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10 may 2023rues d’eiyamachi

Ce n’était pas la première fois que Shigure faisait cette erreur. Coeur trop bon, âme trop impulsive, il portait parfois secours à des inconnus, inconnus qui n’en étaient plus car les ennemis et adorateurs ne laissaient rien passer. Qui était cette personne qui avait eu droit à l’attention de Kudou ? Qu’avait-elle de plus par rapport à eux ? En réalité, rien de particulier, mais tous cherchaient tant l’attention de Kudou qu’ils traquaient n’importe qui qui lui aurait adressé la parole, n’importe qui sur lequel les yeux de Kudou s’étaient posés ; d’autant plus quand celui-ci n’était pas connu des quartiers, un pauvre passant qui avait eu le malheur d’avoir eu affaire à Kudou Shigure. Ils auraient dû apprendre de leurs leçons pourtant, car ce n’était pas la première fois que Shigure cherchait quelqu’un pour simplement lui rendre un objet qu’il avait perdu ou un service, mais à chaque fois, il y avait le bénéfice du doute. Et si cette fois, la personne cherchée avait réellement un rapport avec Kudou Shigure ? Et si c’était enfin le maillon faible de Kudou, si on pouvait enfin l’atteindre, ce type qui se prenait pour Dieu ? Personnalité transformée en objet, homme devenu mythe, Kudou Shigure n’était plus qu’une idée pour tous, l’objet de ses désirs ou de sa haine ; peu importe. Shigure n’existait plus, il n’était que Kudou, qu’on tentait d’atteindre alors à tout prix alors que la solution se trouvait juste sous leurs yeux : Shigure n’avait jamais tenté de se cacher, ils ne voyaient simplement que ceux qu’ils voulaient le voir. Son talent. Son agressivité. Sa beauté. Sa bonté. Son indifférence. Sa colère.
Mais Komi Shota était différent.
Il ne voyait ni son talent, ni son agressivité, ni sa beauté, ni sa bonté, ni son indifférence, ni sa colère.
Il voyait Shigure.

C’était peut-être pour ça que le garçon trottait dans sa tête. Quand Shigure attirait l’attention des gens sur quelqu’un sans faire exprès, bien sûr que la personne lui restait en tête car il essayait de préserver la personne de lui et ses mauvaises fréquentations, mais pas comme ça. Shota lui restait dans la tête non seulement à cause de ça, mais aussi à cause de leurs échanges. Pourquoi Komi Shota était-il si honnêtement curieux à propos de lui ? Voulait même devenir son ami ? Oh, c’était ridicule. Pourtant, la brindille l’amusait bien. Il avait l’impression de ne plus qu’être un mythe ou un monstre ; il avait l’impression d’être Shigure.
« Komi Shota a été retrouvé ! Des gars sont en train de l’interroger là- » « Qui ? » « Oh, c’est pas tes affai- K-Kudou ?! » « Qui. »
Le pauvre gars qui avait eu le malheur de donner cette information se retrouva éjecté contre un mur, retombant dans une flaque d’eau de pluie, son camarade volant à sa rescousse, tandis que Shigure se photoportait pour atterrir à l’endroit où était supposé être Komi Shota.
Je t’avais prévenu, imbécile.
À peine était-il arrivé que ses gants brûlaient déjà et que les étincelles se propageaient autour de lui, immunes à la pluie. Au moins, la pluie qui tombait signifiait qu’il n’y avait pas de piège gazeux, mais Shigure se retint quand même de balancer ses flammes sur les assaillants (il se souvenait de cette catastrophe, 2015, ne referait pas l’erreur). Regard de braise, Shigure s’approchait à pas lourds de la scène de crime, un garçon affalé contre un mur abrité de la pluie par le toit qui dépassait, entouré de quatre pauvres silhouettes indistinctes à cause de la pluie qui s’abattait sur les rues d’Eiyamachi. Shigure ne les connaissait pas mais à partir d’aujourd’hui, il retiendrait chacun de leurs visages.
« Putain, c’est Kudou ! » « Alors il s’est vraiment montré ? Tu le connaissais vraiment en fait, le Kudou ! » Et Shota ne répondait pas, et Shigure se rappelait qu’il lui avait dit, qu’il ne parlait pas en vrai. Pourtant, la dernière fois il avait bien parlé, avec son piano.
Grand, baraqué, Kudou Shigure n’avait que besoin de se montrer pour jeter un froid dans le dos de tous ceux qui le croisaient : surtout de ceux qui s’attisaient sa colère. Mains dans les poches, Shigure se posta devant l’un d’entre eux au hasard, et puis, coup de pied bien placé, feu invoqué, l’autre fut propulsé jusqu’à l’autre bout de la rue et brisa quelques briques avec lui. Peut-être étaient-ce des imbéciles qui n’avaient jamais eu affaire au vrai Kudou puisqu’ils prirent immédiatement peur et voulurent déguerpir, mais Kudou en attrapa un au hasard par le col, et ancra son regard dans le sien. « Je vous laisse partir car je suis d’humeur indulgente, mais la prochaine fois, je ne vous laisserai même pas l’occasion de fuir. » Et il le lâcha, le laissa disparaître de son champ de vision alors qu’il s’allumait une cigarette, tirant une bouffée, yeux perdus sur la pluie qui brouillait les pistes. Il aurait bien aimé qu’il pleuve aussi, ce jour-là. Puis il fit baisser son regard jusqu’à la silhouette affalée au mur, toujours là. Pas surpris de ne pas l’avoir vu prendre ses jambes à son cou ; c’était Komi Shota, après tout. Celui qui était têtu pour rien. « Tu ne t’enfuis pas ? » Il lâcha un rire sarcastique avant de s’accroupir, et de constater par lui-même les dégâts. Ils n’y étaient pas allés de main morte. Shigure se dit qu’il aurait dû tout faire brûler, les brûler vivants. « Je t’avais dit de faire attention. » Agacé, il retira une bouffée, mais ça ne le calma pas plus que ça. « La magie de l’eau, c’est pas mon fort, mais j’peux essayer… » Il s’approcha de Shota et plaça sa main sur la joue enflée du garçon, puis se concentra. Si proches, il ne se rendait pas compte qu’il se laissait lui-même être vulnérable, gouttes d’eau de ses mèches mouillées tombant sur son front, pauvre capuche portée sur la tête qui l’avait protégé de la pluie. Son visage était lui aussi écorché de cicatrices, datant d’il y a quelques jours à aujourd’hui, Shigure ne passant pas un seul jour à ne pas se battre, que ce soit pour des bagarres clandestines ou ses nouvelles missions de shinigami. Et, comme d’habitude, il ne prenait pas la peine de se soigner (sa mère le faisait avant, mais elle n’était plus là pour lui. C’était lui qui devait être là pour elle maintenant, et il avait du mal).
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10 may 2023rues d’eiyamachi

il y a ces ombres qui l'avaient suivies, et ces pas qui ont retentis dans les petites ruelles d'eiyamachi. il y a le soleil qui avait faibli face au crépuscule pluvieux, la nuit  laissant de plus en plus de place à ces ombres qui l'ont englouties petit à petit jusqu'à l'attraper dans leurs filets de barbelés. de toutes façon shota ne pouvait pas crier.
il n'avait pas vu grand chose, il avait seulement entendu des voix tandis que la sienne était volée. pour être honnête il n'avait pas eu peur shota, car il avait l'habitude après tout de ne pas plaire, de déranger.
il n'avait pas eu peur shota, car sa peau avait appris par coeur au fil des années les notes qui se frappaient contre ses joues et ses bras, ses genoux et sa poitrine comme un refrain entêtant dont il n'avait jamais pu se défaire ni oublier l'air, le rythme ((la douleur)) .
il n'avait pas peur shota car il avait promis de venir le secourir, et il savait qu'il viendrait. car il avait confiance. il n'y avait  pas de raison particulière il le comprenait, il était curieux, et l'attirait tout simplement. avait-on réellement besoin de 100 raisons ?
car moi il n'y en a qu'une, je te vois.

la pluie caressa la chevelure prise en otage, secouée par les mains sales de ses adversaires, elle ne faisait pas mal elle était même douce face aux coups qui partaient. on lui demandait des informations, on lui demandait pourquoi on l'avait cherché lui, pourquoi son nom avait été prononcé tant de fois dans une bouche capable de commander, diriger les plus faibles et attirer ceux qui ont soif de puissance et de reconnaissance. pourquoi ceux qui voulaient tant se faire remarquer par le grand et puissant kudou n'avait pas réussi face à lui?
lui si grand et si maigre,
lui aux traits fins et aux cheveux cachant ses yeux marrons.
lui qui n'avait aucune allure ni même de voix.

shota ne répondait pas, il n'entendait pas vraiment ce qu'on lui disait d'ailleurs, il attendait. il attendait que les coups s'arrêtent que la musique se termine car celle-ci n'était jamais réellement terminée, elle finissait toujours par se plier face au silence.
il attendait la chaleur et la flAmme qui pouvait vaincre la pluie. ((rien n'avait de sens quand il s'agissait de lui de toutes façons))
malheureusement quand shota ne répondait pas c'était la violence qui surenchérissait encore et encore car l'ignorance était pire que tout c'était une terrible punitions et sa plus grande arme.
il finit alors par fermer les yeux, il s'imagina  la mer au loin, celle qu'il a tant aimé plus petit avant que ses pouvoirs se déclenchent. il sentit l'odeur de l'écume et les fines gouttes des vagues sur son nez. plus rien n'existait vraiment dans ces lieux sombres et froid pour un moment.
mais des cris d'un coeur enragé vinrent brûler son océan, et l'écume, et les gouttes. il entendit cette rage qui teignait ses yeux d'un carmin si précieux.
shota ouvrit doucement et péniblement les yeux, et il le vu. Shigure.

et il ne se releva pas, il ne marcha ni ne courra. il attendit encore un peu. que la tempête se calme et que les flammes s'éteignent. il n'avait pas peur, il ne tremblait pas car quand tout ce qu'il entendait dans ce flot de pensées brûlées était son prénom. il sourit alors de ses lippes légèrement enflées là-bas contre ce mur glacé.
jamais je n'arriverais à ne pas essayer de t'approcher voici ce à quoi il pensait à cet instant alors qu'il s'était confronté au rejet encore et encore. il avait même finit par abandonné.
mais c'était finit.
car il le voyait.  et il ne voyait ni son talent, ni son agressivité, ni sa beauté, ni sa bonté, ni son indifférence, ni sa colère. seulement lui.
et à cet instant, il était vraiment magnifique.

fermant les yeux un instant d'une grimace quand il s'accroupit face à lui, shota pris péniblement son téléphone légèrement fissuré par les coups de sa poche.   « Tu ne t’enfuis pas ? » le rire de shigure illumina les ruelles sombres d'une jolie mélodie qu'il n'avait pas pu entendre auparavant. shota balança sa tête mécaniquement de gauche à droite.
le silence s'échappa de ses lèvres comme des bulles invisibles éclatant au contacte de la surface.  

[LE SILENCE] pourquoi me serais-je enfui alors que je savais que tu viendrais?

shota lui sourit, il plongea tout droit dans ses yeux quand son visage se rapprocha du sien et que le contact de sa peau brûlante fit étrangement frissonner son échine courbée. il laissa même échapper un petit bruit de surprise. il n'avait pas réellement l'habitude d'une autre main que celle de ses parents sur son épiderme. sans vraiment y réfléchir lui aussi posa sa paume contre sa joue tuméfiée de sa main libre. le dévisageant du regard c'était sa seule façon de lui dire sans mot, que lui aussi comptait. et qu'il le voyait.

[LE SILENCE ENCORE ] pourquoi ne te soignes-tu pas shigure-kun? est-ce ta punition?

sans vraiment le contrôler ce n'est pas la magie qui vint soigner sa peau au contact de sa paume mais les souvenirs de shota qui se mêlèrent soudainement aux siens et qui prirent possession de son esprit sans même qu'il ne le contrôle. offrant à shigure une visite de son âme. il y eut d'abord des rires d'enfant, la mer et du piano. tout était si bleu comme un ciel sans nuage.  puis il y eut sa voix qui bloqua à sa gorge qui la trancha et la fit souffrir. et des des regards et même bientôt les premiers coups. tout était devenu si gris. comme une pellicule abimée, les souvenirs s'enchainaient sans qu'il ne puisse les arrêter et ils n'étaient pas comme ces scènes joyeuses.  ils n'étaient pas bleus mais noirs et découpés grossièrement comme si shota voulait que personne ne les voit à part lui. il était si faible et misérable
retirant sa main dans un fracas, shota fut cesser son sourire  alors que des milliers de barrières s'effondraient  en quelques secondes face à sa terrible impuissance. pourquoi voyais-tu sans-cesse les pires parties de moi??
laissant tomber son bras libre contre son coeur, il ne décrocha pas du regard brûlant de shigure, le fixant d'un air grave. rapprochant son téléphone de son torse, il détourna les yeux le temps de quelques secondes pour  réouvrir devant lui  cette conversation qu'il n'avait jamais pu effacer. ses doigts pianotant sur cet écran comme sa propre voix.

Envoyé : Tu es en retard...

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10 may 2023rues d’eiyamachi

Shota souriait et Shigure ne comprenait pas. Il était éméché de partout, rougeurs provoquées à cause des coups, sang qui avait coulé des narines et des lèvres, bleus qui commençaient à apparaître, il n’avait vraiment pas bonne mine… alors pourquoi souriait-il ? Shigure fronça des sourcils, prit une taffe de sa cigarette, puis s’approcha de Shota qui ne lui avait pas répondu (bien sûr ; peu bavarde, la brindille). Les gants encore chauds à cause des flammes qu’il avait provoquées quelques minutes avant, il n’y pensa et toucha la peau de Shota, qui sursauta. Ah merde, ses gants devaient encore être trop chauds et puis, qu’est-ce qui lui disait qu’il avait le droit de le toucher, comme ça ? À peine Shigure écarta sa main légèrement qu’il sentit celle de Shota venir sur sa joue, et il lui jeta un regard interloqué. « Qu’est-ce que tu fous ? » prononcé entre des lèvres qui tenaient encore sa cigarette fumante, et puis, soudain, plus de cigarette, plus de pluie, plus de douleur, plus de Shota ; rires d’enfants, la mer, le piano. Rythme envoûtant sur un horizon d’océan, la joie venait toquer à ses tympans et ça riait, riait, encore et encore. Il sentait presque une voix lui dire que ça irait, irait, encore et encore, tant que le piano se jouait et qu’on sentait l’odeur de l’océan salé.
Puis il goûta à son propre sang salé, visqueux, dégoûtant. Il goûta à la douleur des coups, des frappes qui s’enchaînaient, gris du ciel, horizon imperceptible caché derrière des bâtiments déprimants ; et le gris devenait bleu, nuit, aube, crépuscule. Mais peu importe la beauté du ciel derrière, il y avait ces mêmes regards qui le frappaient, encore et encore, la même douleur qui n’arrêtait jamais, jamais, jamais.

Et tout disparut.

Shigure fut à bout de souffle. Il croisa le regard de Shota qui le fixait d’un air grave, et il comprit.
Ce qu’il venait de voir, c’était le passé de Shota.
Parce que j'ai l'habitude de me faire frapper moi hehe ! weathered down by pouring rain, my soul is yours to own (shoshi pt2) 1f601
Il comprenait mieux, maintenant.
La colère l’engouffra. Il se sentait en colère contre ces gens qui avaient frappé Shota, en colère contre Shota qui ne se défendait même pas et souriait comme un idiot, en colère contre lui-même de ne pas avoir su le protéger à temps cette fois. Il lui avait pourtant promis, et voilà l’état dans lequel il le retrouvait. Stupide Shigure.
Shota tapa quelque chose sur son téléphone, et le lui montra.
Tu es en retard…
Désabusé, Shigure fixa longuement cet écran de téléphone avant de souffler du nez. Il prit une bouffée de sa cigarette, soufflant la fumée en tournant sa tête de sorte à ne pas atteindre Shota. « Ouais, j’suis en retard. » Il marqua une pause. « Désolé, je l’avais promis. Et t’es quand même blessé. » Cigarette entre les doigts, il tourna sa tête vers Shota, fronçant des sourcils. « Mais attends, je t’avais dit de supprimer mon numéro, pourquoi est-ce que tu l’as encore ? T’es pas possible. » Il fit tomber sa capuche sur ses épaules et passa une main dans ses cheveux, ses cheveux mouillés se plaquant aisément vers l’arrière, quelques mèches rebelles retombant sur son front malgré tout, gouttant encore à cause de la pluie qui tombait derrière lui. « C’est comme ça que je vis et t’as toujours pas peur ? Petit con, » marmonna-t-il pour lui-même. Il approcha de nouveau sa main vers la joue de Shota cette fois-ci sans le toucher, guérit sa joue enflée, puis passa à la blessure sur sa lèvre, les doigts frôlant de la toucher. « Ils t’ont blessé où d’autre ? Je vais pas pouvoir tout guérir mais on peut passer à une clinique pour qu’ils te guérissent tout ça. » Il releva finalement les yeux sur ceux de Shota, puis reprit une bouffée de tabac, expulsant la fumée qui se mélangea à la pluie. « Tu devrais apprendre à te défendre. Les gens te prennent bizarrement pour une cible facile. Tu pourrais prendre du muscle, ça te donnerait l’air un peu plus intimidant, déjà, » dit-il, traçant la courbure des bras de Shota de ses yeux. « Surtout que j’ai pas du tout éclairci le malentendu. Les gens vont vraiment croire que je me soucie de toi. Leur attention sur toi devrait baisser d’ici à quelques semaines… Ça reste long, et ça donne encore plein de possibilités pour être blessé à cause de moi. Désolé. » Il fuma sous le bruit de la pluie, puis observa le visage de Shota, ses cheveux mouillés aussi, légers tremblements. « T’as froid ? Fallait me le dire. » D’un claquement de doigt, il fit apparaître une flamme qui les réchauffa tous les deux, et Shigure eut un petit sourire. « Impressionnant, non ? Le feu est ma spécialité, mais pas l’eau. J’aime pas l’eau. J’aime pas quand il pleut non plus, je suis moins puissant quand il pleut car l’eau éteint mes flammes trop rapidement. Et vu comment il pleut, on est bloqués là pour un moment, je pense… » Shigure pourrait partir, laisser Shota partir seul ensuite, mais ce n’était pas de son genre. Shota avait été blessé par sa faute, et Shigure en prenait la responsabilité. Alors il finit par s’asseoir à côté de lui, une main tendue entre eux pour garder la chaleur de la flamme, l’autre qui fumait.
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