Dama : 19 692Couleur de dialogues : peruCW & TW : -> j'écris beaucoup par rapport à la moyenne, entre 600 et 1500 mots en moyenne (voire plus). ne te mets pas la pression de faire de même, chacun.e gère son inspiration comme iel le souhaite et je n'ai aucun standard de longueur pour mes partenaires ♡
-> j'écris à la troisième personne, principalement en français et/ou en anglais. ma plume est plutôt très factuelle et pour une question de fonctionnement purement personnel, j'ai un peu de mal à répondre et visualiser les styles plus poétiques. mais si tu n'es pas pressé.e, je ferai de mon mieux ! ♡
-> certains éléments de l'histoire et de la narration peuvent aborder les sujets suivants :
manipulation, gaslighting, religions et sectes, eugénisme, dépression, paranoïa.Aesthetic IRP :
☼ SAG ☾ ARIES ↑ AQU
ー⍖ー
ESTP-T | 7W6: THE PATHFINDERNaissance & Âge : 03.12.89 (33)Pronom(s) : elle/she/herStatut Civil : -> chroniquement CÉLIBATAIRE.Occupation : -> JOURNALISTE au MAKŌSA ITACHI SHIMBUN.
-> COACH de l'équipe de dustquash des MAYHEMS DE MEIWA.Particularité(s) : aucune.Affinités Magiques : -> maîtrise du SAISHIN suite à sa formation sur le tas, avec l'aide de son mentor.
-> a quelques bases en DOKUSHIN par assimilation naturelle lors de son apprentissage de l'art opposé.Catalyseur : -> (visuel) COUTEAU-PAPILLON offert par son mentor il y a plus de dix ans, est devenu un artefact indispensable.
-> (visuel) BRACELET RYŪ senri a également pris soin de faire modifier ce bracelet offert par taizo pour le charger en poussière. toujours dans un fond de son sac, elle n'a jamais mentionné la nature catalyste de l'objet.Logement : -> maison de ville individuelle dans une ruelle de KOMEIKYŪ.Signes Distinctifs : -> mesure 1 MÈTRE 71.
-> (visuel) porte un TATOUAGE YAK SANT khmer en haut du dos et à la base de sa nuque, réalisé par une mage cambodgienne lors d'un voyage à angkor vat.Relations : ->TAIZO
ー bff, soulmate, partner in clowneries
->REI
pnj ー ex-turned-friend
->ANLA
ー petite soeur par loyauté
Points RP
Igarashi Senri
Et puis, une lumière bleutée illumine le salon. Aveugle presque Senri quand elle se retourne, pour remarquer l’écran de son ordinateur, réveillé par une notification tardive. Who the fuck. Si Senri use et abuse de son téléphone ou de son dictagraphe au quotidien, son ordinateur portable reste un outil de travail sur lequel elle s’attarde peu, pas assez patiente pour le voir autrement. Et ses échanges électroniques sont limités à deux thèmes : le boulot, le dustquash… et ça.
Senri se hisse à quatre pattes sur le tatami vieillissant pour s’approcher de la table sur laquelle est posé l’ordinateur, pour jeter un oeil au message - sourcils froncés, garigari-kun presque terminé calé dans sa bouche pour libérer ses mains. L’envoyeur du message lui arrache un haussement de sourcils - et le contenu, encore plus. Les restes de sa glace sont vite gobés, alors qu’elle pose le bâtonnet sur la table et se hâte d’ouvrir l’email crypté, les joues gonflées par le sucre saveur limonade.
中央光栄東3-11-2 昇天ホール31F
7月1日 18時から
白石カエル 様
ご同伴者1名様をお連れいただけます。
Le coeur qui bat de savoir exactement de quoi il s’agit ; de ce contact anonyme trouvé au fil de mois d’investigations dans les méandres du web magique, en quête d’informations. De témoignages. De personnes tout autant désireuses qu’elle de détruire l’empire de Yamato jusqu’à qu’il n’en reste plus rien. Elle a fait profil bas pendant cinq ans, Senri - a gardé ses enquêtes pour elle, soucieuse de ne rien ébruiter, de ne pas s’emballer sur des bribes de pistes, à crypter tous ses échanges, tous ses points de contact.
Et enfin - le sésame. Passe-droit vers un évènement privé de l’organisme venu de nulle part, miraculeux. La brèche qu’il lui fallait pour pousser ses investigations au niveau supérieur, et peut-être enfin mettre la main sur des preuves tangibles et valides en justice. Senri pianote une réponse à son indic, un simple remerciement formel, aussi impersonnel que leurs communications - et se retrouve face à une réponse automatique lui indiquant que l’adresse n’existe déjà plus, confirmant ce sentiment d’avoir enfin mis un pied dans l’engrenage.
* * *
Jour J.
Senri a peaufiné son identité fictive, pour l’occasion. Claque de ces talons déjà trop fins pour elle sur le bitume, plantée devant le conbini devenu point de rendez-vous avec son acolyte de la soirée. Les messages ont été brefs et efficaces.
to たい
to たい
to たい
- et c’était à peu près tout.
Elle n’allait clairement pas se lancer là-dedans toute seule. Si c’est son propre combat, c’est trop risqué de s’y pointer seule, pour une simple et bonne raison de couverture. Elle se glisse dans la peau de ce faux nom jeté au hasard lors de ses communications avec son contact - et ça passe par un jeu d’actrice, des vêtements, mais aussi un entourage. Senri qui a toujours fait cavalier seul, jusque dans ses déboires publiques avec la secte, et venir accompagnée contribue à casser ce à quoi on pourrait s’attendre venant d’elle.
Bras croisés sur le petit sac en cuir, Senri tire sur la jupe de sa robe bien trop courte, avec bien trop de volants et de fleurs à son goût. Se prépare mentalement à devoir casser son naturel pour devenir le personnage secondaire de son cheval de troie - et le voilà justement, qui déboule clope au bec comme s’il s’apprêtait à passer la meilleure soirée de sa vie, contrastant avec l’expression concentrée et fermée de Senri.
Tire sur le col de sa chemise immédiatement, jetant un oeil autour d’elle pour s’assurer que personne ne puisse les entendres, avant de ronchonner.
Elle ne s’est pas trop étalée en détails sur ce qu’elle essaie d’accomplir dans cette histoire, et c’est peut-être le moment pour exposer le plan à Taizo.
- FaceclaimCrédits
- Pseudo IRL : oriPronom(s) IRL : she/herFaceclaim : daiki tsunetaCrédits : skato ♥ viboMessages : 174Points RP : 0Dama : 30 126Couleur de dialogues : #5a9661CW & TW :CONNERIES, DÉFONCE, DROGUES, LANGAGE CRU, BATLÉCOUILLISMEMulticomptes : -> HELLBOY ー 26, firemanAesthetic IRL :Naissance & Âge : 050589 — 34 yo.Pronom(s) : ∙ il/heOccupation :「 MORI'KOBORI 」
herboristerie familiale, située dans le village ryu. vente de produits issus de cultures végétales ; thés, épices, onguents, essence, huiles, crèmes, plantes, fleurs... aux professionnels ou particuliers.
「 DEALER 」
bicraveur du tieks et de l'ARUMIOPOKIMI. fabrication et vente de drogues. au détour de guré, dans un coin d'une soirée, sur les abords de eiyamachi. ouais vas-y passe pécho !Particularité(s) :「 SŌGAKA 」
☽
instinct
« j'le sens comme une odeur de pet ; et je pourrais presque dire si c'est parce que t'a mangé indien à midi, ou si t'es stressé. on peut pas m'la faire à l'envers. »
visions et rêves
« les visions me collent la migraine, et y'a des prémonitions dont je me passerais bien. sauf qu'y'a pas de filtres. alors je fume. ça m'aide à adoucir le délire. j'en ai eu ras l'bol des rêves sans queue ni tête. parfois y'a un mot, ou une heure... si j'dois voir un symbole dès que je rêve de senri à poil, j'suis dans la merde. »
nécromancie
« j’suis peut-être passé à côté d’un macchabée qui faisait signe, mais j’ai jamais rien capté. difficile de démêler l’hallucination du don, quand t’es sous K. »Relations :- Spoiler:
- -> SENRI ー best friend
-> SHILO ー neveux emo
-> ANLA ー fav niece
-> NAOMI ー lien
-> PANDORE ー lien
-> JASPER ー lien
-> ANDREA ー lien
-> NAME ー lien
-> NAME ー lien
-> NAME ー lien
Points RP
Kobori Taizo
Mais en réalité, le mystère n’est pas très épais. Même s’ils en parlent peu, Taizo n’ignore pas les préoccupations de Senri au sujet de sa mère, de son géniteur et de la secte. A la fois point culminant de ses diverses enquêtes et sujet tabou à aborder avec précaution. Ca fait des années qu’il la connaît, et Taizo sait pertinemment qu’elle n’aura de repos qu’une fois ses réponses obtenues et les tarés foutus au placard – arrêter les lavages de cerveau et épargner d’autres victimes.. (C’est p’t’être pas totalement vrai pour le repos, cela dit.)
Undercover. Taizo marche en direction du conbini habituel et il se sent déjà en mission d’infiltration, avec une dégaine pareille. Costume emprunté à son daron pour l’occasion, la chemise débraillé du pantalon, mais il sait pas la porter autrement. Ses godasses s’adaptent à sa démarche flexible et trop détendue pour un type qui se prétend agent secret pour la soirée. Arrivé aux abords du shop, il aperçoit Senri, dans une robe qu’il identifie de loin comme un motif léopard - ou chenipan, il hésite.
Dans un claquement de talon théâtral, Senri lui explique finalement le plan – ou du moins, l’amorce de cette mission. Elle lui indique une tour monstrueuse qui lui flanque soudain le vertige. Pas grand admirateur des buildings et de la ville, la jungle urbaine file à Taizo des airs de tombeaux urbains. Et alors ceux qui zonent dedans, c’est encore pire.
Mettant les conneries de côté, Taizo enregistre les informations en même temps qu’ils se rapprochent de plus en plus de la tour. Ca fait peu de temps pour assimiler l’ambiance, un rôle et un objectif à ne pas perdre de vue tout en servant une soupe de mytho aux autres invités sans se faire cramer. Mais les mensonges et la comédie, ça le connaît.
L’instinct en éveil, Taizo laisse Senri guider leurs pas à l’entrée du bâtiment et passer l’étape du listing des convives. Elle est étonnante dans son rôle et s’y plie si bien qu’il n’a d’autre choix que de la suivre comme s’il l’avait toujours connue ainsi. L’atmosphère le surprend dans ce que les gens dégagent autour d’eux - connectés à une réalité alternative, flottants dans des paroles abstraites accompagnés de sourires trop lisses pour être sincères. Sonder ces mages ne lui renvoie que des sensations vagues et brumeuses, tout au plus une identité par couleur ou un surnom lié à la secte pour certains.
Igarashi Senri aime ce message
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- Type de symbole : IoniconsSymbole : newspaper-outlinePseudo IRL : melodyPronom(s) IRL : elle, she/herFaceclaim : asahina aya (朝比奈彩)Crédits : melodyMessages : 427Points RP : 0Dama : 19 692Couleur de dialogues : peruCW & TW : -> j'écris beaucoup par rapport à la moyenne, entre 600 et 1500 mots en moyenne (voire plus). ne te mets pas la pression de faire de même, chacun.e gère son inspiration comme iel le souhaite et je n'ai aucun standard de longueur pour mes partenaires ♡
-> j'écris à la troisième personne, principalement en français et/ou en anglais. ma plume est plutôt très factuelle et pour une question de fonctionnement purement personnel, j'ai un peu de mal à répondre et visualiser les styles plus poétiques. mais si tu n'es pas pressé.e, je ferai de mon mieux ! ♡
-> certains éléments de l'histoire et de la narration peuvent aborder les sujets suivants :
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-> COACH de l'équipe de dustquash des MAYHEMS DE MEIWA.Particularité(s) : aucune.Affinités Magiques : -> maîtrise du SAISHIN suite à sa formation sur le tas, avec l'aide de son mentor.
-> a quelques bases en DOKUSHIN par assimilation naturelle lors de son apprentissage de l'art opposé.Catalyseur : -> (visuel) COUTEAU-PAPILLON offert par son mentor il y a plus de dix ans, est devenu un artefact indispensable.
-> (visuel) BRACELET RYŪ senri a également pris soin de faire modifier ce bracelet offert par taizo pour le charger en poussière. toujours dans un fond de son sac, elle n'a jamais mentionné la nature catalyste de l'objet.Logement : -> maison de ville individuelle dans une ruelle de KOMEIKYŪ.Signes Distinctifs : -> mesure 1 MÈTRE 71.
-> (visuel) porte un TATOUAGE YAK SANT khmer en haut du dos et à la base de sa nuque, réalisé par une mage cambodgienne lors d'un voyage à angkor vat.Relations : ->TAIZO
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Points RP
Igarashi Senri
Trève de chamailleries - le plan n’est pas très rodé, trop d’inconnues à l’équation de cette mystérieuse soirée. Senri n’avait pas pu obtenir plus, alors qu’être inscrite sur la liste des invités était déjà une avancée exceptionnelle. Taizo ricane face à ce faux nom - idiot, certes, mais juste assez pour passer pour un nom de scène d’artiste prétentieux ou un prénom excessivement original d’enfant de célébrité.
Autre question à élucider - celle de leurs fausses identités, que Senri a commencé à cogiter à partir du moment où elle avait décidé d’embarquer Taizo dans ce plan foireux. Sōgaka légitime en plus de la connaître sur le bout des doigts et d’être son ride or die - elle se devait de compléter le tableau pour que leur infiltration soit impeccable. Détails sur leur fausse relation incluse, qui interpelle évidemment Taizo - toujours là pour tirer avantage des bons plans.
À mesure qu’ils avancent, les passants se font plus réguliers - et Senri comme Taizo baissent le ton, à marcher en silence dès qu’ils passent à hauteur de quiconque pourrait les entendre.
Et malgré les plaisanteries sur ce mariage factice, ils ont bien évidemment oublié l’essentiel de leurs rôles respectifs. Taizo fait marcher son cerveau, confirmant à Senri ce qu’elle savait déjà - il ricane beaucoup, mais dans ce genre de plans, c’est le partenaire idéal.
L’ascension jusqu’au hall est silencieuse. Accrochée à Taizo, plantés dans l’ascenseur de la tour avec d’autres invités - la prise sur son bras semble aider Senri à se calmer, même si ça ne suffit pas à calmer sa jambe gauche qui tressaute malgré elle. Portes qui s’ouvrent sur la réception, inspiration - et Senri se présente en premier lorsque leur tour arrive face à l’employé en costume avec la liste des invités.
La porte qui mène au hall est grandiose - faite de marbre et de dorures, donne le ton sur la vision qui s’offre à eux en entrant sur les lieux tant convoités. La pièce est immense, tout autant que la hauteur de plafond - d’un bleu nuit, ponctué de petits puits de lumière stratégiquement placés pour éclairer les décorations des lieux. C’est peut-être le plus frappant, outre le luxe des lieux et des matériaux qui le composent - ces quatre piliers de marbre lisse, placés dans la pièce et ornés de portraits gigantesques de l’héritier Yamato, illuminés par la lumière perçant du plafond. Quatre effigies de leur gourou actuel - et un cinquième, au fond de la pièce, dont l’image est encore indiscernable.
Senri observe en silence - se rend compte que leurs tenues semblent bien ridicules, comparées à la majorité des invités, bien que certains rares disciples soient vêtus plus modestement. Note la disposition de la salle. Les deux couloirs, de chaque côté opposé du hall - l’un vers les toilettes, l’autre vers les cuisines et un ascenseur réservé au personnel, uniquement accessible avec une sorte de badge. Les employés de salle, en costumes noirs, remplissant les flûtes de champagne des convives dès que leur niveau leur semble dangereusement bas.
Imprime les informations sans rien dire - avant que Taizo ne rompe le silence.
Avançant lentement, Senri étend son bras pour saisir une flûte de champagne présentée par une serveuse, la remerciant avec un large sourire excessif, alors que Taizo se sert de son côté également. Elle lâche son bras une seconde, pour lui faire face, les yeux glissant çà et là pour analyser les détails.
Kobori Taizo a feelsé sur ce message
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herboristerie familiale, située dans le village ryu. vente de produits issus de cultures végétales ; thés, épices, onguents, essence, huiles, crèmes, plantes, fleurs... aux professionnels ou particuliers.
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« j'le sens comme une odeur de pet ; et je pourrais presque dire si c'est parce que t'a mangé indien à midi, ou si t'es stressé. on peut pas m'la faire à l'envers. »
visions et rêves
« les visions me collent la migraine, et y'a des prémonitions dont je me passerais bien. sauf qu'y'a pas de filtres. alors je fume. ça m'aide à adoucir le délire. j'en ai eu ras l'bol des rêves sans queue ni tête. parfois y'a un mot, ou une heure... si j'dois voir un symbole dès que je rêve de senri à poil, j'suis dans la merde. »
nécromancie
« j’suis peut-être passé à côté d’un macchabée qui faisait signe, mais j’ai jamais rien capté. difficile de démêler l’hallucination du don, quand t’es sous K. »Relations :- Spoiler:
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Points RP
Kobori Taizo
Le théâtre, lui, a beaucoup changé et les mises ont doublé. Les acteurs jouent parfois leur vie, quand ils ne se sauvent pas à tour de rôle de leurs péripéties. Une constante qui n’a pas bougé cependant, c’est ce duo inséparable. Tous les deux en heures de colle, tous les deux en soirée folles – tous les deux qui s’engrouffrent dans l’antre d’une secte puissante avide de nouveaux cerveaux à contaminer. En tête d’affiche, on les appellera Genzo et Kaeru, identité feintée. Les acolytes sont préparés à tout – surtout à improviser. Et c’est ainsi que le film est lancé, quand Taizo assimile attentivement les dernières infos de leurs portraits.
(
Aucun d’eux n’est coutumier de ce genre d’évènements où l’on scrute les apparences autant que les faux-semblants. Peut-être Senri en a davantage l’expérience, de ses voyages et de ses enquêtes qui l’ont fait côtoyer tant de monde et un panel de situations étranges. Le silence est l’arme de choix pour affronter l’ignorance. Sans un mot, ils suivent le chemin qu’on leur indique, se fondent à l’amas d’invités qui se déplacent, imitent les directions et font l’effort de se tenir droits – mais surtout, ils ne s’éloignent pas l’un de l’autre. Physiquement. Senri reste agrippée au bras de Taizo pendant tout le trajet, tant et si bien qu’il sent sa prise réchauffer à travers sa veste. A défaut de savoir ce qu’il fait, Taizo se laisse balader avec plaisir, feintant la confiance de celui qui s’impatiente de trouver un lieu familier. Fake it until you make it est une devise qui a toujours eu son effet. Les premiers échanges avec le microcosme sectaire se délient d’un naturel insoupçonné. Allant des sourires complices aux mimiques frauduleuses, tout est paramétré pour s’emboîter. Taizo est le seul à pouvoir remarquer les légers tics nerveux de Senri, de ses coups d’oeil réguliers à son agitation que n’importe qui d’autre prendrait pour de l’enthousiasme.
Dès qu’ils sont à l’intérieur, l’immensité de l’espace laisse Taizo perdu dans sa contemplation. Ses yeux vagabondent du sol au plafond, l’obligeant à se tordre le cou pour en admirer la hauteur, presque ébloui par ces puits de lumière qui fendent la voûte. Le décor lui évoque un temple d’un autre temps, d’un ailleurs qu’il n’a jamais visité. Le sentiment de vide face aux échos qui se répercute en murmures. Les visages sont aussi abstraits que l’atmosphère, et il ne s’attarde pas encore à les décrypter, préférant s’imprégner d’abord de l’essence des lieux. Les grands portraits sont ce qui retiennent le plus son attention, interpellés par la puissance qu’ils dégagent. Quelque chose qui soulève les ombres et dissimule de plus pesants outrages. Il sent que ce sont ses sens qui les étudie, et non plus ses yeux. Quelqu’un passe devant son champ de vision et interrompt ses observations, reprenant conscience des présences qui l’entourent.
Après une profonde inspiration, les deux époux d’un soir se frayent un chemin dans la réception, jusqu’à croiser la route d’une serveuse qui se déleste à chacun d’une flûte pétillante. Taizo considère la liqueur, et plutôt que de craindre perdre sa lucidité, il en avale quelques généreuses gorgées pour se détendre.
Follow my lead. C’est aussi la partie où Taizo excelle particulièrement. Dans un pas d’amorce presque dansant, il s’empare de l’espace, tout cet espace qu’il a trouvé si imposant en arrivant, pour en faire sa scène et s’y sentir comme un prince. Tombant dans son rôle un peu plus à chaque seconde, il s’inspire de tout ce qui l’entoure pour mieux se fondre dans le décor et n’être qu’un simulacre d’illuminé. Traînant Senri dans son sillage pour les premiers pas ; il s’émerveille d’abord devant le buffet, puis complimente les bijoux d’une convive en y reconnaissant une pierre d’esprit, embobine un type qui se lance dans une agence de retraite magique sur la meilleure stratégie financière à adopter – puis invite une autre à venir aux prochains cours de yoga de son épouse pour mettre un terme à ses mal de vertèbre grâce à la position du héron qui permet au flux de poussière de circuler entre les disques usés.
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-> j'écris à la troisième personne, principalement en français et/ou en anglais. ma plume est plutôt très factuelle et pour une question de fonctionnement purement personnel, j'ai un peu de mal à répondre et visualiser les styles plus poétiques. mais si tu n'es pas pressé.e, je ferai de mon mieux ! ♡
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Igarashi Senri
L’ascenseur comme objectif, glissé à l’oreille de Taizo en se penchant légèrement sur ses talons - se fendant d’un faux sourire, maintenant l’illusion d’un couple commentant la décoration des lieux avec légèreté.
Et comme ancre éternelle à ses plans foireux, à son impatience et à son sang bouillonnant, Taizo lui remet les pendules à l’heure.
Senri suit le mouvement, accepte une coupe d’une boisson indescriptible, visiblement peu alcoolisée - alors que Taizo papillonne, comme s’il avait toujours été invité pour profiter du buffet. L’idée qu’on reconnaisse son visage la hante, au fond - même si il y a fort à penser que tout le monde présent n’a soit jamais entendu parler d’elle plus que par de vulgaires rumeurs, soit ait oublié son existence, presque six ans après l’esclandre. Par réflexe, Senri se surprend à éviter de soutenir le regard de quiconque trop longtemps, cependant - et pourtant, inexorablement attirée par ces piliers aux portraits géants d’une même personne, qui semblent les observer.
Les représentations semblent sages, bienveillantes, presque dignes de confiance - regards doux et protecteurs d’un seul homme quasi-déifié. Détaille le visage légèrement animé de ces hologrammes de Poussière étincelants, de ce demi-frère qu’elle n’a pour l’instant jamais l’intention de croiser ailleurs que dans un tribunal. Il reste un dernier pilier, plus loin dans la pièce, dont l’ornement lui est encore inaccessible.
C’est Taizo qui la tire de son observation, venant saisir son bras de sa main libre - signe pour Senri qu’il est temps de se concentrer et revenir sur Terre. La femme semble subjuguée par les descriptions de yoga de Taizo, qui lui vend les cours fictifs de son épouse factice avec une détermination plus qu’honorable - presque à croire qu’il serait lui même adepte de yoga pour de vrai. Mais baratiner sous pression, c’est moins sa came, à Senri. Elle interroge, elle met le doigt sur les faits et les vérités qui font mal - les jeux de rôles, c’est la spécialité de Taizo. Comme une injonction à rejoindre la conversation pour ne pas griller sa couverture - et elle sort la première phrase qui lui passe par la tête, se fendant d’un de ces larges sourires benêts de riche ingénue qu’elle a répétés pour l’occasion.
Mais la conversation attire l’attention d’une silhouette qui accentue la nervosité dissimulée de Senri. La robe blanche s’approche pour se joindre à eux, se révélant être le mari de leur nouvelle adepte yogi.
Et peut-être que dans ces circonstances, le patriarcat semble jouer en sa faveur. Horikawa Goro ne prête que très peu attention à Senri, pour reposer ses yeux immédiatement sur Taizo, qui semble l’intéresser plus que sa grande perche d’épouse. Dans une autre situation, elle aurait soufflé, pesté, protesté - pas ce soir. Passer pour une “femme de” sans intérêt est exactement la couverture que Senri espérait pour passer inaperçue. Interesting.
Cette information achève de la détendre légèrement, alors que Taizo se prépare pour un Oscar.
C’est sans doute le moment de l’aider - essayer de rejoindre l’initiative des énormités pour partager le poids d’aller à l’encontre de sa culture. Senri affiche de nouveau son sourire béat, avant de se tourner vers Taizo, toujours à son bras, pour replacer une boucle derrière son oreille d’un air faussement attendri.
Senri n’entend pas tout de suite la réponse, alors que du coin de l’oeil, c’est le mouvement d’une serveuse en uniforme se dirigeant vers les toilettes qui attire son attention. Et la machine se met en route, concoctant des improvisation comme uniquement Senri et Taizo en ont le secret. Bien meilleure idée que l’alcool léger pour pouvoir feindre non seulement la faiblesse, mais aussi la compassion, et potentiellement filer à l’anglaise sans que personne ne pose de questions. L’idée est merveilleusement ridicule - mais sur un malentendu, ça peut fonctionner.
Se retournant vers ses interlocuteurs pour leur accorder toute son attention, son expression déterminée se transforme en un large sourire confiant, alors que Senri pose sa main libre sur son ventre.
Évite d’attiser sa colère en se concentrant sur la femme, qui continue son discours sur l’éducation.
Et il l’observe, de toute sa stature. Le Père, le Leader, leur Dieu Originel. Son géniteur, jamais rencontré, source de tant de maux et de sa propre existence - Senri se retrouve à le scruter en silence, alors que son faux sourire s’efface un instant, que le bruit du gala s’étouffe pour n’entendre que les battements de son cœur. Lui. Qu’elle s’est évertuée à haïr depuis trente ans, ayant dédié son objectif de vie à la destruction de tout ce qu’il a pu bâtir au profit des naïfs et des faibles. Fait de particules de Poussière, bras ouverts comme pour enlacer son prochain - comme pour l’inciter à s’approcher de Lui. La pièce se floute tout autour, pour ne laisser que l’image de Yamato Kiyoshi face à Senri. Comme étourdie par ce visage qui lui ressemble bien plus qu’elle ne le voudrait - dans le visage fin, les oreilles larges, la carrure haute et fine.
Senri est coupée dans sa bulle, par l’air inquiet de Horikawa, et peut-être de Taizo aussi, toujours à son bras. Shit, yeah, that’s supposed to be me. Senri cligne des yeux, avant de reprendre un faux sourire, et porter une main à son front.
Kobori Taizo a feelsé sur ce message
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